Nouveau numéro de la rubrique MDCU consacrée aux sorties VO hebdomadaires, le Zap' MDCU !
C'est parti pour les sorties du 5 avril! Chez Marvel, c'est le début de Royals et X-Men Gold que l'on retient, même si Steve Rogers: Captain America n'est pas à oublier. Chez DC Comics, on se penche sur le nouvel arc de Superman et la fin de l'arc de Batman. En indé, on a testé Riverdale, The Courier et Kill Shakespeare.
Vous pouvez toujours participer à cette rubrique, il vous suffit pour ça de vous laisser vos critiques sur les fiches des numéros, que vous trouverez listées chaque semaine dans le calendrier des sorties VO. Elles apparaitront ensuite dans les numéros du Zap à la vue de tous.
Comme à chaque fois, je suis totalement amoureuse de ce série. Mark Russell continue de faire une critique de la société et de son évolution au fil du temps sans pour autant se prendre pour le messie venu délivrer un message quelconque. Je passe toujours un bon moment. Ce dixième numéro aborde la découverte du cinéma à l’époque des cavernes, mais aussi de la guerre, sans oublier les soucis de la vie quotidienne des familles de Fred et Barney. Rien à redire sur les dessins tant je les trouve magnifiques.
Depuis quelque mois, j’ai simplement décidé d’abandonner toutes compréhension des récents events et timelines chez Marvel (et DC aussi) pour simplement apprécier ce comics. Et c’est ce que j’ai fait avec X-Men Gold. Ici on retrouve une équipe des X-Men en pleine formation qui est fun, avec une leader de choc en la personne de Kitty Pride. Ce "Back to Basics" (c’est le titre du numéro) apporte quelque chose de simple et de frais dans l’univers des mutants devenu étouffants avec le temps. Pas d’évènements annonçant la prochaine fin du monde, juste des héros étant des héros qui profite de leur temps libre pour tenter de mener la vie qu’ils veulent. La partie graphique va de pair avec le scénario : fun, frais et superbe. Je pense que les fans des mutants déçus jusqu’ici pourraient retrouver espoir avec X-Men : Gold. Croisons les doigts pour que ça dure.
Depuis quelque mois, j’ai simplement décidé d’abandonner toutes compréhension des récents events et timelines chez Marvel (et DC aussi) pour simplement apprécier ce comics. Et c’est ce que j’ai fait avec X-Men Gold. Ici on retrouve une équipe des X-Men en pleine formation qui est fun, avec une leader de choc en la personne de Kitty Pride. Ce "Back to Basics" (c’est le titre du numéro) apporte quelque chose de simple et de frais dans l’univers des mutants devenu étouffants avec le temps. Pas d’évènements annonçant la prochaine fin du monde, juste des héros étant des héros qui profite de leur temps libre pour tenter de mener la vie qu’ils veulent. La partie graphique va de pair avec le scénario : fun, frais et superbe. Je pense que les fans des mutants déçus jusqu’ici pourraient retrouver espoir avec X-Men : Gold. Croisons les doigts pour que ça dure.
Histoire basique d’une livreuse, Eve Harper, qui livre tout et n’importe quoi à un prix raisonnable. Ce qui est super cool est le contexte, puisque Eve évolue dans un monde post-apocalyptique. On retrouve un monde de motards, des créatures mutantes, des robots, etc. C’est vraiment cool à lire, ça ne se prend pas la tête sans pour autant être inutile et ennuyeux. À découvrir pour les fans du genre.
Histoire basique d’une livreuse, Eve Harper, qui livre tout et n’importe quoi à un prix raisonnable. Ce qui est super cool est le contexte, puisque Eve évolue dans un monde post-apocalyptique. On retrouve un monde de motards, des créatures mutantes, des robots, etc. C’est vraiment cool à lire, ça ne se prend pas la tête sans pour autant être inutile et ennuyeux. À découvrir pour les fans du genre.
Pour être franche je ne suis pas une grande fan de science-fiction, moi les héros intergalactique je m’en fiche pas mal… Et ben, ici vous prenez la famille Royal des Inhumans et vous les envoyer dans une voyage à travers l’espace. Voilà, vous avez le pitch de la série. C’était pas mal, mais mon intérêt n’a pas été piqué au vif. À suivre.
Pour être franche je ne suis pas une grande fan de science-fiction, moi les héros intergalactique je m’en fiche pas mal… Et ben, ici vous prenez la famille Royal des Inhumans et vous les envoyer dans une voyage à travers l’espace. Voilà, vous avez le pitch de la série. C’était pas mal, mais mon intérêt n’a pas été piqué au vif. À suivre.
Après un début avec un fort potentiel, c’est avec espoir et intérêt que je me suis mis à la lire ce deuxième numéro des aventures de America Chavez. Outre les nombreux évènements qui s’y passent, j’ai beaucoup aimé l’ambiance et le côté héroïque réfléchis et tête brulé de Chavez. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds, existe et fait comprendre qu’elle est là pour durer. Malgré tout j’espère que l’équipe créative va se mettre d’accord sur la marche à suivre, et trouver une ligne droite à suivre sans nous balancer 10 questions d’un coup.
Après un début avec un fort potentiel, c’est avec espoir et intérêt que je me suis mis à la lire ce deuxième numéro des aventures de America Chavez. Outre les nombreux évènements qui s’y passent, j’ai beaucoup aimé l’ambiance et le côté héroïque réfléchis et tête brulé de Chavez. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds, existe et fait comprendre qu’elle est là pour durer. Malgré tout j’espère que l’équipe créative va se mettre d’accord sur la marche à suivre, et trouver une ligne droite à suivre sans nous balancer 10 questions d’un coup.
Fin de l'arc qui marque la réunion de Green Arrow et Arsenal. C'était pas l'arc le plus intéressant que nous a présente Percy mais ce la permet de comprendre les raison de le rupture qu'il y a eu entre Oliver et Roy. Cela permet aussi de réintroduire une nouvelle version du comte Vertigo. C'est quand même sympathique à lire, on comprend les raisons de la discorde et les décisions prises. La partie dans le présent est moins intéressante mais permet de remettre en selle le duo et de voire une trève s'installer. La partie graphique est sympathique, on en voit pas énormément de différence entre les deux dessinateurs.
Fin de l'arc qui marque la réunion de Green Arrow et Arsenal. C'était pas l'arc le plus intéressant que nous a présente Percy mais ce la permet de comprendre les raison de le rupture qu'il y a eu entre Oliver et Roy. Cela permet aussi de réintroduire une nouvelle version du comte Vertigo. C'est quand même sympathique à lire, on comprend les raisons de la discorde et les décisions prises. La partie dans le présent est moins intéressante mais permet de remettre en selle le duo et de voire une trève s'installer. La partie graphique est sympathique, on en voit pas énormément de différence entre les deux dessinateurs.
Superman est une série que j'aime beaucoup, mais il faut bien avouer qu'on alterne souvent entre d'excellents épisodes et des moins bons (pour rester poli). Cet arc, plus terre à terre, plus familial, va enfin s'attarder un peu plus sur les voisins des Kent et se payer la présence de Batman & Robin. Les deux nous apportent malgré eux des scènes assez comiques et apportent quelques révélations concernant John, qui devient petit à petit le Sangohan du Superverse. Qui sait, d'ici quelques années on aura peut-être un remake de Gohan SSJ2 vs Perfect Cell, mais avec Darkseid ? En attendant, un très bon numéro, qui me rappelle pourquoi j'aime cette série malgré ses hauts et ses bas.
Les derniers arcs et le titre de ce numéro pouvaient présager du lourd, on a finalement un arc assez étrange, à la limite de la crédibilité. Une histoire un peu rocambolesque, le dynamic duo qui débarque comme un cheveu sur la soupe (et ça commence à faire réchauffé, même si la formule fonctionne toujours bien), des indices laissés de manière bien peu subtile. C'est un peu dans l'esprit simple et candide de la série mais Tomasi et Gleason ont déjà trouvé mieux niveau scénario. Reste la très bonne mise en scène de Gleason, avec notamment des effets lumières très bien trouvés autour de Batman.
Superman est une série que j'aime beaucoup, mais il faut bien avouer qu'on alterne souvent entre d'excellents épisodes et des moins bons (pour rester poli). Cet arc, plus terre à terre, plus familial, va enfin s'attarder un peu plus sur les voisins des Kent et se payer la présence de Batman & Robin. Les deux nous apportent malgré eux des scènes assez comiques et apportent quelques révélations concernant John, qui devient petit à petit le Sangohan du Superverse. Qui sait, d'ici quelques années on aura peut-être un remake de Gohan SSJ2 vs Perfect Cell, mais avec Darkseid ? En attendant, un très bon numéro, qui me rappelle pourquoi j'aime cette série malgré ses hauts et ses bas.
Les derniers arcs et le titre de ce numéro pouvaient présager du lourd, on a finalement un arc assez étrange, à la limite de la crédibilité. Une histoire un peu rocambolesque, le dynamic duo qui débarque comme un cheveu sur la soupe (et ça commence à faire réchauffé, même si la formule fonctionne toujours bien), des indices laissés de manière bien peu subtile. C'est un peu dans l'esprit simple et candide de la série mais Tomasi et Gleason ont déjà trouvé mieux niveau scénario. Reste la très bonne mise en scène de Gleason, avec notamment des effets lumières très bien trouvés autour de Batman.
Conclusion de l'arc I Am Bane et de la première grosse partie du run de King sur Batman. Le bilan est plutôt mitigé avec des longueurs par moment, un découpage pour l'arc qui fait naître des incohérences pas possible (je me suis pas remis des 24h pour traverser l'asile). Le numéro va très vite et n'est qu'une longue baston entre Batman et Bane. Le seul élément de surprise reste la personne faisant la narration vu que, comme King nous l'a déjà fait, on pense qu'il s'agit d'une personne mais ce n'est pas le cas. De plus, rien n'est fait avec Gotham Girl ou Psycho Pirate alors qu'ils étaient au centre de ce découpage pour l'arc. C'est vraiment dommage. Heureusement, Finch signe une bonne partie graphique. Il est temps de tourner cette page et de passer au crossover avec Flash.
Conclusion de l'arc I Am Bane et de la première grosse partie du run de King sur Batman. Le bilan est plutôt mitigé avec des longueurs par moment, un découpage pour l'arc qui fait naître des incohérences pas possible (je me suis pas remis des 24h pour traverser l'asile). Le numéro va très vite et n'est qu'une longue baston entre Batman et Bane. Le seul élément de surprise reste la personne faisant la narration vu que, comme King nous l'a déjà fait, on pense qu'il s'agit d'une personne mais ce n'est pas le cas. De plus, rien n'est fait avec Gotham Girl ou Psycho Pirate alors qu'ils étaient au centre de ce découpage pour l'arc. C'est vraiment dommage. Heureusement, Finch signe une bonne partie graphique. Il est temps de tourner cette page et de passer au crossover avec Flash.
Tel un ovni sorti de nulle part, Kill Shakespeare est une comédie verbale et riche, qui parle de la vie et de la mort. Une petite lecture fun et intelligente qui m’a agréable surprise. Conor McCreery arrive à créer des dialogues originaux en restant dans la ligné de ce que faisait Shakespeare. Par contre, si vous n’avez pas lu le comics précédent (oui c’est un peu un prequel ici – l’histoire se déroule 5 mois avant la première série), la compréhension sera quelque peu hasardeuse.
Tel un ovni sorti de nulle part, Kill Shakespeare est une comédie verbale et riche, qui parle de la vie et de la mort. Une petite lecture fun et intelligente qui m’a agréable surprise. Conor McCreery arrive à créer des dialogues originaux en restant dans la ligné de ce que faisait Shakespeare. Par contre, si vous n’avez pas lu le comics précédent (oui c’est un peu un prequel ici – l’histoire se déroule 5 mois avant la première série), la compréhension sera quelque peu hasardeuse.
Riverdale sert ici comme comics tie-in à la série télévisée de la CW, qui elle se base sur le comics Archie, vous comprenez ? Pitché par Roberto Aguirre-Sacasa, et écrit par les scénaristes actuels de la série, ce premier numéro semble se situer dans la timeline de l’épisode 3 de la série. Deux histoires sont présentes dans ce numéro : Bloodsport et Bring it On. Les deux histoires n'ont aucun lien entre elle, et on se demande à quoi va servir cette série sur le long terme si aucun lien n'est fait sur la durée. C’est sympathique mais pas indispensable. En tout cas c’est moins pire que les séries tie-in à The Flash et Arrow.
Riverdale sert ici comme comics tie-in à la série télévisée de la CW, qui elle se base sur le comics Archie, vous comprenez ? Pitché par Roberto Aguirre-Sacasa, et écrit par les scénaristes actuels de la série, ce premier numéro semble se situer dans la timeline de l’épisode 3 de la série. Deux histoires sont présentes dans ce numéro : Bloodsport et Bring it On. Les deux histoires n'ont aucun lien entre elle, et on se demande à quoi va servir cette série sur le long terme si aucun lien n'est fait sur la durée. C’est sympathique mais pas indispensable. En tout cas c’est moins pire que les séries tie-in à The Flash et Arrow.
![[Sorties Comics] Vendredi 19 Avril](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_sorties-comics.jpg)
Qu'avez-vous prévu d'acheter ?
Qu'avez-vous prévu d'acheter ?
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A noter pour X-Men Gold que le dessinateur Ardian Syaf vient d'être licencié par Marvel pour avoir intégré des messages à caractère politique et religieux dans le #1 de la série.
Lien vers l'article de Livres Hebdo consacré au sujet :
http://www.livreshebdo.fr/article/marvel-licencie-un-dessinateur-accuse-de-messages-antisemites-et-antichretiens
Lien vers l'article du Monde :
http://www.lemonde.fr/pixels/article/2017/04/10/un-dessinateur-accuse-d-avoir-cache-des-messages-antisemites-et-antichretiens-dans-x-men-gold_5108907_4408996.html
Ses planches seront encore visibles pour les numéros 2 et 3 mais un autre dessinateur sera engagé pour continuer le run.
![[Zap' MDCU] Sorties du 05/04/17](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/img_une_24488_zap-mdcu-sorties-du-05-04-17.jpg)
![[Dossier] 10 ans de New 52 : Les oubliés de la VF](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_35477_dossier-10-ans-de-new-52-les-oublies-de-la-vf_1636630341.jpg)
Avis (1)
Sofia Staff MDCU
il y a 7 ans
Comme à chaque fois, je suis totalement amoureuse de ce série. Mark Russell continue de faire une critique de la société et de son évolution au fil du temps sans pour autant se prendre pour le messie venu délivrer un message quelconque. Je passe toujours un bon moment. Ce dixième numéro aborde la découverte du cinéma à l’époque des cavernes, mais aussi de la guerre, sans oublier les soucis de la vie quotidienne des familles de Fred et Barney. Rien à redire sur les dessins tant je les trouve magnifiques.