Auteurs : Brian M. Bendis, Alex Maleev

Daredevil a commis l’impensable en évinçant Wilson Fisk et en devenant le nouveau caïd de la pègre. Un an plus tard, les yakuzas viennent réclamer leur part du gâteau... Spider-Man, Luke Cage et le Docteur Strange viennent au secours de l’Homme sans peur. (Contient les épisodes US Daredevil (1998) 56-65, publiés précédemment dans l'album MARVEL DELUXE : DAREDEVIL, L'HOMME SANS PEUR 3)

  • AfA
    AfA Staff MDCU

    il y a 8 ans

    Bendis et Maleev savent maintenir l'intérêt du lecteur sur la durée. Un quasi-sans faute. Vous avez aimé les 2 premiers tomes ? Ne vous posez pas de question et achetez celui-là. Vous n'avez pas aimé les 2 premiers tomes ? Vraiment ? Bon, ben vous n'aimerez pas celui-là non plus.

  • Adrien L.
    Adrien L. Staff MDCU

    il y a 8 ans

    On peut reprocher des choses à Bendis, mais ce qu'il a fait sur Daredevil est difficilement critiquable. Son run est dans la continuité de ce qu'avait initié Frank Miller une vingtaine d'années avant. Si vous voulez lire du Daredevil sombre et réaliste, tout le run vaut le coup, ainsi que la suite de Brubaker, et Panini a eu une très bonne idée de rééditer cette série auparavant introuvable, et maintenant à un très bon prix.

  • Kit_Fisto
    Kit_Fisto

    il y a 8 ans

    Poursuite du run de Bendis et Maleev sur l'Homme Sans Peur de Hell's Kitchen à New York avec ce 3ème tome. Matt Murdock alias Daredevil a réussi à renverser le Caïd Wilson Fisk, puis chasser la criminalité de son quartier. Celle-ci s'est donc déverser vers les quartiers défendus par Luke Cage, Iron Fist, ce qui n'est forcément pas bien vus par ces derniers. Côté cœur, l'avocat/justicier roucoule le parfait amour avec Milla, mais c'est cette romance sera-t-elle la bonne pour notre héros? Bientôt la mafia japonaise, les Yakuzas lancent un assaut sur le quartier pour avoir la mainmise sur l'ancien secteur du Kingpin. Daredevil aura fort à faire mais il aura l'appui de Luke Cage, Iron fist, Doctor Strange et Black Widow dans sa lutte acharnée. Toujours en mode réédition à prix attractif, Panini Comics poursuit l'exploitation de la licence Daredevil avec l'avant dernière partie du run de Brian Michael Bendis. L'auteur a beaucoup été décrié sur son écriture ces derniers temps sur les X-Men ou sur les Gardiens de la Galaxie dans le "Marvel Now!" du fait de bien commencer un run mais de ne pas forcément bien le continuer. Ici, aucune déception, Bendis exploite à fond le côté sombre et dépressif de Matt Murdock entre ses peines de cœur et sa lutte quotidienne contre le Mal. Une histoire parfaite pour ceux qui ne connaitrait le personnage que par le biais de la série TV Netflix. Toujours illustré par le bulgare Alex Maleev, l'artiste renforce le côté sombre et noir de l'histoire de par son style et son encrage tout en livrant de superbes planches d'action. On notera également plusieurs moments de la vie du héros et réaction qu'il aurait pu avoir entrainant diverses possibilités à celui-ci dans le dernier volet dessinés successivement par Michael Golden Greg Horn, Jae Lee,Chris Bachalo, David Finch/ David Finch et Frank Quitely dans ce numéro anniversaire pour les 40 ans de DD en 2004 (déjà publié dans la récente anthologie "Je suis Daredevil" aussi chez Panini). Au final, un album indispensable pour un run qui l'est tout autant pour tout fan de l'Homme Sans Peur, Démon Gardien de Hell's Kitchen dans les comics et la série TV Netflix en cours.

  • Elmaestro84
    Elmaestro84

    il y a 4 ans

    Un des meilleurs runs sur DD et on comprend pourquoi en le lisant. Ecrit par un Bendis au top de sa forme à l'époque, on suit Matt Murdock dans une fâcheuse posture après un changement inédit dans sa vie, et il y en a eu un grand nombre ! C'est bien rythmé, l'intrigue se suit avec beaucoup de plaisir tellement c'est génial et Maleev y est pour beaucoup aussi.

  • Marvellous-TM
    Marvellous-TM

    il y a 1 an

    Bendis et Maleev font toujours autant de dégâts dans la vie de Matt, et on en redemande pourtant volontiers. Seul point négatif de ce tome : quelques ellipses un peu trop longues qui oublient de construire des vraies relations entre les personnages.