Second tome du premier cycle de l’ambitieuse saga PROMETHEUS.

« Alors que le Persée s’enfuit de LV-223, abandonnant Angela et ses hommes à leur sort, son équipage est confronté à une menace invisible et mortelle : Un Predator s’est introduit à bord, à la poursuite de ses propres objectifs… »

Le cycle FIRE AND STONE se poursuit, avec un second tome dessiné par Christopher Mooneyham (Judge Dredd/Aliens/Predator) et écrit par Joshua Williamson (Birthright, Nailbiter…)

Pas d'avis pour le moment.

La review du jour est un titre proposé par Vestron. Il s'agit de Prometheus Fire and Stone Tome 2. Le numéro est écrit par Joshua Williamson et est dessiné par Christopher Mooneyham. Il est sorti le 28 août pour 16.95 euros.

« Alors que le Persée s’enfuit de LV-223, abandonnant Angela et ses hommes à leur sort, son équipage est confronté à une menace invisible et mortelle : Un Predator s’est introduit à bord, à la poursuite de ses propres objectifs… »

Le cycle FIRE AND STONE se poursuit, avec un second tome dessiné par Christopher Mooneyham (Judge Dredd/Aliens/Predator) et écrit par Joshua Williamson (Birthright, Nailbiter…)

C'est pas un animal, Galco ! Il est équipé... et je crois qu'il me chasse.

Ce volume est intéressant à plus d'un titre. En tête, il y a le fait que les bonnes idées sont nombreuses et novatrices (bien que certaines soient prévisibles) mais sans pour autant dénaturer l'univers Predator. Cela serait même plutôt l'inverse. L'auteur a parfaitement intégré l'univers Predator pour en tirer des innovations qui, du coup, fonctionnent à merveille. La principale reste le fait que le Predator soit attaché à un humain. Il y a de la tension, du suspense et en même temps, une dynamique totalement inédite. A côté de cela, l'approche est également différente. Finalement, nous sommes assez loin des autres comics Predator. Pour le coup, on s'approcherait plus d'Alien Vs Predator. Entendez par là que l'on ne peut pas vraiment dire que le Predator est du côté des gentils. Néanmoins, le fait qu'il soit obligé de coopérer avec un être humain contre un ennemi plus grand lui donne forcément une aura différente et, dans un sens, un rôle de gentil tout de même (en tout cas, il n'est pas foncièrement méchant).

A côté de cela, les dialogues ne sont pas mauvais et mettent même en avant, de temps à autre, une petite pointe d'humour. Fait intéressant, le fait qu'un être humain soit attaché à un Predator (qui ne parle aucun langage humain) sous-entend qu'il y a une dose non négligeable de monologues. 

Le gros derrière moi est une chasseur, il est en safari et veut se faire l'un des géants qui zonent ici...

Pour ce qui est de la partie graphique, le résultat final est plutôt bon. Le design du Predator est travaillé tout comme la mise en scène qui est soignée et qui permet d'avoir plusieurs planches qui sortent clairement du lot. La colorisation et les covers sont également de qualité. Mention spéciale à la première scène d'action / à la première victime.

En bonus, vous trouverez une galerie de covers contenant trois nouvelles couvertures. Les trois sont plutôt bonnes mais il est vrai que la première soit celle de E.M. Gist est particulièrement réussie.

En Résumé

 

LES POINTS FORTS

- Les innovations
- L'alliance Predator / Être-humain
- La partie graphique

LES POINTS FAIBLES

- Une certaine prévisibilité

 

4

Bonne lecture

Conclusion

Un comics Predator assez différent des autres. Une bonne lecture.