Premier tome du second cycle de l’ambitieuse saga PROMETHEUS, faisant intervenir les Colonial Marines !

Situé un an après FIRE AND STONE, LIFE AND DEATH suit le parcours d’une escouade de Colonial Marines envoyés sur LV-797.

» Des Colonial Marines débarquent sur LV-797 pour sécuriser un site appartenant à Weyland-Yutani. Sur place, ils découvrent les survivants d’une bataille contre des chasseurs extraterrestres pour la possession d’un engin immense en forme de fer à cheval qui se serait écrasé là, des années avant… Le Capitaine est déterminé à protéger ces hommes et à prendre possession de l’engin, mais rien n’est simple avec des Predators dans les parages… »

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La review du jour est un titre proposé par Vestron. Il s'agit de Prometheus Life and Death Tome 1 - Predator. Ecrit par Dan Abnett et dessiné par Brian Albert Thies, il est sorti le 24 juillet 2020 pour 16.95 euros.

Des Colonial Marines débarquent sur LV-797 pour sécuriser un site appartenant à Weyland-Yutani. Sur place, ils découvrent les survivants d’une bataille contre des chasseurs extraterrestres pour la possession d’un engin immense en forme de fer à cheval qui se serait écrasé là, des années avant… Le Capitaine est déterminé à protéger ces hommes et à prendre possession de l’engin, mais rien n’est simple avec des Predators dans les parages… 

Comme expliqué dans le synopsis, Prometheus Life and Death suit le parcours d'une escouade de Marines envoyés sur LV-797. En terme de continuité, nous nous trouvons moins d'un an après Fire and Stone, Life and Death et environ 43 ans après Aliens, le retour.

Vous n'auriez pas dû venir ici. Personne en devrait venir ici. Ni nous. Ni vous. Ni personne. Cela leur appartient. Tout comme vous maintenant.

Un titre peut-être un petit peu plus "classique" que les autres opus Predator de l'éditeur mais sans que cela signifie une quelconque baisse de qualité. C'est surtout flagrant au niveau du synopsis puisque, finalement, on se trouve avec le principe très convenu du groupe armé qui débarque sur une planète sur laquelle se trouve des Predators. Autant dire que cela déjà été vu une petite poignée de fois, tant du côté des Aliens que des Predators. Par contre, au-delà de cette idée générale, l'auteur met tout de même en avant une quantité non négligeable de bonnes petites idées. Cela va de l'originalité dans les différentes éliminations jusqu'à la création d'un Predator rouge, en passant par le débat "doit-on sécuriser le périmètre ou étudier ce qui est étudiable". Ajoutez à cela une utilisation bien dosée du sang, une fin très cool ainsi que des dialogues plutôt bons et vous avez un titre Predator qui "fait le boulot".

Ils ressemblent à des... arbres. A du verre. Ils ressemblent à des choses qui ne sont pas là. Ils ont tué tout le monde. Un par un. De jour comme de nuit. Parfois, ils laissaient un corps. Des os. Quasiment rien à part du sang dans les feuillages.

Pour ce qui est de la partie graphique, le travail proposé est de qualité. Les créatures, qu'elles utilisent leur camouflage optique ou non, sont bien représentées. Leur design leur donne un côté bestial. On perd un petit peu en haute technologie et on gagne... disons en sauvagerie. C'est un choix intéressant et, pour le coup, assez cool. La mise en scène et la colorisation sont bonnes. Les covers et les illustrations finales sont de qualité notamment celles de David Palumbo.

En Résumé

 

LES POINTS FORTS

- Le design des créatures
- La mise en scène
- La fin
- La partie graphique au sens large

LES POINTS FAIBLES

- Un synopsis peut-être un petit peu "bâteau"

 

4.5

Du bon Predator

Conclusion

Un numéro qui passe comme une lettre à la poste. Ou comme l'arme du Predator dans un soldat. Comme vous préférez.