Un nouveau départ...
Avec Geoff JOHNS au scénario ainsi que Ethan VAN SCIVER, Gary FRANK, Ivan REIS et Phil JIMENEZ au dessin, l'Univers DC est complètement remodelé pour associer ses personnages phares à ses héros historiques. L'éditeur américain offre une porte d'entrée accessible au plus grand nombre, du spécialiste au néophyte, et invite le lecteur à parcourir un Univers plus que jamais porté sur l'aventure et le merveilleux, où se tapit, dans l'ombre, une menace inattendue et redoutable !
(Contient l'épisode US DC UNIVERS REBIRTH #1)
Cette version du DC Univers Rebirth est à acheter et lire absolument car on y lance les intrigues pour les deux à venir pour l'univers DC. C'est bien écrit, c'est épique, c'est bien dessiné avec du Ivan Reis, Gary Frank, Ethan Van Sciver. C'est aussi l'occasion de faire un point sur l'univers DC et de ramener un personnage disparu depuis Flashpoint.
Voilà le bouquin à avoir absolument dans votre liste d'achat ce mois-ci. Non seulement c'est un très bon comics, un indispensable pour commencer Rebirth et c'est en plus bien plus avantageux que la version librairie vu qu'on a ici juste l'essentiel, les numéros Rebirth étant déjà prévus dans les formats librairies. A ne pas manquer !
Après 5 ans de larmes, après 5 ans de bâclage, après 5 ans de souffrance, après 5 ans de New52, l'univers Dc renait et cette renaissance se fait de la plus belle des manières. Dc renoue avec ce qui faisait son charme : l'émotion, la lumière, les liens humains et la notion d'héritage. Enfin, il était temps.
Un magnifique numéro qui remet en avant toute la beauté de l'univers DC et de son héritage, assez bafouée depuis le reboot de 2011. C'est assez indispensable pour commencer Rebirth, et surtout pour se redonner envie de lire du DC, mais c'est tout de même un poil cher pour un seul numéro, aussi spécial soit-il.
C'est avant tout une histoire de Flash avec les enjeux d'une histoire de Flash : c'est à dire timeline pétée, devoir courir vite et tout s'arrange par le pouvoir de l'amour. Faut aimer le délire, même si la notion d'héritage est bien amené. On suit Wally West dans un constat de l'univers DC c'est tout. Rien de bien folichon, avec le petit moment OMG à la fin qui est casse gueule.
Introuvable en kiosque, est-ce que quelqu'un saurait m'expliquer SVP ?
Une introduction au nouveau relaunch de DC Comics plutôt intrigante et réussie avec plein de questions à la pelle pour la suite de l’aventure. Geoff Johns joue au poker avec nous quand aux multiples questions que pose ce one-shot. L’auteur fonce droit va vers la réussite totale ou la déconvenue ! Seul l’avenir nous dira si le point gagnant est confirmé. En attendant cet « apéritif » introductif est à ne pas rater car déjà bien difficile à trouver en kiosque et librairie. Affaire à suivre pour la suite !
Ce Fascicule contient DC Univers Rebirth #1 & sert d'introduction aux nouvelles séries de l'univers DC Rebirth.
Wally West, que tout le monde semble avoir oublié, parcourt l'univers DC à la rencontre de Batman, Johnny Thunder, Linda Park et même de Barry Allen pour raviver son souvenir dans leur mémoire & les prévenir qu'un grand danger perturbe l'Univers... Au gré de son voyage, les super-héros version Rebirth font leur apparition (Kid Flash, Aquaman, Superman, Blue Beetle, Atom...).
Ce numéro est présenté en 4 chapitres & un épilogue, intelligemment scénarisé par Geoff Johns &magnifiquement illustré par Gary Frank, Ethan Van Sciver, Ivan Reis, Phil Jimenez.
A lire impérativement avant "le Badge" (Batman/Flash) et surtout "Doomsday Clock".
DC est mort, vive DC ! Quelques années après le reboot Flashpoint, DC Comics met fin à l'ère des New 52 et lance Rebirth. L'objectif : revenir aux fondamentaux tout en conservant le meilleur de ce qui a été fait ces dernières années, réconcilier les fans, les vétérans commes les jeunes lecteurs. DC Universe Rebirth de Geoff Johns est LE comics qui marque ce changement, un one-shot qui ramène un personnage disparu depuis Flashpoint, dont le retour va marquer un tournant et la révélation de nouvelles menaces. [Il s'agit bien ici de la critique du numéro individuel paru en kiosque et non de tous les numéros Rebirth inclus dans le format librairie].
Geoff Johns aime le DC Universe. S'il y avait encore des doutes sur cette affirmation, ils devraient voler en éclats à la lecture de ce numéro spécial. C'est un grand amoureux de l'univers DC et de toute son histoire, il n'a eu de cesse de le prouver par le passé et c'est encore ce qu'il fait aujourd'hui, lui offrant une jolie lettre d'amour et redorant son blason, à une époque où il a du mal à se trouver et où on a du mal à le reconnaître. Il ne fait nul doute que c'est en grande partie à lui que l'on doit ce Rebirth et totalement à lui que l'on doit ce superbe numéro, plein d'espoir et de nostalgie. Johns nous offre un beau, grand numéro qui nous réchauffe le cœur et nous rappelle pourquoi l'on aime tant cet univers, ses personnages et leur héritage. Seulement voilà, au-delà de s'appuyer sur les forces de cet univers et de faire ce qu'il a toujours fait de mieux, le scénariste doit gérer le bourbier dans lequel s'est enfoncé DC depuis 2011, à vouloir à tout prix nous imposer cet univers des NEW 52 comme légitime. Il s'en sort avec les honneurs et réussit à construire un pont lumineux vers l'avenir, tout en nous offrant un twist final assez dément, qui ne laissera personne indifférent.
Le choix de narration fait par Johns pour ce numéro est très intéressant, à différents niveaux. Le scénariste choisit de faire de Wally West l'un des derniers témoins de l'ancien univers DC, perdu hors du temps, qui fait ainsi son grand retour pour essayer de remettre les choses dans l'ordre. C'est intéressant car une fois de plus, on reste dans cette tradition d'avoir des Flash au centre des grands évènements et grandes crises qui touchent le DC Universe. Ça l'est aussi quand on sait que c'est l'un des personnages qui a vraiment fait connaître Johns, qu'il apprécie beaucoup et avec lequel il a effectué un long run. C'était aussi l'une des absences les plus marquées des NEW 52, que les lecteurs n'ont eu de cesse de faire remarquer. Il est un vrai symbole à lui tout seul de cette renaissance et de ce contre-pied fait au reboot de 2011. Wally est aussi intimement lié à Barry, qui est lui très lié à la création du nouvel univers avec Flashpoint, que Johns replace sans hésiter au centre de son histoire. On a alors cette mauvaise impression qu'il y a du raccommodage, qu'on essaie de relier les bouts comme on peut pour expliquer les choses, mais c'est assez fluide et le fait que le scénariste soit aux manettes de ces deux histoires donne une impression de continuité pas désagréable, et même crédible. Et puis soyons honnêtes, de toutes les explications tirées par les cheveux pour tenter de donner du sens aux lignes temporelles et multivers dans toute l'histoire de DC, celle-ci est loin d'être la pire.
On ne saura peut-être jamais ce qu'il devait advenir des NEW 52, si tout était prévu depuis le départ ou si l'éditeur a finalement changé son fusil d'épaule et décidé de recoller les morceaux en cours de route. Mais une chose est sûre, Johns ne se cache pas un seul instant et nous fait clairement comprendre que ce reboot était une anomalie, pour ceux qui en doutaient encore. Et c'est là que ce numéro gagne en profondeur, parce qu'il prend une dimension métaphysique, Johns attribuant les erreurs ou tentatives ratées éditoriales à une « sombre menace », responsable de cette anomalie que l'on vit depuis 2011. Et n'est-ce pas une attaque directe à un crossover tel que Forever Evil et sa tournure sombre ? Geoff Johns reconnaît implicitement cet égarement et remet son univers DC dans le droit chemin, celui de la lumière et de l'espoir. Tout au long du numéro et de manière presque crescendo, il nous vante la beauté perdue de cette univers : l'amour, l'amitié, la famille ; des héros droits et rayonnants. Le petit voyage de Wally West peut d'ailleurs faire écho à celui de Deadman dans le numéro 0 de Brightest Day, où il faisait aussi le tour de tous les héros ramenés à la vie par la lanterne blanche. La vie. C'est d'ailleurs le titre du dernier chapitre du numéro, ce n'est pas un hasard.
Ce petit tour d'horizon de l'univers DC et le constat de son status-quo nous offrent de superbes scènes, à la fois touchantes et pleines de nostalgie. Johns a toujours su trouver ce qui fait l'essence d'un personnage ou d'une relation, et se baser là-dessus pour l'écrire comme peu réussissent à le faire. Il est à son meilleur dans les scènes intimes, trouver les sentiments justes, insister sur les parties qui donnent des émotions, c'était d'ailleurs très parlant lors de Flashpoint, où le seul moment vraiment juste et réussi était la toute fin entre Barry et Bruce, qui constituait finalement le cœur de cette histoire, et que l'on retrouve sans surprise ici. Il nous livre une nouvelle fois un moment mémorable dans ce numéro avec la scène entre Wally et Barry, qui déborde d'émotions mais est aussi fondamentale. Finissant d'afficher le nouvel espoir que constitue ce Rebirth. Le versant plus négatif de ce choix narratif est l'impression qu'il laisse de servir de preview aux nouvelles séries qui arrivent plutôt que de vraiment servir l'histoire. Dans l'ensemble, on reste un peu sur notre faim concernant certains aspects qui ne sont pas assez poussés avec un numéro qui n'est au final qu'un prologue aux vrais changements à venir. Il ne fallait peut-être pas en attendre plus, ce n'est qu'un numéro #1 après tout, mais comment nous reprocher d'avoir envie que Johns prenne tout en main et aille lui-même au bout de ses idées ? Cela étant dit, son idée, elle est sacrément audacieuse et surprenante. Le scénariste construit parfaitement son numéro en laissant quelques indices tout du long, pour finalement nous assommer avec une grosse révélation qui ne laissera personne indifférent, en bien ou en mal d'ailleurs. Un grand cliffhanger d'event aux grandes implications, comme on les aime. On essaiera de pardonner les quelques fois où Johns manque cruellement de subtilité et y va avec les sabots pour disséminer ses indices (le badge, sérieux ?). Au lecteur maintenant de découvrir ce nouvel univers qui reste encore très mystérieux à la lecture de ce numéro, et peut-être que toutes les promesses étalées par Geoff Johns dans ce numéro ne seront pas tenues, mais ce que ça fait un bien fou de retrouver ce que l'on aime tant dans cet univers.
Graphiquement, DC a fait appel à ses meilleurs dessinateurs pour ce numéro et c'est évidemment superbe. Ce sont en plus des dessinateurs avec lesquels Johns a beaucoup travaillé depuis 10 ans, le run d'anthologie sur Green Lantern avec Ivan Reis et Ethan Van Sciver, ses meilleurs travaux sur Superman avec Gary Frank et Infinite Crisis avec Phil Jimenez. La complémentarité associée au talent des artistes fait des miracles. Ces liens entre les auteurs ne sont peut-être, là non plus, pas dus au hasard, et rien que de devoir faire de telles références au passé fait déjà tellement plaisir en tant que chroniqueur.
- L'aspect "preview" de DC Rebirth
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