On retrouve Junkyard Joe pour l'avant-dernier chapitre de la mini-série et ça se lit très très vite. On pensait en appprendre plus sur le personnage débarqué à la fin du numéro précédent mais pas du tout, on se retrouve essentiellement avec une course poursuite dans les bois et c'est vraiment dommage. On a aussi une autre situation qui pose quelques enjeux pour un personnages. Graphiquement par contre, c'est toujours au top.

Conclusion de cette série avec les retrouvailles des deux personnages principaux mais globalement assez déçu par ce qui a été proposé, on est loin d'un récit d'horreur comme annoncé, les touches sont trop mince et même l'antagoniste que l'on aperçoit à la fin et qui fait "peur" n'a pas le temps puisque on le voit à peine. Graphiquement par contre, c'est toujours top. 

Et bah il était temps, après pas mal de mise en place, Lemire passe la seconde et on avance que ce soit dans l'enquête de disparition ou dans la partie horrifique du titre. On a des explications du passé sur ce qui se passe dans le présent même si on s'en doutait déjà. Le mystère s'épaissit et c'est top. Graphiquement, il y a toujours rien à dire. Sorrentino joue bien entre le passé et le présent avec un style différent. 

La mini-série arrive à sa moitié et c'est toujours assez décevant qu'il se passe si peu de choses. On continue de naviguer  entre passé et présent et de découvrir des choses, mais on reste sur quelque chose de très nébuleux. Seules les trois dernières pages nous offre quelques éléments, mais après 60 pages, il était temps. Graphiquement, ça reste très bien par contre, avec des mises en page originales par moment.

Dernier numéro qui marque la fin de Deadly Class, mais aussi le dernier comics publié à ce jour de Rick Remender. C’est toujours étrange de voir une série se terminer après l’avoir suivi aussi longtemps. L’auteur réussit à proposer une conclusion satisfaisante pour le dernier arc, très méta par moment où Marcus devenait l'incarnation des pensées de l’auteur, chose qu’on retrouve dans les ultimes dialogues du personnage dans le présent. Rick Remender finit le comics en bouclant la boucle avec un flashback durant le 1er arc pour terminer les réflexions personnelles de l’auteur qui nous auront fait vibrer jusqu’au bout. Il ne faut pas non plus oublier Wesley Craig qui a participé au succès de la série. Maintenant que c’est fini, c’est le moment idéal pour refaire cette incroyable série.

Deuxième numéro de cette mini-série et on a toujours du mal à voir où ça va. On retrouve les deux protagonistes en train d'écrire leur roman, et on les voit vivre l'aventure de l'intérieur sur certaines pages. On voit aussi de l'éloignement qui se met en place entre les deux. La fin reste mytérieuse et on en comprend pas trop ce qu'il se passe. Esperons que l'on aura des éclaircissement, voire des réponses dans le prochain numéro. 

Début d'une nouvelle mini-série chez Mad Ghost, toujours mené par Geoff Johsn et Gary Frank. Après Geiger, on se situe cette fois dans le passé, en 1972 durant la guerre du Vietnam. On suit une compagnie américaine qui découvre qu'il y a parmi ses rangs un robot. Celui-ci leur sauve la vie et les suit dans leur mission. Il va suivre les ordres, mais la fin apporte un twist surpenant et donne envie de revenir pour en savoir plus. Graphiquement, c'est du Gary Frank, donc rien de surprenant à ce que ce soit magnifique. 

Nouvelle mini-série pour le duo Lemire/Sorrentino et ça commence assez lentement, notamment parce qu'on oscille entre passé et présent. On suit un personnage, une autrice,  qui revient dans sa ville natale et qui va faire face à son passé. Dans le passé, on la voit devenir amie avec Jack car ils ont pas mal de points commun autour de la lecture. Mais comme on est dans un comics d'horreur, tout ne se passera pas bien. On ne connait pas encore ces détails mais la promesse est là et on attend de voir le lien avec les plumes noires. Chapeau aussi à Sorrentino qui change de style entre le présent (le style qu'on lui connait) et le passé avec un style plus épuré (et une colorisation bien plus claire).