Retrouvez ci-dessous toutes les sorties comics prévues aujourd'hui !
Vous pouvez laisser votre avis et une note sous chaque sortie ou via la fiche du comics. Il pourra ainsi apparaitre dans cette actu dans la partie "Les Avis de la Communauté".
A noter également que vous pouvez vous inscrire aux alertes par mail via la page Liste d'Achats de votre profil pour ne louper aucune sortie !
Auteurs : David Walker, Ramon Villalobos
Nighthawk protège Chicago avec une violence loin de celle de la plupart des super-héros. Lorsque les chefs de la pègre sont tués les uns après les autres par un serial-killer, Nighthawk commence à se poser des questions : doit-il arrêter le criminel ? Et s'il ne le fait pas, est-ce qu'il peut vraiment se considérer comme un héros ? (Contient les épisodes US Nighthawk (2016) 1-6, inédits)
Auteurs : Tom DeFalco, J.M. DeMatteis, David Michelinie, Mark Bagley, Sal Buscema, Tom Lyle, Alex Saviuk
Le combat sans merci de Spider-Man face à l'infâme Carnage bat son plein. Et dans cette lutte, outre Venom, on y retrouve aussi Deathlock, Captain America, la Cape ou encore Iron Fist ! (Contient les épisodes Spider-Man Unlimited 2; Web of Spider-Man 103, Amazing Spider-Man 380, Spider-Man 36-37 et Spectacular Spider-Man 202-203, publiés précédemment dans les revues V.I. SPIDER-MAN (SEMIC) 13-14)
Suite et fin de la saga Maximum Carnage, qui même si elle ne reste pas dans les annales pour sa grande qualité, mérite d'être lue et découverte. Elle fait partie intégrante du mythe de l'histoire des symbiotes et de Spider-Man. Si les dessins des années 90 et la violence ne vous rebutent pas, alors foncez. Personnellement c'est une lecture que j'ai appréciée.
Suite et fin d'un récit typique des années 90. De l'ultraviolence, des couleurs qui piquent les yeux, un crossover qui s'étale un peu trop... Si vous aimez cette période, vous serez comblés. Pour les autres, la lecture reste supportable car les auteurs, même s'ils ne sont pas ici au sommet de leur inspiration, ne sont pas des tâcherons.
La dernière oeuvre du très regretté Steve Dillon, parti il y a peu, peut valoir le coup ne serait-ce que pour cet argument. Au-delà de ça, Becky Cloonan, qui entre de plus en plus dans le métier de scénariste, nous sert un récit qui fait le job mais qui n'a rien d'extraordinaire, restant dans des thèmes et schémas assez classiques pour le personnage. Lecture appréciable tout de même, mais loin des références sur le personnage.
Auteurs : Becky Cloonan, Steve Dillon
Le Punisher revient dans de nouvelles et sanglantes aventures. Face à lui, un serial-killer de la pire espèce, Face, qui collectionne les visages de ses victimes. Les derniers épisodes signés par le légendaire Steve Dillon (Contient les épisodes US Punisher (2016) 1-6, inédits)
La dernière oeuvre du très regretté Steve Dillon, parti il y a peu, peut valoir le coup ne serait-ce que pour cet argument. Au-delà de ça, Becky Cloonan, qui entre de plus en plus dans le métier de scénariste, nous sert un récit qui fait le job mais qui n'a rien d'extraordinaire, restant dans des thèmes et schémas assez classiques pour le personnage. Lecture appréciable tout de même, mais loin des références sur le personnage.
Très belle fin pour une maxi-série qui sort de l'ordinaire. L'équipe créative nous délivre un tourbillon d'émotion avec la résolution des problèmes survenus au tout début. C'est une pierre importante pour La Vision et l'univers Marvel puisqu'on nous apporte un nouveau personnage qui comptera par la suite, le retour et le départ d'anciens seconds couteaux ainsi qu'une dose de nostalgie avec l'ancienne relation du héros avec la Sorcière Rouge. Un must, même si certains peuvent être déboussolé par le style du duo en charge du titre.
Fin de cette excellente mini-série Vision, qui aura redéfinit le personnage de Vision, développé correctement ses thèmes et rendre hommage au personnage et son univers. King fait un travail incroyable, on sent que c'est un amoureux de Marvel et grâce à lui, si vous découvriez Vision, vous connaîtrez tout de son histoire (presque tout). La conclusion de la série est excellente et comme promis dans les premiers numéros, c'est tragique. Ajoutez à ça un dessinateur toujours aussi juste... Qu'attendez-vous pour vous jetez dessus ?
Seconde et dernière partie sur la série "La vision".
Si le début de la série posait les bases et développait rapidement ses thèmes de façon astucieuses en prenant soin de faire jouer ses personnages, cette suite et fin se veut logique, censée et très satisfaisante.
Un peu à la manière d'une série télé, les actions des personnages ont des conséquences et la tension cachée derrière les secrets qui s'accumulent participent à faire rentrer le lecteur au plus près de cette famille marginale.
Tout contribue à faire monter l'aspect profondément dramatique de cette série pour finir en apothéose et si le début de la série était à mon sens placé sous le signe de la réalité douloureuse, cette suite se veut celle de la peur et du chagrin. On sent au plus profonds de nous que l'ambiance de ce foyer qui se veut pourtant tellement chaleureux n'aboutit, malgré tout ses efforts, qu'à rester anxiogène et artificiel (attention néanmoins, une grande prouesse réside dans le fait que le foyer ne paraît jamais froid et vide, alors même que ses occupants sont synthétique !)
La série qui jusqu'alors avait préféré laissé dans ses premiers épisodes à Vision un rôle plus neutre puisque le récit choisissait volontairement de nous présenter sa famille, nouvelle, prends ici la liberté de l'impliquer d'avantage, à tel point qu'il en devient un élément déterminant (l'épisode 7 est par ailleurs l'un des meilleurs). Ainsi Vision se voit replacé au même rang que les membres de sa famille, un être se questionnant sur la valeur des émotions sur celle de la raison pure.
Une excellente suite pour une excellente série, qui paraît plus liée que jamais dans ses thématique à la série #WandaVision.
Seconde et dernière partie sur la série "La vision".
Si le début de la série posait les bases et développait rapidement ses thèmes de façon astucieuses en prenant soin de faire jouer ses personnages, cette suite et fin se veut logique, censée et très satisfaisante.
Un peu à la manière d'une série télé, les actions des personnages ont des conséquences et la tension cachée derrière les secrets qui s'accumulent participent à faire rentrer le lecteur au plus près de cette famille marginale.
Tout contribue à faire monter l'aspect profondément dramatique de cette série pour finir en apothéose et si le début de la série était à mon sens placé sous le signe de la réalité douloureuse, cette suite se veut celle de la peur et du chagrin. On sent au plus profonds de nous que l'ambiance de ce foyer qui se veut pourtant tellement chaleureux n'aboutit, malgré tout ses efforts, qu'à rester anxiogène et artificiel (attention néanmoins, une grande prouesse réside dans le fait que le foyer ne paraît jamais froid et vide, alors même que ses occupants sont synthétique !)
La série qui jusqu'alors avait préféré laissé dans ses premiers épisodes à Vision un rôle plus neutre puisque le récit choisissait volontairement de nous présenter sa famille, nouvelle, prends ici la liberté de l'impliquer d'avantage, à tel point qu'il en devient un élément déterminant (l'épisode 7 est par ailleurs l'un des meilleurs). Ainsi Vision se voit replacé au même rang que les membres de sa famille, un être se questionnant sur la valeur des émotions sur celle de la raison pure.
Une excellente suite pour une excellente série, qui paraît plus liée que jamais dans ses thématique à la série #WandaVision
Auteurs : Tom King, Gabriel Walta, Michael Walsh
Suite et fin d'une série acclamée. La famille de Vision est en train d'exploser sous les secrets. En voulant se créer une famille, l'Avenger risque de tout perdre. Un récit bouleversant. (Contient les épisodes US Vision (2016) 7-12, inédits)
Très belle fin pour une maxi-série qui sort de l'ordinaire. L'équipe créative nous délivre un tourbillon d'émotion avec la résolution des problèmes survenus au tout début. C'est une pierre importante pour La Vision et l'univers Marvel puisqu'on nous apporte un nouveau personnage qui comptera par la suite, le retour et le départ d'anciens seconds couteaux ainsi qu'une dose de nostalgie avec l'ancienne relation du héros avec la Sorcière Rouge. Un must, même si certains peuvent être déboussolé par le style du duo en charge du titre.
Fin de cette excellente mini-série Vision, qui aura redéfinit le personnage de Vision, développé correctement ses thèmes et rendre hommage au personnage et son univers. King fait un travail incroyable, on sent que c'est un amoureux de Marvel et grâce à lui, si vous découvriez Vision, vous connaîtrez tout de son histoire (presque tout). La conclusion de la série est excellente et comme promis dans les premiers numéros, c'est tragique. Ajoutez à ça un dessinateur toujours aussi juste... Qu'attendez-vous pour vous jetez dessus ?
Seconde et dernière partie sur la série "La vision".
Si le début de la série posait les bases et développait rapidement ses thèmes de façon astucieuses en prenant soin de faire jouer ses personnages, cette suite et fin se veut logique, censée et très satisfaisante.
Un peu à la manière d'une série télé, les actions des personnages ont des conséquences et la tension cachée derrière les secrets qui s'accumulent participent à faire rentrer le lecteur au plus près de cette famille marginale.
Tout contribue à faire monter l'aspect profondément dramatique de cette série pour finir en apothéose et si le début de la série était à mon sens placé sous le signe de la réalité douloureuse, cette suite se veut celle de la peur et du chagrin. On sent au plus profonds de nous que l'ambiance de ce foyer qui se veut pourtant tellement chaleureux n'aboutit, malgré tout ses efforts, qu'à rester anxiogène et artificiel (attention néanmoins, une grande prouesse réside dans le fait que le foyer ne paraît jamais froid et vide, alors même que ses occupants sont synthétique !)
La série qui jusqu'alors avait préféré laissé dans ses premiers épisodes à Vision un rôle plus neutre puisque le récit choisissait volontairement de nous présenter sa famille, nouvelle, prends ici la liberté de l'impliquer d'avantage, à tel point qu'il en devient un élément déterminant (l'épisode 7 est par ailleurs l'un des meilleurs). Ainsi Vision se voit replacé au même rang que les membres de sa famille, un être se questionnant sur la valeur des émotions sur celle de la raison pure.
Une excellente suite pour une excellente série, qui paraît plus liée que jamais dans ses thématique à la série #WandaVision.
Seconde et dernière partie sur la série "La vision".
Si le début de la série posait les bases et développait rapidement ses thèmes de façon astucieuses en prenant soin de faire jouer ses personnages, cette suite et fin se veut logique, censée et très satisfaisante.
Un peu à la manière d'une série télé, les actions des personnages ont des conséquences et la tension cachée derrière les secrets qui s'accumulent participent à faire rentrer le lecteur au plus près de cette famille marginale.
Tout contribue à faire monter l'aspect profondément dramatique de cette série pour finir en apothéose et si le début de la série était à mon sens placé sous le signe de la réalité douloureuse, cette suite se veut celle de la peur et du chagrin. On sent au plus profonds de nous que l'ambiance de ce foyer qui se veut pourtant tellement chaleureux n'aboutit, malgré tout ses efforts, qu'à rester anxiogène et artificiel (attention néanmoins, une grande prouesse réside dans le fait que le foyer ne paraît jamais froid et vide, alors même que ses occupants sont synthétique !)
La série qui jusqu'alors avait préféré laissé dans ses premiers épisodes à Vision un rôle plus neutre puisque le récit choisissait volontairement de nous présenter sa famille, nouvelle, prends ici la liberté de l'impliquer d'avantage, à tel point qu'il en devient un élément déterminant (l'épisode 7 est par ailleurs l'un des meilleurs). Ainsi Vision se voit replacé au même rang que les membres de sa famille, un être se questionnant sur la valeur des émotions sur celle de la raison pure.
Une excellente suite pour une excellente série, qui paraît plus liée que jamais dans ses thématique à la série #WandaVision
Auteur : Matt Hawkins, Raffaele Ienco
Le monde est désormais une utopie : la violence, la maladie et la souffrance ont été éliminées grâce aux robots et à l'eugénisme. Mais lorsqu'une catastrophe naturelle vient bouleverser ce statu quo, l'ordre établi tremble et une histoire d'amour interdite vient tout remettre en cause. Découvrez l'intégralité de cette série publiée par Image Comics aux États-Unis. (Contient les épisodes US Symmetry 1-8, inédits)
Auteurs : G. Willow Wilson, Takeshi Miyazawa, Adrian Alphona
Ms Marvel a toujours été la première fan de Captain Marvel. Mais durant les événements de Civil War II, la position de Carol Danvers s'éloigne de plus en plus de ce que Kamala Khan défend. Comment la jeune femme va-t-elle pouvoir concilier ses idéaux et la réalité ? (Contient les épisodes US Ms Marvel (2016) 7-12, inédits)
Auteurs : Frank Tieri, Gail Simone, Jim Calafiore, Georges Jeanty, Udon
Trois sagas avec le mercenaire canadien ! Dans Agent of Weapon X, Deadpool reprend du service dans l'agence qui lui a conféré ses pouvoirs. Dans Funeral for a freak, Wade reçoit une offre qu'il ne peut pas refuser : retrouver son visage d'avant ! Pour finir, découvrez les épisodes qui signent la fin de Deadpool ?! (Contient les épisode US Deadpool (1997) 57-69, publiés précédemment dans les albums MARVEL MONSTER : DEADPOOL – Un été meurtrier et DEADPOOL – Funérailles d'un taré)
On dit que la vie n’a pas de prix. La leur ne vaut rien.
Los Angeles... Derrière le soleil, les plages de surfeurs et les tapis rouges, la cité des anges cache un monde de démons, sans morale et sans rêves. Grand est un flic hanté par la vengeance qui tente désespérément de s’accrocher au type bien qu’il croyait être. Leonard est un toxico qui veut retrouver sa famille. Rip est un voyou impliqué dans les combats clandestins. Wendall est celui qui tire toutes les ficelles... Quand la juteuse recette d’une de ses parties de poker est dérobée, ces trois vauriens vont se rendre compte que rédemption et destruction sont leurs seuls tickets de sortie.
Après Sukeban Turbo, Glénat Comics vous propose un nouveau mariage d’auteurs transatlantiques ! L’Américain Brian Buccellato et le Français Alexis Sentenac conjuguent ici leurs talents pour ce récit noir comme la nuit, dans les rues glauques et sauvages de Los Angeles...
En fin d'ouvrage retrouvez, en bonus, le making of de l'album, des études graphiques de personnages et des hommages exclusifs d'auteurs phares de la scène BD ou comics.
Ici, on retrouve les ingrédients principaux de la récente série The Wicked + The Divine: la divinité/mythologie et la musique. Gillen et McKelvie avaient déjà de très bonnes idées à l'époque, mais Phonogram se révèle être une oeuvre dense et laborieuse. On y retrouve des allusions à l'univers de la BritPop, et il fait vraiment être un fervent génie pour les saisir. à ne pas mettre entre toutes les mains, malheureusement.
Oh oui ! Le petit bijou de Kieron Gillen et Jamie KcKelvie débarque enfin en France, fort du succès de The Wicked + The Divine, leur autre série du genre bien plus "bankable". Gillen est un grand passionné de musique et nous démontre ici tout l'étendue de sa passion et de sa culture, voire même de sa névrose par moment ! Il créer un univers très original et passionnant, même s'il s'avère très conceptuel, métaphorique et assez hermétique au premier abord. Mais bon, rien de surprenant, c'est du Gillen, vous avez lu certains de ses X-Men ? Il faut donc donner toute la patience, tout l'approfondissement et toutes les relectures que cette oeuvre mérite, parce qu'elle les mérite vraiment. McKelvie est toujours aussi excellent, leur collaboration a toujours fait des merveilles depuis, et ça a commencé là !
Ce premier volume sera suivi par 2 autres, qui valent tout autant le détour, je vous conseille fortement de tenter la plongée dans cet univers, et encore plus si vous aimez la Bripop et la magie noire ! Et comme dirait Blondie : OOOOOH ! ATOMIC !
Cela fait dix ans que la déesse de la pop Britannia est morte. Dix ans que les méandres de cette affaire hantent les pensées du phonomancien David Kohl. Aujourd’hui, son esprit n’en peut plus. Il est proche de la rupture. Est-il seulement capable de découvrir la vérité tant qu’il lui reste un semblant de raison ? Suivez la quête trouble de ce sorcier du son dans une fable de dark fantasy moderne où la musique est magique, et où une chanson peut sauver votre vie... ou la détruire.
Issu de l’imagination de Kieron Gillen et Jamie McKelvie, Phonogram est comme le cousin punk et underground de The Wicked + The Divine. Une œuvre obscure, fantastique, philosophique et musicale, dans laquelle on peut déjà déceler les thèmes chers aux deux auteurs : le rapport à la pop-culture, au pouvoir et à l’adolescence dans la société contemporaine. Initialement paru en noir et blanc, ce comics atypique bénéficie pour sa sortie inédite en France des couleurs du prodigieux Matthew Wilson !
Ici, on retrouve les ingrédients principaux de la récente série The Wicked + The Divine: la divinité/mythologie et la musique. Gillen et McKelvie avaient déjà de très bonnes idées à l'époque, mais Phonogram se révèle être une oeuvre dense et laborieuse. On y retrouve des allusions à l'univers de la BritPop, et il fait vraiment être un fervent génie pour les saisir. à ne pas mettre entre toutes les mains, malheureusement.
Oh oui ! Le petit bijou de Kieron Gillen et Jamie KcKelvie débarque enfin en France, fort du succès de The Wicked + The Divine, leur autre série du genre bien plus "bankable". Gillen est un grand passionné de musique et nous démontre ici tout l'étendue de sa passion et de sa culture, voire même de sa névrose par moment ! Il créer un univers très original et passionnant, même s'il s'avère très conceptuel, métaphorique et assez hermétique au premier abord. Mais bon, rien de surprenant, c'est du Gillen, vous avez lu certains de ses X-Men ? Il faut donc donner toute la patience, tout l'approfondissement et toutes les relectures que cette oeuvre mérite, parce qu'elle les mérite vraiment. McKelvie est toujours aussi excellent, leur collaboration a toujours fait des merveilles depuis, et ça a commencé là !
Ce premier volume sera suivi par 2 autres, qui valent tout autant le détour, je vous conseille fortement de tenter la plongée dans cet univers, et encore plus si vous aimez la Bripop et la magie noire ! Et comme dirait Blondie : OOOOOH ! ATOMIC !
Edition Collector Exclusive Original Comics !
Couverture exclusive de J. Scott Campbell en série limitée
Limité à 501 Exemplaires
Graphiquement, c'est magnifique, chaque planche est un véritable tableau d'artiste. L'ambiance Mississipi des années 20 est bien retranscrite. Mais j'ai été déçu de ne pas assez voir le personnage central, l'homme noir qui arrive dans la ville et qui sème l'admiration ou la peur chez ses habitants. J'aurais voulu plus de révolution, et la fin tombe au moment où je commençais à savourer. Donc une fois le livre refermé, beaucoup de frustration !
Scénariste : WAID Mark
Coloriste : JONES J.G.
Illustrateur : JONES J.G.
Et si Superman avait atterri en plein milieu d’une petite ville du Mississipi, au sud des États-Unis, en 1927... et qu’il était noir ? Mark Waid (Irrécupérable) et J.G. Jones (Wanted) secouent l’histoire américaine et les préjugés racistes.
Chatterlee. 1927. Le fleuve Mississipi est en crue et menace de dévaster des villes entières. Des villes qui ont vécu – il n’y a pas si longtemps encore – de la richesse des plantations de coton où l’esclavage était de mise. Un être venu d’ailleurs – aux pouvoirs extraordinaires – descend littéralement du ciel et fait irruption au milieu de cette catastrophe naturelle. Sa peau est noire…
Graphiquement, c'est magnifique, chaque planche est un véritable tableau d'artiste. L'ambiance Mississipi des années 20 est bien retranscrite. Mais j'ai été déçu de ne pas assez voir le personnage central, l'homme noir qui arrive dans la ville et qui sème l'admiration ou la peur chez ses habitants. J'aurais voulu plus de révolution, et la fin tombe au moment où je commençais à savourer. Donc une fois le livre refermé, beaucoup de frustration !
Il faut préciser que ce premier volume et très court, puisqu’il est constitué de deux histoires pour un total de 96 pages. Les histoires présentent John Tower, un mercenaire chasseur de fantômes et autres créatures surnaturelles qui part sur les traces d’un mafieux fantôme et d’un serial killer. Rien que ça. Si vous aimez Spawn et autres, cela devrait vous plaire. La partie graphique est cool et détaillée. Par contre, 14.95 € pour moins de 100 pages, ce n’est pas très cool.
John Tower est un chasseur de primes qui propose ses services au plus offrant. Ses missions toutes plus périlleuses les unes que les autres le mènent aux quatre coins du monde. Sa raison de vivre se résume en une phrase : traquer et vaincre les montres les plus horribles oubliés par le monde moderne.
Il faut préciser que ce premier volume et très court, puisqu’il est constitué de deux histoires pour un total de 96 pages. Les histoires présentent John Tower, un mercenaire chasseur de fantômes et autres créatures surnaturelles qui part sur les traces d’un mafieux fantôme et d’un serial killer. Rien que ça. Si vous aimez Spawn et autres, cela devrait vous plaire. La partie graphique est cool et détaillée. Par contre, 14.95 € pour moins de 100 pages, ce n’est pas très cool.
Avis (2)
Sofia Staff MDCU
il y a 7 ans
Suite et fin de la saga Maximum Carnage, qui même si elle ne reste pas dans les annales pour sa grande qualité, mérite d'être lue et découverte. Elle fait partie intégrante du mythe de l'histoire des symbiotes et de Spider-Man. Si les dessins des années 90 et la violence ne vous rebutent pas, alors foncez. Personnellement c'est une lecture que j'ai appréciée.
AfA Staff MDCU
il y a 7 ans
Suite et fin d'un récit typique des années 90. De l'ultraviolence, des couleurs qui piquent les yeux, un crossover qui s'étale un peu trop... Si vous aimez cette période, vous serez comblés. Pour les autres, la lecture reste supportable car les auteurs, même s'ils ne sont pas ici au sommet de leur inspiration, ne sont pas des tâcherons.