Captain America Par Brubaker & Hitch T04
Synopsis
Auteurs : Brubaker, Hitch, Ross, Colan Bucky Barnes est devenu le nouveau Captain America après la disparition de Steve Rogers. Tout le monde croit le héros mort, mais le dernier combat de Bucky, Sharon et le Faucon face à Crâne Rouge, leur a redonné une lueur d'espoir et ils savent désormais que seule Sharon est en mesure de sauver la vie de son bien-aimé ! (Contient les épisodes US Captain America (2005) 49-50 & 600-601, Captain America Reborn 0-6 et Captain America : Who Will Wield the Shield, publiés précédemment dans les albums MARVEL DELUXE : CAPTAIN AMERICA 6 et RENAISSANCE)Dans la même série
Les avis
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Pas le meilleur volume de ce fantastique run. On regrettera notamment le retour maladroit de Steve Rogers d'entre les morts avec une mini-série Captain America Reborn qui vaut plus par les dessins de Hitch que par son scénario. Ca reste toutefois une lecture de qualité et une pierre angulaire de la saga de Brubaker. -
Le seul point faible de ce nouveau tome intégrale est le Captain America Reborn qui ne brille pas par son exécution ni sa mise en avant du retour de Steve Rogers. Toutefois, il serait criminel de ne pas se procurer cette suite du talentueux Brubaker. -
Je n'ai pas beaucoup mieux à dire que mes compères, ce n'est pas la meilleure partie du run de Brubaker sur le personnage, clairement, mais en même temps le reste est tellement excellent, difficile de rivaliser quand on essaie de ramener un personnage quelques mois seulement après son trépas. C'est tout de même plus qu'appréciable, et dessiné par Hitch, et ça s'intégre surtout très bien dans le run dans son ensemble, donc foncez. -
Clairement Reborn est un gros loupé dans l’excellent run de Bru.
Il fallait ramener Steve, mais le procedé est completement illogique et mal amené...
Du coup cela perd en realisme et en coherence...
Heureusement que Hytch assure aux dessins! -
Le retour de Steve Rogers ne se fait malheureusement pas de la plus belle des manières. On est souvent perdu face à ce scénario rempli de noeuds et qui a du mal à être clair, ce qui en fait un récit bien confus. Bryan Hitch est tout de même là pour combler les lacunes du récit et on gardera en tête quelques passages s'intéressant à la psyché de Steve Rogers.
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