Les Omega Rangers Jason, Zack et Trini tentent de contenir la menace Empyreal et leur seul espoir pourrait être… Seigneur Drakkon ?!

Zordon leur ayant interdit de prendre contact avec Drakkon, l’équipe doit se résoudre à trahir sa confiance… et entrer en conflit avec leurs alliés sur Terre : les Power Rangers menés par Tommy Oliver.

La double-série POWER RANGERS UNLIMITED suit deux équipes différentes de Rangers dans les albums MIGHTY MORPHIN et POWER RANGERS, qui se croisent et dont les destins se mêlent, pour former une seule et grande saga.

Pas d'avis pour le moment.

Vestron a repris la publication des titres de la franchise Power Rangers et aujourd'hui, on s'intéresse au premier tome de la série Power Rangers, située dans l’ère Power Rangers Unlimited et numérotée 1B par l'éditeur. Le tome contient les numéros 1 à 4 de la série écrite par Ryan Parrott et dessinée par Francesco Mortarino

Les Omega Rangers Jason, Zack et Trini tentent de contenir la menace Empyreal et leur seul espoir pourrait être… Seigneur Drakkon ?!
Zordon leur ayant interdit de prendre contact avec Drakkon, l’équipe doit se résoudre à trahir sa confiance… et entrer en conflit avec leurs alliés sur Terre : les Power Rangers menés par Tommy Oliver.
La double-série POWER RANGERS UNLIMITED suit deux équipes différentes de Rangers dans les albums MIGHTY MORPHIN et POWER RANGERS, qui se croisent et dont les destins se mêlent, pour former une seule et grande saga.

Ce premier tome nous offre pas mal de contenu car on y trouve au final trois histoires sur quatre numéros, ce qui change des arcs en plusieurs numéros. Le premier numéro sert d’introduction à la série et met en place le statut quo des Omega Rangers vis à vis de Zordon vu qu’ils embarquent Drakkon afin qu’il les mène aux Empyreals, les créatures qui seront au centre de cette série. Pour tout comprendre, il vaut mieux avoir lu le tome 0 paru il y a quelques mois car certains points pourraient être confus pour le lecteur, surtout que l’on n’a pas de résumé en début de tome.

 

On trouve ensuite deux numéros qui forment un huis clos façon Alien. Les rangers se retrouvent bloqués sur leur vaisseau et pendant un bon moment, on ne voit pas la menace qui s’est infiltrée sur le vaisseau. Ces personnages assez singuliers se nomment les Horrids et auront une importance plus tard dans la série. Parrott ne les met donc pas en scène sur deux numéros pour rien. On y voit aussi que Drakkon semble avoir ses propres plans. La mise en scène de ses épisodes est bien faite, on a de l’action, du suspense et les rangers sont isolés les uns des autres. 

 

Enfin, on termine le tome avec un numéro où l’équipe se rend sur le monde où était retenu Drakkon avant son arrivée sur Terre, un monde qui matérialise les cauchemars et est ici une Angel Grove dévastée après le règne de Drakkon. Les protagonistes doivent y trouver le corps d’un des émissaires qui a été tué par un Empyreal. Ce monde est gardé par des manifestations de la Grille de Transmutation. Parrot continue d’approfondir la mythologie des Power Rangers avec ce numéro. Ce numéro permet de rappeler les actions de Drakkon. La fin permet de faire la transition vers le prochain tome où les héros iront sur un monde encore moins accueillant.

 

Graphiquement, Mortarino fait du bon boulot avec des scènes d’action lisibles. Les têtes des personnages ne sont pas son point fort par contre, mais on arrive à identifier les personnages sans soucis, même quand les deux équipes sont ensemble. Du côté des bonus, Vestron nous gratifie des différentes couvertures alternatives.

 

En Résumé

 

LES POINTS FORTS

- Des intrigues courtes
- Des scènes d’action
- Drakkon ambivalent

LES POINTS FAIBLES

- Un tome court
- La dernière intrigue un peu rapide

 

4

Omega Forever

Conclusion

La série démarre bien avec plusieurs intrigues courtes qui emmènent les personnages dans l’espace. Les personnages sont bien caractérisés et on voit vite leur caractère, notamment Jason qui a l’air blasé d’être le leader. Drakkon est aussi un bon ajout car on n’est jamais trop sûr du côté duquel il est, si ce n’est le sien. Enfin, Xi, le robot semble prendre le leadership tandis que Yale, l’espèce de chat de l’espace est plutôt discret dans ces épisodes, mais prendra de l’importance et aura même un épisode qui lui sera consacré.