Lorsque Batman, Superman et Wonder Woman découvrent le corps de l'un de leurs plus anciens ennemis dans le Hall de Justice, leur enquête les mène au-delà de la réalité vers un nouveau méchant appelé Insomnia... qui utilise ses pouvoirs pour engloutir chaque héros et méchant dans leurs propres cauchemars sombres et tordus. Le seul moyen de sauver le monde du sommeil éternel est d'appeler à l'aide un héros improbable : Deadman !
Contenu vo : Dawn of DC Knight Terrors FCBD Special Edition + Knight Terrors First Blood + Knight Terrors #1-4 + Knight Terrors: Night's End

  • Adrien L.
    Adrien L. Staff MDCU

    il y a 4 mois

    Un event sympa à lire, avec quelques bonnes idées, mais aussitôt oublié une fois lu. Dommage !

  • ACTHAEON
    ACTHAEON Staff MDCU

    il y a 4 mois

    Après une série "Planète Lazarus" décevante, Justice League Knight Terrors réhausse quelque peu le niveau par son intrigue et son cadre onirique / cauchemardesque. Le combat final est quelque peu expéditif. Cela reste plutôt dommageable après quasiment 200 pages de labeur. J'ai tout de mêm hâte de découvrir la suite (no spoil) !
    Par contre, il est à souligner que certains chapitres sont clairement fastidieux à poursuivre tellement le dessin de Howard Porter est... particulier. Bon, c'est moche et ça pique les yeux. Voilà, c'est dit. Le rendu manque clairement de détail...

First Blood

Knight Terrors (2023)

Dead on Arrival

Knight Terrors (2023)

Dead Rising

Knight Terrors (2023)

Dead by Dawn

Knight Terrors (2023)

Nightmare Fuel

Knight Terrors (2023)

Night's End

Knight Terrors (2023)

La review du jour est un titre proposé par Urban Comics. Il s'agit de Justice League : Knight Terrors. Le numéro est écrit par Joshua Williamson et est dessiné par Howard Porter, Giuseppe Camuncoli, Stefano Nesi, Caspar Wijngaard, Chris Bachalo et Trevor Hairsine. Il est sorti le 12 janvier pour 21 euros. Il contient les titres US Dawn of DC Knight Terrors FCBD Special Edition + Knight Terrors First Blood + Knight Terrors #1-4 + Knight Terrors: Night's End.

 

Ne recommence plus jamais ça, Boston. Je ne peux peut-être pas te faire de mal, mais je peux te faire accéder au purgatoire... c'est compris ?

Avant d'entrer dans le vif du sujet, il serait de bon ton de parler de tout ce qu'il y a "autour". Premièrement, côté contenu, Urban Comics a fait le choix inverse de d'habitude. Ces derniers temps, l'éditeur tentait de proposer les tie-in (autrement dit les titres secondaires) avec le titre principal mais, cette fois, ce n'est pas le cas. Ici, vous avez donc vraiment le coeur du récit et rien d'autre. Ensuite, il est à noter que bien que le titre soit estampillé "Justice League" et que cette dernière est, effectivement présente, nous ne sommes pas vraiment face à un titre Justice League. Nous nous retrouvons donc sur le même principe que l'animé Justice League : Paradoxe flashpoint alors que c'est une histoire Flash. Ici, comme pour Brightest Day, vous avez donc un titre plein de promesses mais avec une mise en avant quasi exclusive de Deadman. Ceci étant dit, passons à la critique pure et dure.

Autant le dire sans détour, le titre tourne entre le moyen et le bon. Ce n'est absolument pas un must-have mais il "fait le taff" comme on dit. L'écriture de Deadman est intéressante et, je dirais même, exemplaire. L'intrigue est plutôt bien menée, le rythme est bon et les dialogues peuvent même nous faire oublier, parfois, certains dessins un peu maladroits. Le côté "blockbuster" est bien exploité et le méchant du titre est, il faut bien l'avouer, charismatique. C'est d'ailleurs d'autant plus impressionnant lorsque l'on sait que le côté "horrifique", lui, aurait pu être bien mieux développé. 

Approchez. Venez jouer. Montrez donc au monde entier ce que vous êtes vraiment.

Pour ce qui est de la partie graphique, c'est un joyeux foutoir. Cela part dans tous les sens, la mise en scène est délirante, cela fait très "j'entasse un peu comme je peux". Ajoutez à cela le changement fréquent de dessinateur et vous avez un titre qui n'a aucune structure, aucune continuité graphique. Pour le coup, c'est plutôt à propos puisque nous sommes une bonne partie du temps dans le monde des rêves. Cela fait même passer plus facilement la pillule lorsque les dessins sont un peu moins bons. Bonne colorisation. 

En bonus, vous trouverez les variant covers.

En Résumé

 

LES POINTS FORTS

- Le traitement de Deadman
- Le super-vilain
- La partie graphique

LES POINTS FAIBLES

- Il ne marque pas les esprits
- Le côté horreur aurait pu être mieux développé
- Certains dessinateurs s'en sortent moins bien que d'autres

 

2.5

Se laisse lire

Conclusion

Une lecture sympathique. Pas plus. Pas moins.