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John Connor, chef de la Résistance, expédie Kyle Reese en 1984, pour tenter de sauver Sarah Connor d’un T-800. Avant d’accepter cette mission, Kyle Reese n’était qu’un homme parmi tant d’autres, luttant pour survivre dans un monde annihilé par la technologie destructrice de Cyberdyne.
Terminator 2029 révèle qui était réellement Kyle Reese, avant qu’il ne remonte le temps afin de se mesurer à un cyborg meurtrier. Mais aussi qui étaient ses frères d’armes dans ce monde plongé dans le chaos et la guerre, et dans lequel les Terminators ne sont pas les seules menaces.

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[b]Paru le 11/04/2012 chez Soleil Titre : 2029 Type : Comics Collection : Soleil US Comics Genres : Science fiction, Guerre Nb. pages : 80 Colorisation : couleur Prix éditeur : 14 euros Dessinateur : Andy MACDONALD Scénariste : Zack Whedon[/b] [titre]Synopsis : [/titre] [i]John Connor, chef de la Résistance, s'apprête à expédier Kyle Reese en 1984, pour tenter de sauver Sarah Connor de la menace d'un T-800. Avant d'accepter cette mission, Kyle Reese n'était qu'un homme parmi tant d'autres, luttant pour survivre dans un monde annihilé par la technologie destructrice de Cyberdyne. Qui était réellement Kyle Reese avant qu'il ne remonte le temps afin de se mesurer à un cyborg meurtrier ? Qui étaient ses frères d'armes, dans ce monde plongé dans le chaos et la guerre, et dans lequel les Terminators ne sont pas les seuls dangers ?[/i] [titre]La Review de Scar :[/titre] Bon, autant le dire d’emblée, je suis de ceux qui vénéraient Terminator à l’époque où il n’y avait encore que deux films. Sans dire que j’ai lu ce volume à reculons, on peut tout de même dire que je ne me suis pas précipité dessus et que j’avais un peu peur de me perdre. Qu’en est-il en fin de compte ? Déjà, un très gros point positif, le scénario de ce premier volume s’inscrit parfaitement dans la continuité que je connais (une continuité que je ne maîtrise pourtant pas parfaitement). Je n’étais pas perdu, j’ai pu tout suivre à l’aise en ne connaissant que les deux premiers films par cœur. Apparemment, le scénariste est plutôt chaud pour mettre clairement les pieds dans le plat et ne pas simplement faire une histoire secondaire dans l’univers de Terminator pour éviter de se frotter aux travaux précédents. Un très bon point. Aussi, la violence et le sang sont loin d’être omniprésents. Malgré les nombreuses batailles, on comprend que l’on reste dans le domaine de la fiction futuriste apocalyptique. Ils n’ont pas fait l’erreur de tomber dans l’horreur de base. Merci bien, je ne voulais pas lire Terminator pour voir des flots de sang, j’avais déjà Crossed pour ça. En somme, je reste surpris et satisfait du scénario. Certains gros, gros fans trouveront peut-être déjà des incohérences mais je ne préfère pas entrer sur ce terrain-là, je reste un « petit fan » de Terminator. Les dessins sont très bons notamment les scènes d’actions qui sont très bien représentées (le tout accentué par un découpage assez classique mais efficace). Tout le travail touchant l’univers robotique reste aussi plutôt impressionnant. Les T800 (ou Terminator donc) sont plutôt bien dessinés et dégagent cette aura horrifique de la scène de fin du premier film que l’on apprécie tous. Les autres robots que l’on avait pu également voir à travers les films par ci par là restent aussi plutôt bien représentés. Au niveau des covers, elles sont quand même impressionnantes et retransmettent bien l’idée générale. En somme, je cherche encore des côtés négatifs à ce volume. Oh… si, je me souviens. Il y a ENCORE des fautes. C’est tout de même décevant de lire ce qui frôle une révélation et sortir au moins par deux fois de sa lecture pour cause de manque de relectures. On ne peut pas parler de côté négatif, cela arrive les erreurs. Mais cela reste frustrant. Comme quoi « Les Tortues Ninja » n’était pas un cas isolé. C'est bien dommage car pour le reste, je ne trouve rien à redire. Je trouverai à cette série une place de choix dans ma bibliothèque. [conclusion=5][/conclusion] [onaime]- Le respect de l'univers - Les dessins - Le design des T800 et le décor apocalyptique - Les covers - L'accessibilité apparente du comics[/onaime][onaimepas]- Rien, j'en veux encore.[/onaimepas]