Plusieurs criminels et repris de justice sont regroupés pour former l'équipe des Thunderbolts et ainsi effectuer des missions pour le gouvernement américain. Après avoir découvert qu'ils ont été utilisés en réalité pour une mission suicide visant à tuer un homme emprisonné, les Thunderbolts se rebellent contre leur fondateur, Valentina de Fontaine, et le gouvernement américain...
De la même façon qu’ils avaient saboté toute possibilité d’un Planète Hulk digne de ce nom en le diluant dans une parodie humoristique mal calibrée (Thor: Ragnarok), Marvel récidive avec Thunderbolts. Encore une fois, l’humour est mal dosé, systématiquement placé au mauvais moment, ruine l’ambiance et désamorce toute tension dramatique.
Quant à Sentry, il est ici totalement sous-exploité : pas de profondeur, pas d’impact, pas d’intérêt. Une coquille vide qu’on oublie à peine sorti de la salle.
L’intrigue, quant à elle, peine à se structurer : confuse, décousue, elle semble ne jamais savoir où aller ni pourquoi. Le résultat ? Un énième navet, comme Marvel sait tristement en produire à la chaîne depuis quelques années. On ressort de Thunderbolts avec une impression de vide, de temps perdu, et la confirmation que le MCU est en pleine dégringolade créative.
Ma note : 0,5/5 (j’ai adoré le popcorn)
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