Nouveau numéro de la rubrique MDCU consacrée aux sorties VO hebdomadaires, le Zap' MDCU !
C'est parti pour les sorties du 11 septembre ! Une grosse semaine de sortie avec en indés la suite de Go Go Power Rangers et la conclusion de la mini-série Sabrina, the Teenage Witch. Chez Marvel, c'est la folie avec la lancement de King Thor qui concluera la run de Jason Aaron sur le personnage, mais aussi la suite de Amazing Spider-Man , Venom, Powers of X, Silver Surfer Black, Captain Marvel et Miles Morales: Spider-Man qui fête son 250ème numéro. On retrouve aussi un one-shot Guardians of the Galaxy: Prodigal Sun qui s'inscrit dans une saga entre plusieurs one-shot et l'habituel one-shot Star Wars consacré à Snoke cette fois-ci. C'est plus calme chz DC Comics où l'on continue de suivre Batman, the Flash, Young Justice , Justice League Odyssey et Event Leviathan.
Vous pouvez toujours participer à cette rubrique, il vous suffit pour ça de laisser vos critiques sur les fiches des numéros, que vous trouverez listées chaque semaine dans le calendrier des sorties VO. Elles appaaraitront ensuite dans les numéros du Zap à la vue de tous.
Un numéro intéressant où on sent que ça commence vraiment à bouger. On peut se douter de l'identité de Leviathan au vu d'un personnage impliqué qui a assez peu de lien dans l'univers DC (et que presque personne ne connait vu le destin de la ligne New Age of Heroes). Par contre, si c'est vraiment ça, ce sera dommage vu tout ce qu'on nous a dit. Ca reste du Bendis donc il y a des choses complètement stupides comme Lois qui s'enfuit du Manoir Wayne avec une voiture à Bruce ou Superman qui s'échappe en défonçant le toit du manoir. La fin est surprenante et on a anvie de lire la suite, contrairement aux séries de l'auteur.
Entre deux arcs, Nick Spencer en profite pour s'intéresser au couple Peter / Mary Jane . Alors que MJ doit s'envoler vers la côte Ouest pour reprendre sa carrière d'actrice (et donc permettre à Marvel de lancer le comics Amazing Mary Jane), Spencer explore ce qui se passe dans la tête et le coeur de Parker. Un numéro touchant dont la conclusion aura sans doute fait réagir les lecteurs.
Un numéro interlude qui s'intéresse à la relation Peter/MJ, c'est intéressant, et ça renforce cette idée de réflexion "meta" sur la franchise spider-man en comics que Spencer aime développer. A voir si ça va apporter quelque chose de consistant pour la suite, on espère.
Entre deux arcs, Nick Spencer en profite pour s'intéresser au couple Peter / Mary Jane . Alors que MJ doit s'envoler vers la côte Ouest pour reprendre sa carrière d'actrice (et donc permettre à Marvel de lancer le comics Amazing Mary Jane), Spencer explore ce qui se passe dans la tête et le coeur de Parker. Un numéro touchant dont la conclusion aura sans doute fait réagir les lecteurs.
Un numéro interlude qui s'intéresse à la relation Peter/MJ, c'est intéressant, et ça renforce cette idée de réflexion "meta" sur la franchise spider-man en comics que Spencer aime développer. A voir si ça va apporter quelque chose de consistant pour la suite, on espère.
On continue l'arc Necessary Evil même si on a du mal à voir les liens entre la série et sa série soeur, si ce n'est la présence d'un personnage qui annonce une menacce depuis 3 numéros. Le cliffhanger promet peut être plus de lien, mais contrairement à Shattered Grid, ici, ça prend bien trop longtemps à se mettre en place et c'est dommage. Heuresuement, la série reste quand même bonne et on suit les personnages avec plaisir, surtout dans leur vie de tous les jours.
On continue l'arc Necessary Evil même si on a du mal à voir les liens entre la série et sa série soeur, si ce n'est la présence d'un personnage qui annonce une menacce depuis 3 numéros. Le cliffhanger promet peut être plus de lien, mais contrairement à Shattered Grid, ici, ça prend bien trop longtemps à se mettre en place et c'est dommage. Heuresuement, la série reste quand même bonne et on suit les personnages avec plaisir, surtout dans leur vie de tous les jours.
Un peu moins plaisant ce numéro, et de nouveau assez cryptique, comme l'est régulièrement cette seconde série du relaunch d'Hickman. L'introduction de Sinister est plutôt fun mais elle sera surtout intéressante quand on aura les répercussions sur les prochains numéros, la seconde partie met la lumière sur un élément important de ce nouvel univers des X-Men mais n'est pas dingue, et la dernière partie nous replonge dans les délires conceptuels du scénariste auxquels je reste pour le moment hermétique.
Petit moment de répit après le numéro explosif de la semaine précédente. Hickman rajoute des pions dans la partie et montre un peu plus comment le rêve de Xavier s’est mis en place. Contrairement à Julien, je suis assez réceptif aux délires d’Hickman, j’aime quand le bonhomme revient à sa timeline futuriste à laquelle je ne comprends pas tout. J’ai vraiment hâte d’avoir toutes les cartes en main à la fin de cette partie où Hickman nous mène par le bout du nez.
Un peu moins plaisant ce numéro, et de nouveau assez cryptique, comme l'est régulièrement cette seconde série du relaunch d'Hickman. L'introduction de Sinister est plutôt fun mais elle sera surtout intéressante quand on aura les répercussions sur les prochains numéros, la seconde partie met la lumière sur un élément important de ce nouvel univers des X-Men mais n'est pas dingue, et la dernière partie nous replonge dans les délires conceptuels du scénariste auxquels je reste pour le moment hermétique.
Petit moment de répit après le numéro explosif de la semaine précédente. Hickman rajoute des pions dans la partie et montre un peu plus comment le rêve de Xavier s’est mis en place. Contrairement à Julien, je suis assez réceptif aux délires d’Hickman, j’aime quand le bonhomme revient à sa timeline futuriste à laquelle je ne comprends pas tout. J’ai vraiment hâte d’avoir toutes les cartes en main à la fin de cette partie où Hickman nous mène par le bout du nez.
Après avoir mis un terme à la série régulière Thor, Jason Aaron s’octroie un épilogue en s’intéressant à la version âgée de son héros maintes et maintes fois aperçue pendant le run du scénariste. Ce dernier retrouve d’ailleurs son camarade du début Esad Ribic qui livre de très belles pages comme à son habitude. Cette réunion teintée de nostalgie tient toutes ses promesses : le roi Thor affronte son frère Loki en possession de la Necrosword à travers un univers mourrant. C’est épique, spectaculaire, et le retour pas si surprenant à la fin de l’épisode met en place ce qui semble être la parfaite conclusion à l’épopée d’Aaron. Bien évidemment, les trois petites filles de Thor sont de la partie et devraient être assez importantes dans la résolution du conflit.
Après avoir mis un terme à la série régulière Thor, Jason Aaron s’octroie un épilogue en s’intéressant à la version âgée de son héros maintes et maintes fois aperçue pendant le run du scénariste. Ce dernier retrouve d’ailleurs son camarade du début Esad Ribic qui livre de très belles pages comme à son habitude. Cette réunion teintée de nostalgie tient toutes ses promesses : le roi Thor affronte son frère Loki en possession de la Necrosword à travers un univers mourrant. C’est épique, spectaculaire, et le retour pas si surprenant à la fin de l’épisode met en place ce qui semble être la parfaite conclusion à l’épopée d’Aaron. Bien évidemment, les trois petites filles de Thor sont de la partie et devraient être assez importantes dans la résolution du conflit.
Cette mini-série vaut le coup d’œil rien que pour les sublimes planches dont Tradd Moore est l’auteur. L’artiste est en feu depuis le début du titre, ces compositions sont toujours aussi inspirées et les couleurs de Dave Stewart subliment le tout. En plus, Donny Cates écrit une très belle histoire sur le Surfeur, toujours aussi désespéré mais prêt à tout pour vaincre les ténèbres. Le scénariste arrive à intégrer cette série dans sa grande toile cosmique qu’il est en train de tisser depuis quelques temps et j’attends avec impatience de voir où il veut en venir.
Cette mini-série vaut le coup d’œil rien que pour les sublimes planches dont Tradd Moore est l’auteur. L’artiste est en feu depuis le début du titre, ces compositions sont toujours aussi inspirées et les couleurs de Dave Stewart subliment le tout. En plus, Donny Cates écrit une très belle histoire sur le Surfeur, toujours aussi désespéré mais prêt à tout pour vaincre les ténèbres. Le scénariste arrive à intégrer cette série dans sa grande toile cosmique qu’il est en train de tisser depuis quelques temps et j’attends avec impatience de voir où il veut en venir.
On s’en doutait mais les numéros de Venom tie-ins à Absolute Carnage complètent très bien l’event et étoffent la partie de l’intrigue consacrée à Dylan Brock, laissé sous la protection du Maker par Eddie. Donny Cates nous fait réellement aimer le petit et le récit s’emballe dans les dernières pages. En plus, Iban Coello est très en forme ce qui rend la lecture d’autant plus agréable.
On s’en doutait mais les numéros de Venom tie-ins à Absolute Carnage complètent très bien l’event et étoffent la partie de l’intrigue consacrée à Dylan Brock, laissé sous la protection du Maker par Eddie. Donny Cates nous fait réellement aimer le petit et le récit s’emballe dans les dernières pages. En plus, Iban Coello est très en forme ce qui rend la lecture d’autant plus agréable.
Non, on apprend pas qui est Snoke ici. Mais bon, ça, on en saura peut-être plus dans le prochain film. En tout cas, on a droit au sempiternel schéma "maitre/apprenti" puisqu'on suit Snoke donner une leçon à Kylo Ren sur une planète bien connue. Voilà, c'est toujours sympa mais ça reste un peu "cure-dent".
Non, on apprend pas qui est Snoke ici. Mais bon, ça, on en saura peut-être plus dans le prochain film. En tout cas, on a droit au sempiternel schéma "maitre/apprenti" puisqu'on suit Snoke donner une leçon à Kylo Ren sur une planète bien connue. Voilà, c'est toujours sympa mais ça reste un peu "cure-dent".
Un épisode anniversaire plutôt plaisant à lire où Miles célèbre son... anniversaire. Les événements du dernier numéro ont laissé des traces chez le héros, Saladin Ahmed écrit ici un numéro très humain sans oublier de relancer son récit en exploitant quelques bouts d'intrigue laissés en suspens par Brian Michael Bendis. En dessert, le scénariste nous propose également une petite origin story sympathique consacrée à Starling, le personnage récemment introduit dans l'univers de Miles.
Un épisode anniversaire plutôt plaisant à lire où Miles célèbre son... anniversaire. Les événements du dernier numéro ont laissé des traces chez le héros, Saladin Ahmed écrit ici un numéro très humain sans oublier de relancer son récit en exploitant quelques bouts d'intrigue laissés en suspens par Brian Michael Bendis. En dessert, le scénariste nous propose également une petite origin story sympathique consacrée à Starling, le personnage récemment introduit dans l'univers de Miles.
Autant le premier arc de la série avait su m’enthousiasmer, autant celui-ci m’a pas mal refroidi. A mon sens, tout va trop vite et tout semble trop gros : comment Carol Danvers tombe si vite en disgrâce, les manipulations scientifiques qui créent l'antagoniste de cet arc, son identité, pas mal de choses me font tiquer. Pourtant j’apprécie la Carol Danvers que nous écrit Kelly Thompson et Carmen Carnero est une artiste pleine de talent. Mais la sauce a du mal à monter, j’attends de pied ferme le prochain arc pour savoir si je continue la lecture Seb ce titre ou non.
Autant le premier arc de la série avait su m’enthousiasmer, autant celui-ci m’a pas mal refroidi. A mon sens, tout va trop vite et tout semble trop gros : comment Carol Danvers tombe si vite en disgrâce, les manipulations scientifiques qui créent l'antagoniste de cet arc, son identité, pas mal de choses me font tiquer. Pourtant j’apprécie la Carol Danvers que nous écrit Kelly Thompson et Carmen Carnero est une artiste pleine de talent. Mais la sauce a du mal à monter, j’attends de pied ferme le prochain arc pour savoir si je continue la lecture Seb ce titre ou non.
Les craintes se confirment. Cette saga est un gachis de papier. Tout simplement. Les nouveaus persos sont hyper mauvais, les guest-stars arrivent un peu comme ça et servent absolument à rien, et surtout cette fin...Tout ça pour ça ? Prodigal sun, c'est l'inutilité incarnée. Fuyez.
Les craintes se confirment. Cette saga est un gachis de papier. Tout simplement. Les nouveaus persos sont hyper mauvais, les guest-stars arrivent un peu comme ça et servent absolument à rien, et surtout cette fin...Tout ça pour ça ? Prodigal sun, c'est l'inutilité incarnée. Fuyez.
Comme prévu avec la fin du numéro précédent, on part à partir de ce numéro sur une nouvelle équipe. Le problème c'est que l'équipe quise forme est une copie de celle que l'on suivait. On y trouve Dex-Starr pour le Lantern, Blackfire à la place de sa soeur, un nouveau (?) personnage nommé Okkult, qui est un mix entre Deadshot et Adam Strange et qui remplace Azrael; Et enfin, on a une boite mère (ou père) pour la partie technologie au lieu de Cyborg. C'est essentiellement un numéro pour rasembler l'équipe et voir ses objectifs, mais cela va peut être relancer l'intérêt de la série. A voir pour la suite donc.
Comme prévu avec la fin du numéro précédent, on part à partir de ce numéro sur une nouvelle équipe. Le problème c'est que l'équipe quise forme est une copie de celle que l'on suivait. On y trouve Dex-Starr pour le Lantern, Blackfire à la place de sa soeur, un nouveau (?) personnage nommé Okkult, qui est un mix entre Deadshot et Adam Strange et qui remplace Azrael; Et enfin, on a une boite mère (ou père) pour la partie technologie au lieu de Cyborg. C'est essentiellement un numéro pour rasembler l'équipe et voir ses objectifs, mais cela va peut être relancer l'intérêt de la série. A voir pour la suite donc.
Suite au dernier numéro; les porteurs de Force s'affrontent contre leur gré et cela inquiète Flash qui a peur que le Black Flash arrivent pour les tuer. Comme on pouvait s'en douter, un ne suit pas les recommandations du héros et connait visiblement un destin uneste, mais vu ses pouvoirs, reste à voir si c'est la vérité ou non. Du coté des Rogues, c'est Mirror Master qui est concerené, et là aussi, ça ne se passe pas comme prévu. Par contre, la couverture est hors sujet, un peu comme celle de Detective Comics le mois dernier.
Suite au dernier numéro; les porteurs de Force s'affrontent contre leur gré et cela inquiète Flash qui a peur que le Black Flash arrivent pour les tuer. Comme on pouvait s'en douter, un ne suit pas les recommandations du héros et connait visiblement un destin uneste, mais vu ses pouvoirs, reste à voir si c'est la vérité ou non. Du coté des Rogues, c'est Mirror Master qui est concerené, et là aussi, ça ne se passe pas comme prévu. Par contre, la couverture est hors sujet, un peu comme celle de Detective Comics le mois dernier.
Un numéro consacré une nouvelle fois entièrement à la relation Batman/Catwoman, qui sert presque d'interlude dans cet arc City of Bane. Je suis peut-être un peu trop fleur bleue, mais j'aime toujours autant. Je pourrais lire Tom King écrire ces deux-là pendant des pages et des pages, c'est juste, intelligent, et aussi complexe que devrait l'être une telle relation. C'est plaisant de revoir l'alter ego Matches Malone, et les dessins de Clay Mann sont toujours superbes, même s'il devrait ralentir sur l'hyper sexualisation de ses personnages féminins.
Un numéro consacré une nouvelle fois entièrement à la relation Batman/Catwoman, qui sert presque d'interlude dans cet arc City of Bane. Je suis peut-être un peu trop fleur bleue, mais j'aime toujours autant. Je pourrais lire Tom King écrire ces deux-là pendant des pages et des pages, c'est juste, intelligent, et aussi complexe que devrait l'être une telle relation. C'est plaisant de revoir l'alter ego Matches Malone, et les dessins de Clay Mann sont toujours superbes, même s'il devrait ralentir sur l'hyper sexualisation de ses personnages féminins.
Un numéro pas franchement utile. Les héros arrrivent sur Terre-3 et se frottent à la Young Justice version méchante puis le Crime Syndicate n'est pas là. c'est le numéro de la révélation tant attendue du nouveau pseudo de Red Robin et la raison du changement est juste idiote. C'est du Bendis qui écrit des choses pour les gamins.
Un numéro pas franchement utile. Les héros arrrivent sur Terre-3 et se frottent à la Young Justice version méchante puis le Crime Syndicate n'est pas là. c'est le numéro de la révélation tant attendue du nouveau pseudo de Red Robin et la raison du changement est juste idiote. C'est du Bendis qui écrit des choses pour les gamins.
Conclusion de la mini-série qui s'avère assez décevante après un démarrage plutôt sympathique. On a de snuméros qui ont tous suivi le même schéma, ce qui lasse forcément. La mini-série se conclut par un cliffhanger demandeant d'aller lire la mini-série suivante, ce qui est assez dérangeant. La partie grpahique reste le point positif de cette mini-série
Conclusion de la mini-série qui s'avère assez décevante après un démarrage plutôt sympathique. On a de snuméros qui ont tous suivi le même schéma, ce qui lasse forcément. La mini-série se conclut par un cliffhanger demandeant d'aller lire la mini-série suivante, ce qui est assez dérangeant. La partie grpahique reste le point positif de cette mini-série
![[Sorties Comics] Vendredi 12 Avril](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_sorties-comics.jpg)
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![[Zap' MDCU] Sorties du 11/09/2019](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/img_une_32934_zap-mdcu-sorties-du-11-09-2019_1568820387.jpg)
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Avis (1)
BartAllen Staff MDCU
il y a 5 ans
Un numéro intéressant où on sent que ça commence vraiment à bouger. On peut se douter de l'identité de Leviathan au vu d'un personnage impliqué qui a assez peu de lien dans l'univers DC (et que presque personne ne connait vu le destin de la ligne New Age of Heroes). Par contre, si c'est vraiment ça, ce sera dommage vu tout ce qu'on nous a dit. Ca reste du Bendis donc il y a des choses complètement stupides comme Lois qui s'enfuit du Manoir Wayne avec une voiture à Bruce ou Superman qui s'échappe en défonçant le toit du manoir. La fin est surprenante et on a anvie de lire la suite, contrairement aux séries de l'auteur.