Nouveau numéro de la rubrique MDCU consacrée aux sorties VO hebdomadaires, le Zap' MDCU !
C'est parti pour les sorties du 17 août ! Cette semaine, Supergirl a son numéro Rebirth, Suicide Squad et Birds of Prey commencent et le premier arc de Batman se conclut. Chez Marvel, on continue de suivre Poe Dameron et Black Widow. Enfin, en indé, Dark Horse propose une nouvelle série de Brian Wood : Briggs Land.
Vous pouvez toujours participer à cette rubrique, il vous suffit pour ça de vous laisser vos critiques sur les fiches des numéros, que vous trouverez listées chaque semaine dans le calendrier des sorties VO. Elles apparaitront ensuite dans les numéros du Zap à la vue de tous!
Ce numéro Rebirth de Supergirl était nécessaire vu les changements intervenus dans la vie de l'héroïne. Du coup, ce numéro nous place Supergirl dans un contexte plus proche de celui de la série Tv, mais pas trop. Elle est à National City et travaille pour la DEO. Les points communs s'arrêtent là. L'essentiel du numéro voit Kara tenter de retrouver ses pouvoirs tandis qu'un kryptonien débarque et se transforme en loup garou. L'ensemble est vraiment pas fou, et la page finale qui est censée lancer l'intrigue du premier arc ne donne pas spécialement envie. Les dessins de Lupacchino sont par contre très bons.
J'ai eu du mal à trouver une voix à Supergirl dans ce numéro, voir à y trouver une Supergirl intéressante tout court. La raison principale étant que Steve Orlando passe plus de temps à introduire le nouveau contexte et les personnages secondaires qu'à vraiment nous faire redécouvrir Kara. Ce n'est pas forcément une mauvaise chose mais ce n'est pas ce que j'attends d'un numéro Rebirth sur Supergirl. D'autant que sa nouvelle situation et son nouveau rôle (apparemment grandement influencés la série TV), ne m'attirent absolument pas. Heureusement, une intrigue plutôt intéressante sur son passé semble se dessiner, même si pour l'instant ce n'est pas fou non plus de ce côté. Les dessins de Emanuela Lupacchino que je connaissais pas remontent clairement le niveau de ce numéro. On peut donner une chance au numéro #1 mais il va falloir qu'il soit bien plus convaincant.
J'ai eu beaucoup de mal à me fait happer par l'histoire, car Kara n'est pas vraiment le personnage central pour le moment. Je dirais que ce sont plus les personnages secondaires, dont les parents adoptifs et le reste du DEO. Oui, quelques ajustement sont apporté et qui sont directement inspirée de la série comme la ville National City et le DEO. Les dessins sont beaux, maintenant j'aimerai que le scénario évolue un peu plus, et nous parle plus de Kara.
La série n’avait pas encore débuté qu’une annonce concernant une adaptation voyait était déjà annoncée par AMC. L’histoire de Brian Wood (DMZ) suit le personnage de Grace Briggs, la matriarche d’une famille qui prend le contrôle d’un groupe anti-gouvernemental (autrefois entre les mains de son mari) au pays de l’Oncle Sam. Grace possède une personnalité forte et bien construite. Entre mouvement politique et girl power, le récit est intéressant et bien mené, et au final on peut comprendre pourquoi AMC a déjà mis une option dessus. À découvrir sans plus attendre.
Le très prolifique Brian Wood revient avec une série évènement et un récit une nouvelle fois engagé et politique, comme il les aime. Le pitch de départ est plutôt original, ce n'est pas un sujet que l'on voit abordé et rien que pour cette originalité, la série vaut le coup d'oeil. D'autant plus que ce premier numéro est très efficace, présentant le contexte, les nombreux personnages, leurs personnalités et leurs motivations en quelques pages, et faisant déjà bien avancé l'histoire en lançant nombre d'intrigues. Le personnage principal est bien travaillé et la narration est très plaisante, tout pour en faire un très bon premier numéro. L'aspect moins positifs est peut-être le dessin de Mack Chatter, qui manque souvent de détails, notamment pour les décors, et qui semble trop bruts par moments. Ils installent néanmoins une ambiance intéressante, qui est plutôt bien aidée par les couleurs de Lee Loughridge. Une série à suivre sans aucun doute !
La série n’avait pas encore débuté qu’une annonce concernant une adaptation voyait était déjà annoncée par AMC. L’histoire de Brian Wood (DMZ) suit le personnage de Grace Briggs, la matriarche d’une famille qui prend le contrôle d’un groupe anti-gouvernemental (autrefois entre les mains de son mari) au pays de l’Oncle Sam. Grace possède une personnalité forte et bien construite. Entre mouvement politique et girl power, le récit est intéressant et bien mené, et au final on peut comprendre pourquoi AMC a déjà mis une option dessus. À découvrir sans plus attendre.
Le très prolifique Brian Wood revient avec une série évènement et un récit une nouvelle fois engagé et politique, comme il les aime. Le pitch de départ est plutôt original, ce n'est pas un sujet que l'on voit abordé et rien que pour cette originalité, la série vaut le coup d'oeil. D'autant plus que ce premier numéro est très efficace, présentant le contexte, les nombreux personnages, leurs personnalités et leurs motivations en quelques pages, et faisant déjà bien avancé l'histoire en lançant nombre d'intrigues. Le personnage principal est bien travaillé et la narration est très plaisante, tout pour en faire un très bon premier numéro. L'aspect moins positifs est peut-être le dessin de Mack Chatter, qui manque souvent de détails, notamment pour les décors, et qui semble trop bruts par moments. Ils installent néanmoins une ambiance intéressante, qui est plutôt bien aidée par les couleurs de Lee Loughridge. Une série à suivre sans aucun doute !
Minority Report dans toute sa splendeur. Logan doit être arrêté pour un crime qu'il n'a pas commis et qu'il fera dans un futur proche. L'ensemble de l'histoire repose sur ça, donc il y a beaucoup d'actions: Captain America Vs Wolverine, ça envoie du lourd niveau baston. Laura est toujours aussi Badass et Gabby, drôle et mignonne. Voilà, je m’arrêterais là pour ne pas spoiler la fin même si il y a beaucoup de choses à dire dessus, on verra la prochaine fois. Par contre, ça me fait mal de voir comment Cap' est représenté ici mais si on sait ce qu'il se passe dans sa série principale, on comprend mieux. Mais c'est dur quand même.
Minority Report dans toute sa splendeur. Logan doit être arrêté pour un crime qu'il n'a pas commis et qu'il fera dans un futur proche. L'ensemble de l'histoire repose sur ça, donc il y a beaucoup d'actions: Captain America Vs Wolverine, ça envoie du lourd niveau baston. Laura est toujours aussi Badass et Gabby, drôle et mignonne. Voilà, je m’arrêterais là pour ne pas spoiler la fin même si il y a beaucoup de choses à dire dessus, on verra la prochaine fois. Par contre, ça me fait mal de voir comment Cap' est représenté ici mais si on sait ce qu'il se passe dans sa série principale, on comprend mieux. Mais c'est dur quand même.
Fin du premier arc pour cette nouvelle série Black Widow qui ne déçoit pas et est à la hauteur de la réputation de ses auteurs. Un numéro moins rythmé que les précédents mais qui contient deux jolis twists que l'on ne voit pas forcément venir, continuant d'imposer Natasha comme un personnage fort et dangereux. La construction de l'intrigue a été intéressante durant tout l'arc, introduisant de nombreux éléments, dont un majeur, qui vont être développés par la suite et le final laisse présager du bon pour cette suite. Malgré l'utilisation du passé de Widow, qui est presque commun à toutes ses histoires, Waid et Samnee ont réussi à servir quelque chose d'assez intéressant, qui sort du lot de par sa narration et sa mise en scène. Et pour cela, il faut féliciter le talent de Samnee et sa complicité avec Waid, qui font un travail remarquable et presque précurseur. Vivement octobre pour la suite.
Fin du premier arc pour cette nouvelle série Black Widow qui ne déçoit pas et est à la hauteur de la réputation de ses auteurs. Un numéro moins rythmé que les précédents mais qui contient deux jolis twists que l'on ne voit pas forcément venir, continuant d'imposer Natasha comme un personnage fort et dangereux. La construction de l'intrigue a été intéressante durant tout l'arc, introduisant de nombreux éléments, dont un majeur, qui vont être développés par la suite et le final laisse présager du bon pour cette suite. Malgré l'utilisation du passé de Widow, qui est presque commun à toutes ses histoires, Waid et Samnee ont réussi à servir quelque chose d'assez intéressant, qui sort du lot de par sa narration et sa mise en scène. Et pour cela, il faut féliciter le talent de Samnee et sa complicité avec Waid, qui font un travail remarquable et presque précurseur. Vivement octobre pour la suite.
Encore un bon épisode. La négociation continue, même si ça tourne au vinaigre (logique, vu les participants). Le petit plus du jour, c'est quand même les quelques pages montrant un BB8 leader d'un drôle de petit groupe de droïdes. Au temps le spécial sur C-3P0, j'avais détesté, là, c'était amusant de suivre leurs facéties.
Encore un bon épisode. La négociation continue, même si ça tourne au vinaigre (logique, vu les participants). Le petit plus du jour, c'est quand même les quelques pages montrant un BB8 leader d'un drôle de petit groupe de droïdes. Au temps le spécial sur C-3P0, j'avais détesté, là, c'était amusant de suivre leurs facéties.
Bien triste fin. Difficile de donner son avis sans trop spoiler cette fois mais il y a du mélodrame, de l'action, des caméos, de l'humour (merci Alfred pour ce moment) et de belles planches de Finch. Par contre, je me suis plus vite attaché au duo "Gotham" qu'à Duke qui, ici encore, est plus qu'inutile. Finalement, passé les 2 premiers numéros, on reste pour la suite. Peut-être que les attentes étaient trop énormes pour le #1 mais l'histoire est au final imparfaite mais agréable quand même. Très hâte de lire l'épilogue la prochaine fois.
Bien triste fin. Difficile de donner son avis sans trop spoiler cette fois mais il y a du mélodrame, de l'action, des caméos, de l'humour (merci Alfred pour ce moment) et de belles planches de Finch. Par contre, je me suis plus vite attaché au duo "Gotham" qu'à Duke qui, ici encore, est plus qu'inutile. Finalement, passé les 2 premiers numéros, on reste pour la suite. Peut-être que les attentes étaient trop énormes pour le #1 mais l'histoire est au final imparfaite mais agréable quand même. Très hâte de lire l'épilogue la prochaine fois.
Comme depuis le premier numéro, ce récit post-apocalyptique de l’univers de Scooby-Doo est un vrai vent de fraîcheur. Partant sur la note de la nostalgie en utilisant des personnages célèbres dans le monde entier, Keith Giffen et J. DeMatteis ont compris comment construire un univers cohérent sans y intégrer trop de détails qui risqueraient de gâcher le récit. Mention spéciale au nouvel antagoniste, ainsi qu’au développement des personnages de Fred et Velma. Les dessins de Porter restent dans ce qu’il fait depuis le début, c’est-à-dire excellent.
Comme depuis le premier numéro, ce récit post-apocalyptique de l’univers de Scooby-Doo est un vrai vent de fraîcheur. Partant sur la note de la nostalgie en utilisant des personnages célèbres dans le monde entier, Keith Giffen et J. DeMatteis ont compris comment construire un univers cohérent sans y intégrer trop de détails qui risqueraient de gâcher le récit. Mention spéciale au nouvel antagoniste, ainsi qu’au développement des personnages de Fred et Velma. Les dessins de Porter restent dans ce qu’il fait depuis le début, c’est-à-dire excellent.
Après avoir appris que les numéros seraient coupés en deux faute à un Jim Lee pas très rapide, on pouvaient s'attendre à une histoire bien ralentie. Et malheureusement, c'est ce que l'on a. En 12 pages, la Suicide Squad est formée - et encore c'est vite dit vu la façon de faire - , on suit son voyage vers le lieu de la mission et ... c'est tout. On ne peut absolument rien dire sur le contenu du chapitre. En plus de ça , pour mettre un peu de hype dans le tout et faire sourire (enfin c'est ce qui était voulu), Harley joue à Pokemon Go dans l'espace... Les dessins de Jim Lee sont clairement pas à la hauteur de ce qu'on pouvait espérer, surtout pour un premier numéro. Heureusement, le back up vient sauver le titre du naufrage complet. Centré sur Deadshot, on montre une nouvelle fois son attachement à sa fille et le fait qu'il ne soit pas véritablement du mauvais côté. C'est bien écrit et surtout c'est très beau.
Après avoir appris que les numéros seraient coupés en deux faute à un Jim Lee pas très rapide, on pouvaient s'attendre à une histoire bien ralentie. Et malheureusement, c'est ce que l'on a. En 12 pages, la Suicide Squad est formée - et encore c'est vite dit vu la façon de faire - , on suit son voyage vers le lieu de la mission et ... c'est tout. On ne peut absolument rien dire sur le contenu du chapitre. En plus de ça , pour mettre un peu de hype dans le tout et faire sourire (enfin c'est ce qui était voulu), Harley joue à Pokemon Go dans l'espace... Les dessins de Jim Lee sont clairement pas à la hauteur de ce qu'on pouvait espérer, surtout pour un premier numéro. Heureusement, le back up vient sauver le titre du naufrage complet. Centré sur Deadshot, on montre une nouvelle fois son attachement à sa fille et le fait qu'il ne soit pas véritablement du mauvais côté. C'est bien écrit et surtout c'est très beau.
Un premier numéro en demi-teinte où l’on s’ennuie un peu, et c’est dommage quand on voit le trio choisi pour le titre. Les fans devront se contenter du peu qu’offre ce titre, en espérant que le scénariste voit les choses en plus grand pour la suite, même si je m’attends à rien. Les dessins sont à l’image du récit : en dents de scie, tantôt bons tantôt acceptables voir pas du tout.
Un premier numéro en demi-teinte où l’on s’ennuie un peu, et c’est dommage quand on voit le trio choisi pour le titre. Les fans devront se contenter du peu qu’offre ce titre, en espérant que le scénariste voit les choses en plus grand pour la suite, même si je m’attends à rien. Les dessins sont à l’image du récit : en dents de scie, tantôt bons tantôt acceptables voir pas du tout.
Fin de cette série dont on doutais qu'elle aille plus loin à cause de son format. Depuis le début, la qualité a peu changé. Firestorm et Metamorpho sont au plus bas niveau scénaristique et Aaron Lopresti n'est clairement pas au niveau sur les dessins de Metamorpho non plus. La meilleure série reste Sugar et Spike toujours drole, et vraiment drôle, pas comme Harley Quinn qui se veut drôle. Je vous conseille d'acheter le TPB quand il sortira. Enfin, Metal Men était un arc sympathique loin d'être sans défaut mais qui faisait passer un bon moment (surtout après la lecture de Firestorm et Metamorpho). Ces deux dernières série mériteraient une nouvelle mini-série/série continue. Si l'idée de base était bonne, il manquait un gros calibre pour faire vendre le comic (Firestorm n'est pas un gros calibre).
Fin de cette série dont on doutais qu'elle aille plus loin à cause de son format. Depuis le début, la qualité a peu changé. Firestorm et Metamorpho sont au plus bas niveau scénaristique et Aaron Lopresti n'est clairement pas au niveau sur les dessins de Metamorpho non plus. La meilleure série reste Sugar et Spike toujours drole, et vraiment drôle, pas comme Harley Quinn qui se veut drôle. Je vous conseille d'acheter le TPB quand il sortira. Enfin, Metal Men était un arc sympathique loin d'être sans défaut mais qui faisait passer un bon moment (surtout après la lecture de Firestorm et Metamorpho). Ces deux dernières série mériteraient une nouvelle mini-série/série continue. Si l'idée de base était bonne, il manquait un gros calibre pour faire vendre le comic (Firestorm n'est pas un gros calibre).
Avis (3)
BartAllen Staff MDCU
il y a 8 ans
Ce numéro Rebirth de Supergirl était nécessaire vu les changements intervenus dans la vie de l'héroïne. Du coup, ce numéro nous place Supergirl dans un contexte plus proche de celui de la série Tv, mais pas trop. Elle est à National City et travaille pour la DEO. Les points communs s'arrêtent là. L'essentiel du numéro voit Kara tenter de retrouver ses pouvoirs tandis qu'un kryptonien débarque et se transforme en loup garou. L'ensemble est vraiment pas fou, et la page finale qui est censée lancer l'intrigue du premier arc ne donne pas spécialement envie. Les dessins de Lupacchino sont par contre très bons.
Julien Staff MDCU
il y a 8 ans
J'ai eu du mal à trouver une voix à Supergirl dans ce numéro, voir à y trouver une Supergirl intéressante tout court. La raison principale étant que Steve Orlando passe plus de temps à introduire le nouveau contexte et les personnages secondaires qu'à vraiment nous faire redécouvrir Kara. Ce n'est pas forcément une mauvaise chose mais ce n'est pas ce que j'attends d'un numéro Rebirth sur Supergirl. D'autant que sa nouvelle situation et son nouveau rôle (apparemment grandement influencés la série TV), ne m'attirent absolument pas. Heureusement, une intrigue plutôt intéressante sur son passé semble se dessiner, même si pour l'instant ce n'est pas fou non plus de ce côté. Les dessins de Emanuela Lupacchino que je connaissais pas remontent clairement le niveau de ce numéro. On peut donner une chance au numéro #1 mais il va falloir qu'il soit bien plus convaincant.
Sofia Staff MDCU
il y a 7 ans
J'ai eu beaucoup de mal à me fait happer par l'histoire, car Kara n'est pas vraiment le personnage central pour le moment. Je dirais que ce sont plus les personnages secondaires, dont les parents adoptifs et le reste du DEO. Oui, quelques ajustement sont apporté et qui sont directement inspirée de la série comme la ville National City et le DEO. Les dessins sont beaux, maintenant j'aimerai que le scénario évolue un peu plus, et nous parle plus de Kara.