Vous trouverez ci-dessous l'avis de l'équipe MDCU sur les sorties d'avril qu'ils ont déjà lues, soit en VO soit dans une précédente édition VF. L'absence d'un titre ne signifie donc pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu chez MDCU.
N'oubliez pas qu'il est possible de soutenir MDCU et notre partenaire la librairie indépendante BDFugue en faisant vos achats de comics en passant par nous. Pour cela, il n'y a rien de plus simple. Si un comics vous intéresse, il vous suffit d'aller sur sa fiche sur MDCU et de cliquer sur "acheter sur BDFugue".
June Branch mène une vie des plus tranquilles... jusqu'au jour où quatre criminels parviennent à s'évader de prison et enlever son petit ami, Liam. Pour leur échapper, June n'a d'autre choix que de se munir d'une arme étrange... une hache viking du VIIIe siècle ! Mais celle-ci est dotée de propriétés bien singulières : à même de décapiter un homme, elle laisse cependant les têtes fendues... conscientes ! Pour sauver Liam, June n'a plus qu'une seule solution : garder la tête (ou plutôt tout un panier de têtes) froide...
Contenu vo : Contenu : Basketful of Heads #1-7
Une superbe série d'horreur à la mise en scène assez fantastique. L'histoire, originale et assez déroutante, ne cesse de nous surprendre. À ne pas manquer si vous aimez le genre.
Une excellente série qui a marqué l'histoire de Cap mais qui vaut surtout si on la lit sur la durée. Il faut privilégier une édition proposant tout le run de Brubaker et pas seulement ses débuts.
Une très bonne série mais il faut lire le run de Brubaker pour réellement en profiter. Donc à vous de voir si vous voulez juste lire directement ou opter pour une option plus cher mais avec plus de contenu.
C'est clairement ce qu'il y a de mieux à lire sur Bucky et le Soldat de l'Hiver. Le run d'Ed Brubaker et de Steve Epting sur la série Captain America est fantastique. Comme mes camarades, tant qu'à faire, autant lire la série dans son intégralité, disponible dans la collection Marvel Deluxe.
Auteurs : Brubaker, Epting, Lark
Captain America est engagé dans une course contre la montre face aux adeptes terroristes de Crâne Rouge. Mais un nouvel acteur, mystérieux, apparaît : Qui est le Soldat de l'Hiver et dans quel camp est-il ? Une saga majeure qui a inspiré le deuxième film Captain America.
(Contient les épisodes US Captain America (2005) 8-9, 11-14, précédemment publiés dans MARVEL ICONS : CAPTAIN AMERICA 1)
Une excellente série qui a marqué l'histoire de Cap mais qui vaut surtout si on la lit sur la durée. Il faut privilégier une édition proposant tout le run de Brubaker et pas seulement ses débuts.
Une très bonne série mais il faut lire le run de Brubaker pour réellement en profiter. Donc à vous de voir si vous voulez juste lire directement ou opter pour une option plus cher mais avec plus de contenu.
C'est clairement ce qu'il y a de mieux à lire sur Bucky et le Soldat de l'Hiver. Le run d'Ed Brubaker et de Steve Epting sur la série Captain America est fantastique. Comme mes camarades, tant qu'à faire, autant lire la série dans son intégralité, disponible dans la collection Marvel Deluxe.
Oula ! La saison 8 de Buffy ! Autant dire que cela ne nous rajeunit pas !
Une excellente suite qui est digne d'intérêt et qui fera à coup sûr chavirer les coeurs des fans de la première heure. Non seulement l'univers est respecté mais, en plus, les scénaristes ont encore d'excellentes idées !
Par contre, à noter qu'à l'époque, Panini n'avait jamais publié la fin... Vous avez donc la saison 8, la 9, peut-être même la 10, mais jamais la dernière. Pour ceux qui parlent anglais, nous ne pouvons donc que vous conseiller la VO. Après tout, difficile de croire qu'ils vont reprendre la publication originelle là où elle s'était arrêtée une fois que cette réédition l'aura rattrapée...
De loin la meilleure saison de Buffy en comics, et digne héritière de la série TV. Si vous aimez l'univers, foncez !
Auteurs : Whedon, Vaughan, Jeanty, Richard
Joss Whedon revient à la série qui l'a rendu célèbre en prolongeant la série télé dans une saison 8 proposée uniquement en comics ! Buffy est désormais à la tête d'une armée de tueurs de vampires, près de 2000 soldats dévoués à sa cause. Mais le gouvernement n'apprécie pas les agissements de ce qu'il assimile à des terroristes.
(Contient les épisodes Buffy the Vampire Slayer Season Eight 1-10, précédemment publiés dans BUFFY CONTRE LES VAMPIRES SAISON 8 : L'INTÉGRALE TOME 1)
Oula ! La saison 8 de Buffy ! Autant dire que cela ne nous rajeunit pas !
Une excellente suite qui est digne d'intérêt et qui fera à coup sûr chavirer les coeurs des fans de la première heure. Non seulement l'univers est respecté mais, en plus, les scénaristes ont encore d'excellentes idées !
Par contre, à noter qu'à l'époque, Panini n'avait jamais publié la fin... Vous avez donc la saison 8, la 9, peut-être même la 10, mais jamais la dernière. Pour ceux qui parlent anglais, nous ne pouvons donc que vous conseiller la VO. Après tout, difficile de croire qu'ils vont reprendre la publication originelle là où elle s'était arrêtée une fois que cette réédition l'aura rattrapée...
De loin la meilleure saison de Buffy en comics, et digne héritière de la série TV. Si vous aimez l'univers, foncez !
Un blockbuster dont l'exécution est à la hauteur des ambitions. On retrouve les X-Men que l'on aime servis par une équipe artistique au sommet. Cerise sur le gâteau, ce récit peut se lire indépendamment.
Cet album contient une relance solide des X-Men, avec un dessin et un scénario maitrisés. Le plus étonnant reste l'ambiance, qui rappelle la période Claremont, mais dans un contexte et une réalisation bien plus modernes. Un bon moyen de se replonger dans les mutants, même si le récit n'atteindra jamais les sommets de Claremont ou Morrison selon moi.
Une excellente relance des X-Men par Joss Whedon et John Cassaday. C'est accessible, compréhensible et très beau. On y retrouve quelques saveurs d'un blockbuster, mais avec la construction et la profondeur que peut apporter le médium du comic book. C'est en plus parfait pour débuter les mutants.
Auteurs : Whedon, Cassaday
Joss Whedon, créateur de Buffy et réalisateur des deux premiers films Avengers, ouvre une nouvelle ère pour les X-Men ! Un remède a été trouvé pour supprimer le gène mutant : Comment vont réagir Cyclope, Wolverine, Kitty Pryde et les autres ?
(Contient les épisodes US Astonishing X-Men (2004) 1-12, précédemment publiés dans MARVEL ICONS : ASTONISHING X-MEN 1)
Un blockbuster dont l'exécution est à la hauteur des ambitions. On retrouve les X-Men que l'on aime servis par une équipe artistique au sommet. Cerise sur le gâteau, ce récit peut se lire indépendamment.
Cet album contient une relance solide des X-Men, avec un dessin et un scénario maitrisés. Le plus étonnant reste l'ambiance, qui rappelle la période Claremont, mais dans un contexte et une réalisation bien plus modernes. Un bon moyen de se replonger dans les mutants, même si le récit n'atteindra jamais les sommets de Claremont ou Morrison selon moi.
Une excellente relance des X-Men par Joss Whedon et John Cassaday. C'est accessible, compréhensible et très beau. On y retrouve quelques saveurs d'un blockbuster, mais avec la construction et la profondeur que peut apporter le médium du comic book. C'est en plus parfait pour débuter les mutants.
Un immanquable pour tout fan de l’univers d’Hellboy. La conclusion tant redoutée pour des personnages qu’on a suivis pendant plus de 20 ans est arrivée. Tous les éléments mis en place pendant des années trouvent leurs aboutissements ici. On est dans une apocalypse sans concession et c’est avec tristesse qu’on quitte cet univers et ses personnages. Le dessin convient à merveille a cette ambiance, il est accompagné par quelques pages de Mignola bouclant la boucle lancée par l'auteur.
Peut-être que cette dernière saga de l'univers de Hellboy aurait du être publiée de cette manière dès le début. Petit rappel, elle avait été à l'origine publiée en deux tomes, et pour compléter le second tome, Delcourt avait mis la mini-série The Visitor qui est très probablement absente de cette intégrale. Donc à voir quelle version vous privilégiez.
Pour ce qui est du contenu, si vous n'avez lu aucun Hellboy ou BPRD, non seulement c'est une erreur, mais cet album n'a pas vraiment d'intérêt pour vous. Dans le cas contraire, la lecture est au contraire indispensable puisque c'est une très bonne conclusion à la longue et excellente saga mélant les séries Hellboy et BPRD.
Cette intégrale marque la fin de l'histoire mettant en scène les membres du BPRD, le service auquel Hellboy appartenait avant sa mort, et qui clôt un récit débuté avec Le Fléau des grenouilles.
Des monstres cauchemardesques ont dévasté la Terre. Le BPRD est cependant parvenu à les vaincre, tandis que la société tente de se reconstruire. Mais d'étranges cultes apparaissent, celui mené par le démon Varvara en tête. Abe Sapien reprend du service auprès de Liz Sherman... Et Hellboy revient des Enfers pour les aider !
Un immanquable pour tout fan de l’univers d’Hellboy. La conclusion tant redoutée pour des personnages qu’on a suivis pendant plus de 20 ans est arrivée. Tous les éléments mis en place pendant des années trouvent leurs aboutissements ici. On est dans une apocalypse sans concession et c’est avec tristesse qu’on quitte cet univers et ses personnages. Le dessin convient à merveille a cette ambiance, il est accompagné par quelques pages de Mignola bouclant la boucle lancée par l'auteur.
Peut-être que cette dernière saga de l'univers de Hellboy aurait du être publiée de cette manière dès le début. Petit rappel, elle avait été à l'origine publiée en deux tomes, et pour compléter le second tome, Delcourt avait mis la mini-série The Visitor qui est très probablement absente de cette intégrale. Donc à voir quelle version vous privilégiez.
Pour ce qui est du contenu, si vous n'avez lu aucun Hellboy ou BPRD, non seulement c'est une erreur, mais cet album n'a pas vraiment d'intérêt pour vous. Dans le cas contraire, la lecture est au contraire indispensable puisque c'est une très bonne conclusion à la longue et excellente saga mélant les séries Hellboy et BPRD.
Jason Howard se fait plaisir avec Big Girls et nous offre un titre détonant, dont la mise en scène est aussi soignée que les combats sont impressionnants. Il n'en oublie pas pour autant d'apporter de la substance à son récit, mais tombe dans quelques travers imputables à une première œuvre en solo.
Des hommes monstrueux à éradiquer ? Faites appel aux Big Girls !
Suite à une terrible maladie, les hommes deviennent des monstres géants, des « Jacks » déterminés à détruire le monde, et seules des filles géantes peuvent les arrêter. Ember et les autres grandes filles sont tout ce qui s'oppose à l'anéantissement complet de notre monde ! Au service d’une agence qui élimine les malades dès leur plus jeune âge, Ember commence à douter de son rôle, se pourrait-il que quelque chose ou quelqu’un se cache derrière cette maladie ? Et si elle pouvait changer les choses ?
Jason Howard se fait plaisir avec Big Girls et nous offre un titre détonant, dont la mise en scène est aussi soignée que les combats sont impressionnants. Il n'en oublie pas pour autant d'apporter de la substance à son récit, mais tombe dans quelques travers imputables à une première œuvre en solo.
Après un 1er tome introductif, on se retrouve dans un nouveau contexte. Kirkman maîtrise son intrigue avec une bonne histoire familiale, de l’action qui ravira les fans d’arts martiaux et quelques twist typique de Kirkman, même si pas aussi renversant que ce qu’on a eu dans ses anciennes séries. Ce tome bénéficie toujours des dessins de Chris Sameen au trait simple et toujours aussi coloré qui rend les scènes d'actions réussies, mais un peu statique.
Fire Power est la toute nouvelle série signée Robert Kirkman (Invincible et Walking Dead) associé à l'immense Chris Samnee (Daredevil). Action, ninjas, vie de famille et un passé que rejette le héros attendent le lecteur
Owen Johnson pensait pouvoir tourner le dos à son passé... mais aussi à son entraînement, à sa puissance et à ce monde dangereux dont il ne voulait pas faire partie. Malheureusement pour Owen et sa famille, le danger l'a (re)trouvé, et qu'il le veuille ou non, le pouvoir qu'il possède, celui de maîtriser les boules de feu, est la seule chose qui peut les sauver.
Après un 1er tome introductif, on se retrouve dans un nouveau contexte. Kirkman maîtrise son intrigue avec une bonne histoire familiale, de l’action qui ravira les fans d’arts martiaux et quelques twist typique de Kirkman, même si pas aussi renversant que ce qu’on a eu dans ses anciennes séries. Ce tome bénéficie toujours des dessins de Chris Sameen au trait simple et toujours aussi coloré qui rend les scènes d'actions réussies, mais un peu statique.
Mini-série parue en numérique chez DC qui continue de montrer la lutte des héros DC contre les zombies. Tom Taylor met ici en avant d'autres héros, notamment Superboy, Wonder Girl, Black Adam et les Renégats qu'il a utilisé dans Suicide Squad. C'est très sympa, on a évidemment la contagion de héros et c'est très plaisant à suivre mais la série n'a pas autant de conséquances pour l'intrigue générale que les autres mini-séries.
L'équation anti-vie a infecté plus d'un milliard de personnes sur Terre. De chaque côté de l'échiquier, héros comme vilains, nombreux sont ceux qui lui ont succombé. Immédiatement après la destruction de Metropolis, Superman et Wonder Woman mènent un effort pour endiguer la vague d'infection, préserver et protéger les survivants et essayer d'entrevoir la lumière au bout du tunnel. À l'heure la plus sombre de la Terre, l'humanité fait face à son plus grand défi, ne pas perdre espoir, quand tout semble déjà perdu.
Contenu vo : Dceased : Hope at world's end #1-15
Mini-série parue en numérique chez DC qui continue de montrer la lutte des héros DC contre les zombies. Tom Taylor met ici en avant d'autres héros, notamment Superboy, Wonder Girl, Black Adam et les Renégats qu'il a utilisé dans Suicide Squad. C'est très sympa, on a évidemment la contagion de héros et c'est très plaisant à suivre mais la série n'a pas autant de conséquances pour l'intrigue générale que les autres mini-séries.
On l'aura attendu, celui-là. Les épisodes de Civil War et les suivants ont tellement bouleversé le destin de Peter Parker que Marvel a dû faire marche arrière avec One More Day quelques épisodes après ce tome. En attendant, on retrouve Spider-Man dans des situations plus désespérées que jamais, acculé et prêt à tout. Un Spider-Man plus noir que d'habitude martyrisé par l'excellent Straczynski.
Un album à lire assuremment tant il fait partie de l'histoire de Spider-Man. Il est toutefois à remettre dans un contexte historique, puisque Straczynski avait de grands plans sur le héros qu'il n'a pas vraiment pu mettre en place. Il a notamment un peu chahuté ses origines, puis Civil War est arrivé, avec ses rebondissements. Et finalement, le run de Straczynski s'est terminé, probablement pas comme l'auteur le souhaitait. Et juste après, Marvel a tout effacé et est revenu en arrière, voire très en arrière. Ne vous y trompez pas, cet album est excellent et dans la lignée de tout le run, mais on aurait aimé que ça dure un peu plus !
Auteurs : Straczynski, Deodato Jr, Garney
La tant attendue suite des MARVEL ICONS consacrés à l'ère Straczynski est enfin là ! Cet album recueille tous les épisodes liés à Civil War : Peter Parker a noué une relation privilégiée avec Tony Stark, mais ne va-t-il pas la payer au prix fort ?
(couverture provisoire)
(Contient les épisodes US Amazing Spider-Man 519-524 & 529-538, précédemment publiés dans MARVEL DELUXE : SPIDER-MAN – NEW AVENGERS, MARVEL DELUXE : CIVIL WAR - PRÉLUDE et MARVEL ABSOLUTE : CIVIL WAR)
On l'aura attendu, celui-là. Les épisodes de Civil War et les suivants ont tellement bouleversé le destin de Peter Parker que Marvel a dû faire marche arrière avec One More Day quelques épisodes après ce tome. En attendant, on retrouve Spider-Man dans des situations plus désespérées que jamais, acculé et prêt à tout. Un Spider-Man plus noir que d'habitude martyrisé par l'excellent Straczynski.
Un album à lire assuremment tant il fait partie de l'histoire de Spider-Man. Il est toutefois à remettre dans un contexte historique, puisque Straczynski avait de grands plans sur le héros qu'il n'a pas vraiment pu mettre en place. Il a notamment un peu chahuté ses origines, puis Civil War est arrivé, avec ses rebondissements. Et finalement, le run de Straczynski s'est terminé, probablement pas comme l'auteur le souhaitait. Et juste après, Marvel a tout effacé et est revenu en arrière, voire très en arrière. Ne vous y trompez pas, cet album est excellent et dans la lignée de tout le run, mais on aurait aimé que ça dure un peu plus !
Auteurs : Stohl, Ferreyra
Le héros créé par le français Fabrice Sapolsky et rendu célèbre par le film Spider-Man : New Generation est de retour ! Le Peter Parker version 1939 voyage en Europe, ce qui va l'amener à rencontrer d'autres homologues de héros connus.
(Contient les épisodes US Spider-Man: Noir (2020) 1-5, inédits)
Un tome important, car Spawn atteint le record de la plus longue série de Super-héros indépendante. À retenir pour cet exploit d’avoir atteint le numéro 300, et félicitations à Delcourt pour y être arrivé. Pour l’histoire, effectivement, il y a des changements et des révélations autour de Spawn, mais faut être prêt à supporter les gimmicks de McFarlane, le fait que ça commence à tourner en rond et à accepter certains retcons. Tous dépend de votre attache pour le personnage arrivé à ce stade-là. En tous cas les dessins restent (très ?) bons. Jason Shawn Alexandre a un style sombre et sanglant qui convient à l’ambiance du titre, et profite pour ce numéro anniversaire de guests avec un Greg Capullo en forme.
La série créée par Todd McFarlane en 1992 fête ici son 300e numéro. Ce nouvel opus contient cet épisode extraordinaire à la fois par son contenu, mais aussi par les auteurs qui rejoignent le créateur de Spawn.
Il aura fallu 27 années de publication ininterrompue de la série pour parvenir à ce Spawn #300 ! Pendant tout ce temps, Spawn a combattu de manière incessante les hordes de l'Enfer et des Cieux, et pourtant quelque chose d'encore plus monumental se prépare. Il comprend qu'il ne pourra pas poursuivre seul cette guerre. Ses pouvoirs et son look se sont modifiés...
Un tome important, car Spawn atteint le record de la plus longue série de Super-héros indépendante. À retenir pour cet exploit d’avoir atteint le numéro 300, et félicitations à Delcourt pour y être arrivé. Pour l’histoire, effectivement, il y a des changements et des révélations autour de Spawn, mais faut être prêt à supporter les gimmicks de McFarlane, le fait que ça commence à tourner en rond et à accepter certains retcons. Tous dépend de votre attache pour le personnage arrivé à ce stade-là. En tous cas les dessins restent (très ?) bons. Jason Shawn Alexandre a un style sombre et sanglant qui convient à l’ambiance du titre, et profite pour ce numéro anniversaire de guests avec un Greg Capullo en forme.
Nouvelle série de One-shot qui garde la même recette que le tome précédent. À savoir des histoires connues qui tournent extrêmement mal. Ce qui fera plaisir, c'est la variété des choix et le traitement qui diffère pour chaque histoire. Mais le nombre de pages ne permet pas toujours de bien développer ces univers alternatifs. On a une très bonne sélection de dessinateurs même s'ils ne sont pas tous à leurs meilleurs niveaux.
Tempus Fuginaut, le voyageur des mondes, qui a la faculté d'être témoin des événements qui se déroulent sur toutes les planètes du Multivers, continue son observation des moments les plus sombres de la dimension du Batman Qui Rit. Ce Multivers Noir, où des instants fondateurs des autres réalités, comme le Flashpoint, la confrontation entre Batman et Silence ou encore la Crise des Terres Infinies, ont aussi pris des tournures plus tragiques les unes que les autres.
Contenu vo : TALES FROM THE DARK MULTIVERSE: BATMAN: HUSH #1, TALES FROM THE DARK MULTIVERSE: FLASHPOINT #1, TALES FROM THE DARK MULTIVERSE: CRISIS ON INFINITE EARTHS #1, TALES FROM THE DARK MULTIVERSE: DARK NIGHTS: METAL #1, TALES FROM THE DARK MULTIVERSE: WONDER WOMAN: WAR OF THE GODS #1
Nouvelle série de One-shot qui garde la même recette que le tome précédent. À savoir des histoires connues qui tournent extrêmement mal. Ce qui fera plaisir, c'est la variété des choix et le traitement qui diffère pour chaque histoire. Mais le nombre de pages ne permet pas toujours de bien développer ces univers alternatifs. On a une très bonne sélection de dessinateurs même s'ils ne sont pas tous à leurs meilleurs niveaux.
Un crossover qui s’annonçait divertissant et potentiellement intéressant. Mais au final, il n’est pas des plus passionnants à suivre malgré une ou deux surprises. Ce n’est pas mauvais, ça se laisse lire, mais sans trop d’éclat. Le tome est accompagné d’un grand nombre de dessinateurs pas toujours très bons, mais qui font des prestations honorables.
Un petit event sympa publié sur un mois. Clairement, ça ne révolutionne pas l'univers DC mais c'est une histoire qui présente une vieille "Justice League" et qui fait revenir un de leurs ennemis. C'est pas prise de tête, il y a des épisodes qui sont clairement peu utiles, notamment le Teen Titans special. Par contre, je rejoint Uraphire, graphiquement, c'est la foire, la série ayant autant de dessinateur que d'épisodes, c'est dommage
Du crossover extrêmement classique et assez paresseux. On passera un bon moment c'est certain, mais tout, de la narration à la gestion des numéros et des péripéties, fait assez vieillot et manque de saveur. On appréciera quand même ce genre de grands crossovers sur de nombreuses séries, touchant tout l'univers et tous les personnages, qui se font de plus en plus rares. L'aspect moins positif qui en découle est la diveristé des dessinateurs, mais je trouve personnellement que ça a son charme.
Il y a un millier d'années, un dieu nordique répondant au nom de Frost King a menacé le monde et ses habitants. À l'époque, une équipe de héros composée de Black Adam, la Créature du Marais, Hippolyte et Viking Prince s'était rassemblée pour s'opposer à cette ancienne divinité capable de contrôler des écosystèmes entiers. Le combat s'était alors soldée par une victoire... mais à quel prix ? Aujourd'hui, le géant de glace est de retour de son exil, et un blizzard mortel l'accompagne...
Contenu vo : Contenu : Justice League: Endless Winter #1, The Flash #767, Superman: Endless Winter Special #1, Aquaman #66, Justice League #58, Teen Titans: Endless Winter Special #1, Justice League Dark #29, Black Adam: Endless Winter Special #1, Justice League: Endless Winter Special #2
Un crossover qui s’annonçait divertissant et potentiellement intéressant. Mais au final, il n’est pas des plus passionnants à suivre malgré une ou deux surprises. Ce n’est pas mauvais, ça se laisse lire, mais sans trop d’éclat. Le tome est accompagné d’un grand nombre de dessinateurs pas toujours très bons, mais qui font des prestations honorables.
Un petit event sympa publié sur un mois. Clairement, ça ne révolutionne pas l'univers DC mais c'est une histoire qui présente une vieille "Justice League" et qui fait revenir un de leurs ennemis. C'est pas prise de tête, il y a des épisodes qui sont clairement peu utiles, notamment le Teen Titans special. Par contre, je rejoint Uraphire, graphiquement, c'est la foire, la série ayant autant de dessinateur que d'épisodes, c'est dommage
Du crossover extrêmement classique et assez paresseux. On passera un bon moment c'est certain, mais tout, de la narration à la gestion des numéros et des péripéties, fait assez vieillot et manque de saveur. On appréciera quand même ce genre de grands crossovers sur de nombreuses séries, touchant tout l'univers et tous les personnages, qui se font de plus en plus rares. L'aspect moins positif qui en découle est la diveristé des dessinateurs, mais je trouve personnellement que ça a son charme.
Coates est un auteur engagé. Ce n'est pas en soi un problème, Cap a déjà été écrit par différents scénaristes politisés. Le problème de Coates vient surtout du fait que ses histoires commencent convenablement, piochant allègrement dans l'héritage de Brubaker, mais s'enfonce progressivement dans l'ennui. Ce tome est agréable à lire mais ça ne durera pas.
Auteurs : Coates, Yu et Kubert
L'Amérique n'a plus confiance en Captain America depuis qu'un vilain a conquis le pays avec son visage. Les choses ne s'arrangent pas quand un groupe secret, l'Oligarchie, complote pour faire accuser Steve Rogers du meurtre d'un personnage important de l'univers Marvel. Il est incarcéré, mais une nouvelle équipe s'organise pour le faire libérer. Qui sont les Filles de la Liberté et qui est à leur tête ?
(Contient les épisodes US Captain America (2019) 1-12, publiés précédemment dans le softcover AVENGERS)
Coates est un auteur engagé. Ce n'est pas en soi un problème, Cap a déjà été écrit par différents scénaristes politisés. Le problème de Coates vient surtout du fait que ses histoires commencent convenablement, piochant allègrement dans l'héritage de Brubaker, mais s'enfonce progressivement dans l'ennui. Ce tome est agréable à lire mais ça ne durera pas.
Une série qui a marqué à l'époque, en proposant un traitement plus réaliste et adulte des surhommes. Le premier projet indé de Straczynski est un succès mérité même s'il a perdu depuis de son originalité (allègrement plagié par Heroes pour n'en citer qu'un). Tout n'est pas parfait : on aurait aimé un dessinateur unique et Stracz ne livre pas ici sa meilleure prestation mais cette fresque ambitieuse mérite d'être lue.
Cette intégrale regroupe en un seul volume les trois premiers tomes de la série à succès créée par Joe M. Straczynski (Babylon 5) et reprend donc le récit principal, y compris l'ensemble des numéros spéciaux.
En 1969, une boule de feu s'écrase sur une petite ville américaine. Quelques années plus tard, 113 enfants, conçus cette nuit-là, manifestent des pouvoirs surnaturels. Le gouvernement les recense sous l'appellation de "Spéciaux", les traque, tente de les contrôler, mais cherche aussi un moyen de les neutraliser. Un jour, les rangs des Spéciaux se mettent à être mystérieusement décimés...
Une série qui a marqué à l'époque, en proposant un traitement plus réaliste et adulte des surhommes. Le premier projet indé de Straczynski est un succès mérité même s'il a perdu depuis de son originalité (allègrement plagié par Heroes pour n'en citer qu'un). Tout n'est pas parfait : on aurait aimé un dessinateur unique et Stracz ne livre pas ici sa meilleure prestation mais cette fresque ambitieuse mérite d'être lue.
Second numéro où on rentre dans une phase plus classique d’un event. La mini-série principale va commencer à rentrer dans un ventre mou. Malgré de beaux dessins et certains twists inattendus, la série ne retrouvera pas la puissance de ses débuts, et étrangement lorgner du côté des films Avengers à certains moments. On a aussi le début de plusieurs tie-ins. À part Lords of Empyre: Celestial Messiah qui apporte plus de détails sur l'un des antagonistes, les autres numéros ne sont pas des plus passionnants à suivre, et n'apportent pas énormément a l'event.
Après des débuts prometteurs, Empyre plonge très vite pour stagner à un niveau assez moyen. Beaucoup de blabla et de considérations politiques qui deviennent assez ennuyeuses parce qu'on n'accroche pas suffisamment aux enjeux. Les vilains sont un peu sortis du chapeau et ne représentent pas une menace crédible. Mais ça reste beau et bien écrit, malgré tout. Les tie-ins ne sont pas fous non plus, et ne sont pas indispensables, mais permettent d'étendre la portée de l'histoire.
Auteurs : Ewing, Slott, Schiti, Olivetti…
Deuxième volet du nouveau crossover Marvel : Les héros ont été trahis, mais pourquoi ? Captain Marvel accepte une nouvelle fonction et Captain America, les Avengers et les Savage Avengers mènent plusieurs combats de front. Avec un épisode consacré entièrement au Messie Céleste !
(Contient les épisodes US Empyre (2020) 2-3, Lords of Empyre: Celestial Messiah, Empyre: Captain America 1, Empyre :Avengers 1 et Empyre: Savage Avengers 1, inédits)
Second numéro où on rentre dans une phase plus classique d’un event. La mini-série principale va commencer à rentrer dans un ventre mou. Malgré de beaux dessins et certains twists inattendus, la série ne retrouvera pas la puissance de ses débuts, et étrangement lorgner du côté des films Avengers à certains moments. On a aussi le début de plusieurs tie-ins. À part Lords of Empyre: Celestial Messiah qui apporte plus de détails sur l'un des antagonistes, les autres numéros ne sont pas des plus passionnants à suivre, et n'apportent pas énormément a l'event.
Après des débuts prometteurs, Empyre plonge très vite pour stagner à un niveau assez moyen. Beaucoup de blabla et de considérations politiques qui deviennent assez ennuyeuses parce qu'on n'accroche pas suffisamment aux enjeux. Les vilains sont un peu sortis du chapeau et ne représentent pas une menace crédible. Mais ça reste beau et bien écrit, malgré tout. Les tie-ins ne sont pas fous non plus, et ne sont pas indispensables, mais permettent d'étendre la portée de l'histoire.
Jason Aaron n'arrive pas à faire décoller la série. On ne s'intéresse guère à sa version de l'Escadron Suprême ni aux menaces qu'affrontent les Avengers. Il faut croire que le scénariste gardait ses bonnes idées pour Thor.
Auteurs : Aaron, McGuinness
Alors que les Avengers sont assiégés par Malekith au cours de la Guerre des Royaumes, le nouvel Escadron Suprême d'Amérique défend Washington contre les forces de l'Elfe Noir ! Avec un épisode de dix pages inédit tiré du Free Comic Book Day 2019 !
(Contient les épisodes US Avengers (2018) 18-21 et FCBD 2019: Avengers, précédemment publiés dans AVENGERS (2020) 1-4 et inédit)
Jason Aaron n'arrive pas à faire décoller la série. On ne s'intéresse guère à sa version de l'Escadron Suprême ni aux menaces qu'affrontent les Avengers. Il faut croire que le scénariste gardait ses bonnes idées pour Thor.
Un gros volume qui conclut le passage de Bendis sur Superman et Action Comics. On est en terrain connu avec ses épisodes décompressés, ses dialogues nombreux et usants. L’auteur en profite pour conclure ses intrigues de façon correcte et laisse des pistes qui seront explorées par les auteurs suivants et par Bendis lui-même pour le titre JL qu’il reprendra. Pour les dessinateurs on navigue avec le très bon pour la partie Superman avec Ivan Reis et Kevin Maguire, mais surtout le passable, voire mauvais avec John Romita Jr.
Superman est pris entre deux feux : à Metropolis, l'Homme d'Acier se retrouve aux prises avec Brume Pourpre et Marisol Leone, nouvelle propriétaire du Daily Planet, tandis que dans le cosmos, la race des Synmar décide d'envoyer un émissaire pour tuer le surhomme ! Heureusement, le Dernier Fils de Krypton pourra compter sur l'aide de son fils, Jon, de sa cousine, Supergirl, et d'un nouveau venu dénommé Conner Kent, qui prétend être... son clone !
Contenu vo : Contenu : Action Comics #1022-1028, Superman #23-28
Un gros volume qui conclut le passage de Bendis sur Superman et Action Comics. On est en terrain connu avec ses épisodes décompressés, ses dialogues nombreux et usants. L’auteur en profite pour conclure ses intrigues de façon correcte et laisse des pistes qui seront explorées par les auteurs suivants et par Bendis lui-même pour le titre JL qu’il reprendra. Pour les dessinateurs on navigue avec le très bon pour la partie Superman avec Ivan Reis et Kevin Maguire, mais surtout le passable, voire mauvais avec John Romita Jr.
Publié en Semic Book il y a fort longtemps sous le nom d'Aria, ce récit apportait de la fantasy à une époque où en on trouvait pas. Aujourd'hui, ce récit mérite surtout d'être redécouvert pour son somptueux graphisme.
Brian Haberlin & Brian Holguin ont imaginé ce récit mêlant horreur et fantaisie mettant en scène des créatures mythiques, transposées dans le monde moderne. Il est sublimé par le dessin du philippin Jay Anacleto.
Imaginez un monde où les fées, les elfes, les démons et les magiciens existent vraiment. Ayant quitté les sous-bois de Faerie, ils se sont installés à New-York et mènent grand train dans les fêtes nocturnes qui animent la métropole, où la belle Lady Kildare - surnommée Aria - rayonne de mille feux. Un vrai conte de fée ?... Pas certain... C'est même l'horreur au pays des fées !
Publié en Semic Book il y a fort longtemps sous le nom d'Aria, ce récit apportait de la fantasy à une époque où en on trouvait pas. Aujourd'hui, ce récit mérite surtout d'être redécouvert pour son somptueux graphisme.
Une intégrale attendue de longue date. On se demande pourquoi Panini, qui a pourtant exploité la franchise jusqu'à la lie (combien d'éditions pour le début du run d'Ennis ?) s'entêtait à ne pas sortir les si nombreux épisodes inédits pré-Ennis, malgré les demandes des dans. Il semblerait que Panini ait entendu ses lecteurs. Sauf que le 1er volume comprend principalement les premières apparitions du Punisher dans les titres Spider-Spider-Man. Sans la présence de deux inédits bienvenus, on risquait de se retrouver avec une intégrale Spider-Man. Vivement le prochain volume, en espérant qu'il soit composé de titres Punisher.
Auteurs : Conway, Wein, Andru, Miller…
Frank Castle a enfin sa collection INTÉGRALE ! Retrouvez les premiers pas du psychopathe préféré des fans de Marvel en tant que Punisher dans les pages d'Amazing Spider-Man et Captain America, ainsi que deux épisodes qui n'avaient jamais été publiés en France !
(Contient les épisodes US Amazing Spider-Man (1963) 129, 134-135, 161-162, 174-175, 201-202 et Annual 15, Giant-Size Spider-Man (1974) 4, Marvel Preview (1975) 2, Marvel Super Action (1976) 1 et Captain America (1968) 241, précédemment publiés dans SPIDER-MAN : L'INTÉGRALE 1974, 1975, 1976, 1977, 1980 et 1981, Captain America (Arédit) 26, et inédits)
Une intégrale attendue de longue date. On se demande pourquoi Panini, qui a pourtant exploité la franchise jusqu'à la lie (combien d'éditions pour le début du run d'Ennis ?) s'entêtait à ne pas sortir les si nombreux épisodes inédits pré-Ennis, malgré les demandes des dans. Il semblerait que Panini ait entendu ses lecteurs. Sauf que le 1er volume comprend principalement les premières apparitions du Punisher dans les titres Spider-Spider-Man. Sans la présence de deux inédits bienvenus, on risquait de se retrouver avec une intégrale Spider-Man. Vivement le prochain volume, en espérant qu'il soit composé de titres Punisher.
La moitié de ce volume a déjà été publiée dans une intégrale X-Men. Certes, c'était difficile de faire l'impasse sur la meilleure saga des New Mutants mais les doublons pour cause de crossover, c'est toujours désagréable au prix de chaque tome. Les épisodes présentés ici, à part la mythique saga d'Asgard, ne sont pas aussi connus que ceux qui les ont précédés mais la période post-Sienkiewicz est excellente. Ça devient plus accessible et moins expérimental, plus intimiste. Le développement des personnages est au cœur des scénarios. Claremont trouve le bon équilibre, la série atteint une maturité et une stabilité qui permet de s'attacher enfin aux jeunes mutants. Une très bonne lecture.
Auteurs : Claremont, Adams, Leonardi…
Nouvelle Intégrale pour les Nouveaux Mutants, qui partent en Asgard pour une aventure très spéciale qui les associe aux X-Men ! En plus, un affrontement terrible avec le Beyonder qui marquera un tournant décisif dans la carrière de l'équipe… puisqu'il ne laissera aucun survivant !
(Contient les épisodes US New Mutants Special Edition (1985) 1, Uncanny X-Men Annual (1970) 9, New Mutants (1983) 35-40, précédemment publiés dans X-MEN : L'INTÉGRALE 1985 (II) et Titans 101-106)
La moitié de ce volume a déjà été publiée dans une intégrale X-Men. Certes, c'était difficile de faire l'impasse sur la meilleure saga des New Mutants mais les doublons pour cause de crossover, c'est toujours désagréable au prix de chaque tome. Les épisodes présentés ici, à part la mythique saga d'Asgard, ne sont pas aussi connus que ceux qui les ont précédés mais la période post-Sienkiewicz est excellente. Ça devient plus accessible et moins expérimental, plus intimiste. Le développement des personnages est au cœur des scénarios. Claremont trouve le bon équilibre, la série atteint une maturité et une stabilité qui permet de s'attacher enfin aux jeunes mutants. Une très bonne lecture.
Du très grand X-Men avec le procès de Magnéto à Paris et les Asgardian Wars. Indispensable pour les fans de mutants.
Auteurs : Claremont, Adams, Smith, Romita Jr
Nouvelle édition pour cette Intégrale importante proposant l'épisode 200 d'Uncanny X-Men, avec le procès de Magnéto ! Également, hasard du calendrier, la première mini-série X-Men/Alpha Flight au moment où l'équipe canadienne obtient sa propre Intégrale !
(Contient les épisodes US Uncanny X-Men 199-200 et Annual 9, New Mutants Special Edition et X-Men/Alpha Flight (1985) 1-2, nouvelle édition)
DISPONIBLE LE 17 MARS
Du très grand X-Men avec le procès de Magnéto à Paris et les Asgardian Wars. Indispensable pour les fans de mutants.
Ouh fuyez ce comics. Hormis les dessins, Spencer va vous faire durer l'arc comme jamais pour y mettre une fausse tension en plus !
Auteurs : Spencer, Jacinto, Bagley, Sanna
NOUVEAU ! Peter Parker revient dans un nouveau mensuel entièrement consacré à la série Amazing Spider-Man de Nick Spencer. Et ça commence très fort avec une saga essentielle qui marque le retour du Rédempteur… Qui se cache cette fois sous le masque ?
(Contient les épisodes US Amazing Spider-Man (2018) 44-45 et Amazing Spider-Man: Sins Rising Prelude (2020), inédits)
Ouh fuyez ce comics. Hormis les dessins, Spencer va vous faire durer l'arc comme jamais pour y mettre une fausse tension en plus !
![[Sorties Comics] Vendredi 19 Avril](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_sorties-comics.jpg)
Qu'avez-vous prévu d'acheter ?
Qu'avez-vous prévu d'acheter ?
Qu'avez-vous prévu d'acheter ?
![[VF] Sélection MDCU d'avril 2021](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/img_une_35282_vf-selection-mdcu-d-avril-2021_1616580283.jpg)
![[Dossier] 10 ans de New 52 : Les oubliés de la VF](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_35477_dossier-10-ans-de-new-52-les-oublies-de-la-vf_1636630341.jpg)
L'Avis de la rédaction (1)
Julien Staff MDCU
il y a 3 ans
Une superbe série d'horreur à la mise en scène assez fantastique. L'histoire, originale et assez déroutante, ne cesse de nous surprendre. À ne pas manquer si vous aimez le genre.