Retrouvez ci-dessous toutes les sorties comics prévues aujourd'hui !
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Tyler Shainline est issu de la famille d'assassins la plus dangereuse au monde. À 13 ans, il rejoint naturellement la prestigieuse école Five Weapons, où sont formés les meilleurs assassins, la crème de la crème du meurtre. À son arrivée, on lui demande de choisir sa spécialité parmi les cinq disciplines : bâtons, lames, arc, armes à feu et armes exotiques. Mais Tyler refusede choisir parmi ces options : sa seule arme sera son esprit aiguisé. Cela lui suffira-t-il pour survivre dans cette école de la mort ?
Êtes-vous une femme de taille à survivre à... Bitch Planet ?
Le futur. Le monde est gouverné par le diktat des hommes. Les femmes qui ne se plient pas aveuglément à leur volonté doivent être « rééduquées ». À l’issue d’un discours évangélisateur psalmodié en boucle dans leur sommeil, elles sont expédiées dans l’établissement auxiliaire de conformité, une prison pour femmes en orbite au-dessus de la Terre. Ces rebelles qui rejettent les règles masculines vont ainsi découvrir les joies de la vie carcérale dans cette boîte de métal que l’on appelle « Bitch Planet. »
Entre pamphlet social, miroir de notre bonne vieille société patriarcale et récit d’aventure futuriste enlevé, Bitch Planet nous invite à découvrir un monde où les femmes se rebellent contre l’injustice et les disparités du consumérisme moderne. Un récit engagé en forme de coup de poing narratif et graphique, orchestré par la brillante Kelly Sue DeConnick (Pretty Deadly, Captain Marvel) et Valentine De Landro (X-Factor). En bonus à cette édition Glénat Comics : une couverture inédite, un appareil critique sur le féminisme et la culture populaire rédigé par Pia-Victoria Jacqmart, des interviews exclusives des auteurs, des fausses-pubs, et plein d’autres surprises !
Mon coup de coeur de ce début de mois ! Un trip féministe et ultra non-conforme dans un univers carcéral à la Orange is the new black qui nous surprend dès son 1er numéro ! A lire de toute urgence.
On n’est jamais mieux trahi que par les siens...
Le monde est en guerre. La famille Carlyle doit maintenant se battre pour se défendre. Alors que Malcolm Carlyle est aux portes de la mort, ses frères et sœurs ont du mal à garder le contrôle. D’autant que la guerre et la trahison vont de pair. Et une révélation surgissant du passé pourrait bien changer la vie de Forever pour toujours...
Acclamée par la critique (en sélection dans les meilleures séries du New York Times) et le public, un projet d’adaptation série TV en cours, Lazarus s’est imposée au fil des tomes comme la série à succès du catalogue Glénat Comics. Découvrez Poison : son 4ème arc, plus dramatique et plus épique que jamais !
Près de 140 ans après le règne de terreur de Palpatine, la Galaxie n’est pas apaisée. Jedi, Sith et Chevaliers Impériaux mènent une guerre d’influence au coeur de laquelle un descendant des Skywalker tourne le dos à son héritage Jedi.
Cade désire qu’on le laisse en paix. Mais lorsque vous venez de ravager un temple Sith, de vaincre deux des meilleures lames de l’Empereur et que vous vous trouvez être l’unique héritier des Skywalker, difficile de passer inaperçu. Retiré dans l’un des derniers sanctuaires Jedi, Cade a pris sa décision : il va assassiner Dark Krayt. Reste à savoir si les Jedi le suivront sur ce chemin obscur…
Un arc pas fou des Gardiens qui voyait l'introduction de nouveaux membres (comme si il y en avait pas assez) et qui n'ont pas vraiment d'intérêt. La seule chose à retenir est la présence de Nick Bradshaw à la partie graphique
Probablement de ce qu'il y a de plus potable dans le run de Bendis. C'est sympathique, il y a une bonne histoire, de l'action et de bons dessins. Malheureusement, ça empire par les tomes suivants. Bref, à vous de voir, mais quitte à choisir, privilégier le tome de Avengers, Time Runs Out 1.
ça se lit assez bien, la narration est fluide et dynamique, les dessins plaisant surtout pour Bradshaw mais ça manque clairement d'enjeux, dommage...
FCBD GotG2014 Tony Stark alias Iron Man quitte les Gardiens mais recrute Flash Thompson alias agent Venom pour compléter la team avec un autre terrien. 4/5 GotG#14 Numéro anniversaire pour les Gardiens avec des pages supplémentaires. Dans l’histoire principale, L’équipe est en mauvaise posture : Peter Quill/Star-Lord et Groot sont capturés par la flotte de Spartax, Gamora est rattraper par un chasseur de primes qu’elle croyait avoir tué, tandis que Drax est kidnappé par les Shi’ar sous les yeux impuissants de Flash Thompson alias Venom. Les Gardiens sont en mauvaise posture, mais Carol Danvers, le Captain Marvel vient à la rescousse. 4/5 #15 Les membres de l’équipe sont séparés et prisonniers par leurs différents ennemis. Même le petit dernier de l’équipe, Flash Thompson alias Venom tombe dans un piège tendu par les skrulls. Un numéro tout en divertissement et plein d’action. Mais après la couv' fait état de la présence de Captain Marvel/Carol Danvers et c'est un peu de la publicité mensongère tout de même.4/5 #16 Nos héros sont toujours dispersés et prisonniers de leurs divers ennemis ou opposants. Comment s'en sortiront-ils? Bientôt une héroïne en renfort! Encore du bon boulot pour Bendis sur le titre appuyé par les très bons dessins de Nick Bradshaw. 4,5/5 #17 Star-Lord et Gamora sont sauvés respectivement par Cpt Marvel (ex Miss Marvel) et Angela. A leur tour de sauver leurs compagnons de route. L'équipe va de nouveau être réunie.Encore du bon taf par le duo Dendis/Bradshaw accompagné de Michael Oeming. 4,5/5 GotG Annual #1 L'équipe de héros galactique de la Maison des Idées s'allient à des "LMD" (Life Model Decoy) du SHIELD qui combattent une flotte Skull depuis des années à travers l'univers, et ce depuis la fin de la guerre Krees/Skulls. C'est bien dessiné par Frank Cho mais un peu What The Fuck? quand même ! 3,5 Un Troisième recueil des Gardiens sauce Marvel Now après le cross over Trial of Jean Grey. L'Equipe est séparée et les enjeux restent assez moindre que le fait de les voir se réunir à nouveau. Mention spéciale à l'arrivé de Cpt Marvel et Venom dans la team. On sent que Bendis lâche un peu l'affaire niveau scénario. Heurseusement q'il est appuyé par des bons aux dessins comme Nick Bradshaw et Todd Nauck parmi d'autres...
Un tome 3 un peu dessous des précédents, le scénario n'a pas un grand intêret. J'étais tout content de voir Venom rejoindre l'équipe des Gardiens, mais au final il ne fait rien ne sert à rien, c'est à se demander pourquoi l'avoir mis dans ce tome?? Ca se lit, par ailleurs, il y a l'affrontement en stard Lord et son père mais ce n'est pas passionnat pour autant.
Bendis ne sait plus trop quoi raconter... En tout cas c'est l'impression que me donne ce tome. On commence par l'intégration un peu sortit de nulle part (pas la planète-crâne de céleste hein) d'Agent Venom... Peu convaincu par l'intérêt de ce personnage dans l'équipe... Et malheureusement pour lui il arrive au moment ou le père de Quill décide de s'allier avec d'autre empires galactiques pour dissoudre les Gardiens ! Suite à cela Captain Marvel également fera un petit séjour chez nos Gardiens avec une histoire franchement inutile et ennuyeuse. On termine le tome avec une histoire sympathique se passant durant l'enfance de Groot.
Pichelli est ici remplacée principalement par Nick Bradshaw, je trouve que le niveau baisse encore un peu, mais ça reste agréable à lire. En revanche le style très marqué de Michael Avon Oeming me laisse perplexe, ce n’est pas ma tasse de thé ! Quant à Frank Cho, il s'en sort bien sur son épisode.
L'agent Venom et Captain Marvel rejoignent l'équipe des Gardiens de la Galaxie, alors que le groupe vole en éclats. Star-Lord est capturé par son père, tandis que Drax doit affronter le terrible Gladiator. (Contient les épisodes US Guardians of the Galaxy (2013) 14-17, Annual 1 et FCBD GotG 2014, publiés précédemment dans les revues LES GARDIENS DE LA GALAXIE 1-3 et IRON MAN (V4) 17)
Un arc pas fou des Gardiens qui voyait l'introduction de nouveaux membres (comme si il y en avait pas assez) et qui n'ont pas vraiment d'intérêt. La seule chose à retenir est la présence de Nick Bradshaw à la partie graphique
Probablement de ce qu'il y a de plus potable dans le run de Bendis. C'est sympathique, il y a une bonne histoire, de l'action et de bons dessins. Malheureusement, ça empire par les tomes suivants. Bref, à vous de voir, mais quitte à choisir, privilégier le tome de Avengers, Time Runs Out 1.
ça se lit assez bien, la narration est fluide et dynamique, les dessins plaisant surtout pour Bradshaw mais ça manque clairement d'enjeux, dommage...
FCBD GotG2014 Tony Stark alias Iron Man quitte les Gardiens mais recrute Flash Thompson alias agent Venom pour compléter la team avec un autre terrien. 4/5 GotG#14 Numéro anniversaire pour les Gardiens avec des pages supplémentaires. Dans l’histoire principale, L’équipe est en mauvaise posture : Peter Quill/Star-Lord et Groot sont capturés par la flotte de Spartax, Gamora est rattraper par un chasseur de primes qu’elle croyait avoir tué, tandis que Drax est kidnappé par les Shi’ar sous les yeux impuissants de Flash Thompson alias Venom. Les Gardiens sont en mauvaise posture, mais Carol Danvers, le Captain Marvel vient à la rescousse. 4/5 #15 Les membres de l’équipe sont séparés et prisonniers par leurs différents ennemis. Même le petit dernier de l’équipe, Flash Thompson alias Venom tombe dans un piège tendu par les skrulls. Un numéro tout en divertissement et plein d’action. Mais après la couv' fait état de la présence de Captain Marvel/Carol Danvers et c'est un peu de la publicité mensongère tout de même.4/5 #16 Nos héros sont toujours dispersés et prisonniers de leurs divers ennemis ou opposants. Comment s'en sortiront-ils? Bientôt une héroïne en renfort! Encore du bon boulot pour Bendis sur le titre appuyé par les très bons dessins de Nick Bradshaw. 4,5/5 #17 Star-Lord et Gamora sont sauvés respectivement par Cpt Marvel (ex Miss Marvel) et Angela. A leur tour de sauver leurs compagnons de route. L'équipe va de nouveau être réunie.Encore du bon taf par le duo Dendis/Bradshaw accompagné de Michael Oeming. 4,5/5 GotG Annual #1 L'équipe de héros galactique de la Maison des Idées s'allient à des "LMD" (Life Model Decoy) du SHIELD qui combattent une flotte Skull depuis des années à travers l'univers, et ce depuis la fin de la guerre Krees/Skulls. C'est bien dessiné par Frank Cho mais un peu What The Fuck? quand même ! 3,5 Un Troisième recueil des Gardiens sauce Marvel Now après le cross over Trial of Jean Grey. L'Equipe est séparée et les enjeux restent assez moindre que le fait de les voir se réunir à nouveau. Mention spéciale à l'arrivé de Cpt Marvel et Venom dans la team. On sent que Bendis lâche un peu l'affaire niveau scénario. Heurseusement q'il est appuyé par des bons aux dessins comme Nick Bradshaw et Todd Nauck parmi d'autres...
Un tome 3 un peu dessous des précédents, le scénario n'a pas un grand intêret. J'étais tout content de voir Venom rejoindre l'équipe des Gardiens, mais au final il ne fait rien ne sert à rien, c'est à se demander pourquoi l'avoir mis dans ce tome?? Ca se lit, par ailleurs, il y a l'affrontement en stard Lord et son père mais ce n'est pas passionnat pour autant.
Bendis ne sait plus trop quoi raconter... En tout cas c'est l'impression que me donne ce tome. On commence par l'intégration un peu sortit de nulle part (pas la planète-crâne de céleste hein) d'Agent Venom... Peu convaincu par l'intérêt de ce personnage dans l'équipe... Et malheureusement pour lui il arrive au moment ou le père de Quill décide de s'allier avec d'autre empires galactiques pour dissoudre les Gardiens ! Suite à cela Captain Marvel également fera un petit séjour chez nos Gardiens avec une histoire franchement inutile et ennuyeuse. On termine le tome avec une histoire sympathique se passant durant l'enfance de Groot.
Pichelli est ici remplacée principalement par Nick Bradshaw, je trouve que le niveau baisse encore un peu, mais ça reste agréable à lire. En revanche le style très marqué de Michael Avon Oeming me laisse perplexe, ce n’est pas ma tasse de thé ! Quant à Frank Cho, il s'en sort bien sur son épisode.
Si vous avez aimé le run d'Alan Moore, vous risquez d'être décontenancé par ce volume. Neil Gaiman, alors débutant, apporte un angle complètement différent à ce titre. En effet, Moore avait achevé sa magistrale prestation par une conclusion a priori définitive avec l'ascension de la Miracle Family au rang de divinités. Que racontez quand tout a été dit ? C'est ce pari ambitieux que relève le jeune auteur britannique en montrant ce monde où règnent des êtres divin du point de vue des humains. Chaque épisode est indépendant et aborde un aspect différent de la Miracle Family. Riche en réflexion, profondément adulte, ce titre réjouira les fans de Gaiman qui y retrouveront tout son talent. Au pinceaux, nous retrouvons Mark Buckingham dans un style éloigné de ce qu'il nous propose sur Fables. Après des décennies, c'est une grande joie que de voir enfin traduits ces épisodes en Français. Et, cerise sur le gâteau, Gaiman et Buckingham vont enfin apporter une conclusion à leur oeuvre que l'on pensait à jamais inachevée. Amateurs de baston et de films d'action bourrins, passez votre chemin.
Deux années se sont écoulées depuis le terrible massacre de Londres, désormais Miracleman règne sur l'humanité…Voici la première édition en France des épisodes mythiques de Neil Gaiman sur Miracleman. Pendant longtemps, sa prestation est restée inachevée, mais depuis que Marvel a récupéré les droits de cette œuvre, le scénariste anglais a pu reprendre son écriture où il l’avait laissée. (Contient les épisodes US Miracleman by Gaiman & Buckingham 1-6, inédits)
Si vous avez aimé le run d'Alan Moore, vous risquez d'être décontenancé par ce volume. Neil Gaiman, alors débutant, apporte un angle complètement différent à ce titre. En effet, Moore avait achevé sa magistrale prestation par une conclusion a priori définitive avec l'ascension de la Miracle Family au rang de divinités. Que racontez quand tout a été dit ? C'est ce pari ambitieux que relève le jeune auteur britannique en montrant ce monde où règnent des êtres divin du point de vue des humains. Chaque épisode est indépendant et aborde un aspect différent de la Miracle Family. Riche en réflexion, profondément adulte, ce titre réjouira les fans de Gaiman qui y retrouveront tout son talent. Au pinceaux, nous retrouvons Mark Buckingham dans un style éloigné de ce qu'il nous propose sur Fables. Après des décennies, c'est une grande joie que de voir enfin traduits ces épisodes en Français. Et, cerise sur le gâteau, Gaiman et Buckingham vont enfin apporter une conclusion à leur oeuvre que l'on pensait à jamais inachevée. Amateurs de baston et de films d'action bourrins, passez votre chemin.
Deuxième et dernière partie des aventures de Jessica Jones, l'un des meilleurs titres écrit par Bendis. On y retrouve à nouveau Jessica en train d'explorer les sombres coulisses du monde Marvel dans une ambiance de polar parfaitement mis en image par un Gaydos inspiré. Loin des clichés, l'ex-super-héroïne devenue détective privé évolue sous nos yeux comme un personnage réel, avec ses défauts, ses failles. Plus poignante que jamais face à l'odieux Killgrave, elle nous fait partager ses peines et ses quelques joies. Un récit humain et réaliste dans un univers qui ne l'est que trop rarement. Un petit bijou pour public averti.
Alors que Jessica Jones enquête sur la disparition de Mattie Franklin, la dernière Spider-Woman, nous en apprenons plus sur le passé de la détective. Ancienne super-héroïne, son affrontement avec Kilgrave, l'Homme-Pourpre, a laissé de lourdes séquelles. (Contient les épisodes US Alias 16-28 et What If (2005) 1, publiés précédemment dans les albums MARVEL MAX : ALIAS 4-5 ou MARVEL OMNIBUS: ALIAS et MARVEL MEGA 23)
Deuxième et dernière partie des aventures de Jessica Jones, l'un des meilleurs titres écrit par Bendis. On y retrouve à nouveau Jessica en train d'explorer les sombres coulisses du monde Marvel dans une ambiance de polar parfaitement mis en image par un Gaydos inspiré. Loin des clichés, l'ex-super-héroïne devenue détective privé évolue sous nos yeux comme un personnage réel, avec ses défauts, ses failles. Plus poignante que jamais face à l'odieux Killgrave, elle nous fait partager ses peines et ses quelques joies. Un récit humain et réaliste dans un univers qui ne l'est que trop rarement. Un petit bijou pour public averti.
Même si Dark Vador peut souffrir de la comparaison avec sa grande soeur, Kieron Gillen nous livre un récit riche en suspense qui voit le noeud se serrer autour du seigneur Sith. Les plans du machiavélique Anakin se retournant contre lui, à quel prix saura-t-il se sortir de ce mauvais pas ? Le scénariste est très doué dans le traitement des méchants. Il nous l'a prouvé par le passé, il ne nous déçoit pas ici.
#7 et Darth Vader connait désormais l'identité du héros de Yavin porteur de son sabrelaser. Le Sith va donc dans la ferme abandonnée des Lars pour en apprendre plus sur Luke Skywalker ainsi que dans le lieu d'exil de son ancien maître Jedi. Il est toujours assisté du Dr Aphra, de 0-0-0 et BT-1 dans sa mission personnelle Début d'un nouvel arc toujours par Gillen et Larroca. 4,5/5 #9-10 Poursuite du 2nd arc de Gillen et Larroca sur le titre Darth Vader. Ce dernier et son "équipe" non officielle joue toujours double jeu afin de trouver Luke Skywalker avant l'Empire et ses sbires. Leur enquête les emmène dans le passé du Jedi déchu Anakin Skywalker et son amour de toujours la sénatrice Padmé Amidala. 4/5 #11 Avant dernier volet du 2nd arc toujours signé Kieron Gillen au scénario et Salvador Larroca aux planches. Vader joue toujours double jeu avec les forces impériales pendant que sa comparse, le Dr Aphra recherche des informations sur la localisation du jeune rebelle Luke Skywalker, héros de la bataille de Yavin. Celle-ci n'est pas loin de se faire attraper par la flotte impériale mais elle a l'info qu'elle désire pour son patron. Cela lui suffira-t-il pour passer les mailles du filet? Un numéro dans la lignée des précédents volets. Gillen signe un bon 2nd arc avec un Larroca toujours aussi plaisant aux dessins. 4/5 #12 Darth Vader joue toujours double jeu entre ses intérêts personnels de retrouver le jeune Luke Skywalker et ceux de l'Empire qui veut écraser la Rebellion qui a détruit l'Etoile Noire. Pour cela, il charge toujours Aphra et les droïdes assassins de trouver la trace du héros pilote rebelle tandis qu'il affronte l'escadron rebelle, les "Plasma Devils" pour montrer sa bonne foi. C'est sans compter sur la surveillance serrée d'un des nouveaux "joujous" de l'empereur. Fin du 2nd arc de la série Darth Vader depuis le retour dans le giron de Disney et Marvel (pour les comics). Un volet divertissant mais qui perd un peu de saveur avec les dessins vraiment moins bon qu'au départ du run. On sent que Salvador Larroca devient moins précis que sur le 1er arc. L'arrivée du cross-over Vader Down et les différents artistes dessus vont peut-être changer cela ! 3,5/5 Un recueil qui débute très fort, niveau fan-service, mais qui perd un peu de sa saveur vers la fin. L'histoire de Gillen semble légèrement tourné un peu en boucle dans la quête secrète de Vader alors que Larroca semble s'abandonner à un peu de facilité sur ses planches. On passe tout de même un bon moment de lecture aux côtés du Seigneur Sith et de ses acolytes provisoires, et la promesse du cross-over "Vader Down/Vado Abattu" va sûrement pimenter le titre.
Dark Vador a découvert que l'Empereur lui avait caché bien des choses… Sa fidélité à présent ébranlée, le Seigneur Noir des Sith ourdit de sombres machinations pour recouvrer son pouvoir. Il compte pour cela sur l'aide du docteur Aphra et de ses droïdes. (Contient les épisodes US Darth Vader (2015) 7-12 publiés précédemment dans les revues STAR WARS 4-6)
Même si Dark Vador peut souffrir de la comparaison avec sa grande soeur, Kieron Gillen nous livre un récit riche en suspense qui voit le noeud se serrer autour du seigneur Sith. Les plans du machiavélique Anakin se retournant contre lui, à quel prix saura-t-il se sortir de ce mauvais pas ? Le scénariste est très doué dans le traitement des méchants. Il nous l'a prouvé par le passé, il ne nous déçoit pas ici.
#7 et Darth Vader connait désormais l'identité du héros de Yavin porteur de son sabrelaser. Le Sith va donc dans la ferme abandonnée des Lars pour en apprendre plus sur Luke Skywalker ainsi que dans le lieu d'exil de son ancien maître Jedi. Il est toujours assisté du Dr Aphra, de 0-0-0 et BT-1 dans sa mission personnelle Début d'un nouvel arc toujours par Gillen et Larroca. 4,5/5 #9-10 Poursuite du 2nd arc de Gillen et Larroca sur le titre Darth Vader. Ce dernier et son "équipe" non officielle joue toujours double jeu afin de trouver Luke Skywalker avant l'Empire et ses sbires. Leur enquête les emmène dans le passé du Jedi déchu Anakin Skywalker et son amour de toujours la sénatrice Padmé Amidala. 4/5 #11 Avant dernier volet du 2nd arc toujours signé Kieron Gillen au scénario et Salvador Larroca aux planches. Vader joue toujours double jeu avec les forces impériales pendant que sa comparse, le Dr Aphra recherche des informations sur la localisation du jeune rebelle Luke Skywalker, héros de la bataille de Yavin. Celle-ci n'est pas loin de se faire attraper par la flotte impériale mais elle a l'info qu'elle désire pour son patron. Cela lui suffira-t-il pour passer les mailles du filet? Un numéro dans la lignée des précédents volets. Gillen signe un bon 2nd arc avec un Larroca toujours aussi plaisant aux dessins. 4/5 #12 Darth Vader joue toujours double jeu entre ses intérêts personnels de retrouver le jeune Luke Skywalker et ceux de l'Empire qui veut écraser la Rebellion qui a détruit l'Etoile Noire. Pour cela, il charge toujours Aphra et les droïdes assassins de trouver la trace du héros pilote rebelle tandis qu'il affronte l'escadron rebelle, les "Plasma Devils" pour montrer sa bonne foi. C'est sans compter sur la surveillance serrée d'un des nouveaux "joujous" de l'empereur. Fin du 2nd arc de la série Darth Vader depuis le retour dans le giron de Disney et Marvel (pour les comics). Un volet divertissant mais qui perd un peu de saveur avec les dessins vraiment moins bon qu'au départ du run. On sent que Salvador Larroca devient moins précis que sur le 1er arc. L'arrivée du cross-over Vader Down et les différents artistes dessus vont peut-être changer cela ! 3,5/5 Un recueil qui débute très fort, niveau fan-service, mais qui perd un peu de sa saveur vers la fin. L'histoire de Gillen semble légèrement tourné un peu en boucle dans la quête secrète de Vader alors que Larroca semble s'abandonner à un peu de facilité sur ses planches. On passe tout de même un bon moment de lecture aux côtés du Seigneur Sith et de ses acolytes provisoires, et la promesse du cross-over "Vader Down/Vado Abattu" va sûrement pimenter le titre.
Dans la lignée du premier volume, on retrouve avec plaisir Luke, Leia, Han et Chewie dans cette épisode 4.5. L'histoire n'avance pas énormément notamment du côté d'Han et Leia mais la fin de ce volume comprend l'une des meilleures scènes du comics, du fan-service bien fat mais qu'on ne refusera pas !
Le contrat est rempli, ce comic book nous offre notre vraie dose de Star Wars. On retrouve l'ambiance de la trilogie originale, les personnages sont traités fidèlement, aussi bien graphiquement que psychologiquement et les clins d'oeil aux longs-métrages feront jubiler les fans. Les ajouts à la mythologie sont intéressants et les intrigues, sans être révolutionnaires tiennent la route. Sans doute ce qui s'est fait de mieux sur l'univers Star Wars en comics.
SW #7 Petite pause dans le run avec ce one shot centré sur Obi-Wan Kenobi devenu le vieux Ben durant son exil et sa mission de protection du jeune Luke Skywalker sur Tatooine. Durant ses années de solitude sur la planète déserte, le Jedi a le temps de méditer et de réfléchir sur lui et son passé. Mais il se trouve également frustré de ne pouvoir s'approcher du fils de son ami et frère de cœur pour le former sant attiser la colère de son oncle Owen. Un très beau et bon one-shot signé Jason Aaron permettant de combler un peu plus le vide sur le devenir de Kenobi entre l'Episode III et IV des films Star Wars. Un plaisir, un pur régal de voir Simone Bianchi sur du Star Wars. 5/5 SW #8 Après s'être frotté au chasseur de primes envoyé par Darth Vader himself, Luke Skywalker se rend sur Nar Shaddaa, la lune des contrebandiers pour une mission bien particulière. Pendant ce temps, Han Solo et Leia sont bloqués sur une planète piégés par les impériaux et traqués par une mystérieuse femme. Après John Cassaday et le one-shot sur Bobi-Wan "Ben" Kenobi de Simone Bianchi, c'est au tour de Stuart Immonen d'accompagner Jason Aaron sur les planches du titre Star Wars. On peut dire que c'est avec grand art qu'il débarque dans la saga après nous avoir comblé sur du All-New X-Men pendant plusieurs titres. Côté histoire, on avance assez peu, sans doute toujours à cause des limites scénaristiques liés au films de la trilogie classique (1977-1983) malgré le fait de l'arrivée du nouveau personnage lié au passé de Han Solo. 4,5/5 SW #9 Poursuite du 2nd arc Star Wars par Marvel par Jason Aaron au scénario et Stuart Immonen à la reprise des dessins. Luke toujours déterminé à,en savoir plus sur le passé des Jedi, poursuit sa quête à Nar Shaddaa, la lune des contrebandiers, dirigée par la pègre Hutt. De là il espère touver le moyen de gagner Coruscant et l'ancien Temple Jedi. Mais les plans du héros de la bataille de Yavinne se déroulent pas comme prévu. le jeune pilote rebelle se retrouve aux mains d'un hutt collectionneur d'antiquité très attiré par son sabrelaser. Malgré tout, cette situation lui en fait apprendre un peu plus sur l'Ordre Jedi disparu. De leurs côté, Han et Leia sont troujours flanqués de Sana, la "pseudo épouse" du contrbandier rebelle, et poursuivis par la flotte impériale. Se sortiront-ils une bonne fois de ce guêpier? Aaron réussi toujours le pari d’appâter les fans et les nouveaux lecteurs avec une bonne histoire insérée entre les Episode IV et V de la trilogie classique tout en y incorporant des liens et clin d'oeil à la prélogie (cf la scène dans le"musée" du Hutt). Quand à Immonen, toujours au top, il délivre des planches patfaites qui colle très bien à l'univers de Georges Lucas. C'est un plaisir de revoir Nar Shadda (déjà exploitée sous Dark Horse Comics) sous ses traits. Rien à redire. J'aurais espèré qu'il soit un paquet de temps sur le titre, mais non! Tant pis :/ 4,5/5 SW #10 Dans le précédent volet, On avait laissé Luke en mauvaise posture sur Nar Shadaa aux mains d'un gangster Hutt et Han avec Leia et Sana "Solo" dans une position autant incofortable traqués par une flotte impériale. Ces derniers sont toujours flanqués de stardestroyers et de TIE fighters tandis que Luke se retrouve en entraînement auprès d'un mystérieux formateur avant son entrée dans l'arène pour le plaisir de Krkkus le Hutt. C'est sans compter sur le duo Chewbacca et C-3PO qui arrivent à la rescousse. Un volet un tantinet trop court aux vues du plaisir qu'on prend à le lire ! On comprend quand même que Aaron cherche à gagner du temps sur l'histoire à venir avec un Immonen toujours au top dans sa "partition". ! 4/5 SW #11 Sur la lune des contrebandiers, pendant que Luke se prépare à servir de gladiateur dans l'arène de Grakkus le Hutt, Chewie et C-3PO doivent faire face au chasseur de primes Dengar (vu dans SW V l'Empire contre-attaque). De leurs côtés, Han, Leia et Sana échappent au impériaux et partent pour leur venir en aide. Encore un volet bien divertissant et rondement mené par Jason Aaron. On peut dire que les traits de Stuart Immonen facilitent l'accroche du lecteur ! 4,'5/5 SW #12 Han, Leia et Sana sauvent in etremis Chewie et C-3PO du chasseur de primes revanchard Dengar avant de foncer vers l'arène de Grakkus le Hutt pour libérer Luke qui doit servir d'apéro à une créature sanguinaire. C'est sans compter sur les impériaux qui arrivent en nombre par le biais d'une aide infiltrée chez le gangster Hutt. De l'action et du pur divertissement comme on aime. Le côté tout le monde utilise des sabrelasers est un peu "What the Fuck?" mais après tout on a désormais déjà vu Han dans Empire Strikes Back et Finn dans The Force Awakens utilisés celui de Anakin puis Luke, donc pourquoi pas ! Stuart Imonnen toujours au top sur la licence, dommage qu'il parte vers d'autres horizons à la fin de cet arc ! 4,5/5 Vous l'aurez compris, un tome 2 explosif et divertissant pour tout fan de l'univers Star Wars et permettant à ceux qui viennent de découvrir cet univers vaste récemment d'explorer la saga initiée par George Lucas par l'oeil frais de Jason Aaron sur la saga avec l'appui d'artistes hors pairs dans le monde des comics, Bianchi et Immonen
Après avoir découvert le journal d'Obi-Wan Kenobi, Luke Skywalker part sur Nar Shadaa pour tenter de devenir un Jedi. Pendant ce temps, Han Solo et la princesse Leia sont en mission. Une mission au cours de laquelle le contrebandier tombe sur une femme de son passé… (Contient les épisodes US Star Wars (2015) 7-12 publiés précédemment dans les revues STAR WARS 4-6)
Dans la lignée du premier volume, on retrouve avec plaisir Luke, Leia, Han et Chewie dans cette épisode 4.5. L'histoire n'avance pas énormément notamment du côté d'Han et Leia mais la fin de ce volume comprend l'une des meilleures scènes du comics, du fan-service bien fat mais qu'on ne refusera pas !
Le contrat est rempli, ce comic book nous offre notre vraie dose de Star Wars. On retrouve l'ambiance de la trilogie originale, les personnages sont traités fidèlement, aussi bien graphiquement que psychologiquement et les clins d'oeil aux longs-métrages feront jubiler les fans. Les ajouts à la mythologie sont intéressants et les intrigues, sans être révolutionnaires tiennent la route. Sans doute ce qui s'est fait de mieux sur l'univers Star Wars en comics.
SW #7 Petite pause dans le run avec ce one shot centré sur Obi-Wan Kenobi devenu le vieux Ben durant son exil et sa mission de protection du jeune Luke Skywalker sur Tatooine. Durant ses années de solitude sur la planète déserte, le Jedi a le temps de méditer et de réfléchir sur lui et son passé. Mais il se trouve également frustré de ne pouvoir s'approcher du fils de son ami et frère de cœur pour le former sant attiser la colère de son oncle Owen. Un très beau et bon one-shot signé Jason Aaron permettant de combler un peu plus le vide sur le devenir de Kenobi entre l'Episode III et IV des films Star Wars. Un plaisir, un pur régal de voir Simone Bianchi sur du Star Wars. 5/5 SW #8 Après s'être frotté au chasseur de primes envoyé par Darth Vader himself, Luke Skywalker se rend sur Nar Shaddaa, la lune des contrebandiers pour une mission bien particulière. Pendant ce temps, Han Solo et Leia sont bloqués sur une planète piégés par les impériaux et traqués par une mystérieuse femme. Après John Cassaday et le one-shot sur Bobi-Wan "Ben" Kenobi de Simone Bianchi, c'est au tour de Stuart Immonen d'accompagner Jason Aaron sur les planches du titre Star Wars. On peut dire que c'est avec grand art qu'il débarque dans la saga après nous avoir comblé sur du All-New X-Men pendant plusieurs titres. Côté histoire, on avance assez peu, sans doute toujours à cause des limites scénaristiques liés au films de la trilogie classique (1977-1983) malgré le fait de l'arrivée du nouveau personnage lié au passé de Han Solo. 4,5/5 SW #9 Poursuite du 2nd arc Star Wars par Marvel par Jason Aaron au scénario et Stuart Immonen à la reprise des dessins. Luke toujours déterminé à,en savoir plus sur le passé des Jedi, poursuit sa quête à Nar Shaddaa, la lune des contrebandiers, dirigée par la pègre Hutt. De là il espère touver le moyen de gagner Coruscant et l'ancien Temple Jedi. Mais les plans du héros de la bataille de Yavinne se déroulent pas comme prévu. le jeune pilote rebelle se retrouve aux mains d'un hutt collectionneur d'antiquité très attiré par son sabrelaser. Malgré tout, cette situation lui en fait apprendre un peu plus sur l'Ordre Jedi disparu. De leurs côté, Han et Leia sont troujours flanqués de Sana, la "pseudo épouse" du contrbandier rebelle, et poursuivis par la flotte impériale. Se sortiront-ils une bonne fois de ce guêpier? Aaron réussi toujours le pari d’appâter les fans et les nouveaux lecteurs avec une bonne histoire insérée entre les Episode IV et V de la trilogie classique tout en y incorporant des liens et clin d'oeil à la prélogie (cf la scène dans le"musée" du Hutt). Quand à Immonen, toujours au top, il délivre des planches patfaites qui colle très bien à l'univers de Georges Lucas. C'est un plaisir de revoir Nar Shadda (déjà exploitée sous Dark Horse Comics) sous ses traits. Rien à redire. J'aurais espèré qu'il soit un paquet de temps sur le titre, mais non! Tant pis :/ 4,5/5 SW #10 Dans le précédent volet, On avait laissé Luke en mauvaise posture sur Nar Shadaa aux mains d'un gangster Hutt et Han avec Leia et Sana "Solo" dans une position autant incofortable traqués par une flotte impériale. Ces derniers sont toujours flanqués de stardestroyers et de TIE fighters tandis que Luke se retrouve en entraînement auprès d'un mystérieux formateur avant son entrée dans l'arène pour le plaisir de Krkkus le Hutt. C'est sans compter sur le duo Chewbacca et C-3PO qui arrivent à la rescousse. Un volet un tantinet trop court aux vues du plaisir qu'on prend à le lire ! On comprend quand même que Aaron cherche à gagner du temps sur l'histoire à venir avec un Immonen toujours au top dans sa "partition". ! 4/5 SW #11 Sur la lune des contrebandiers, pendant que Luke se prépare à servir de gladiateur dans l'arène de Grakkus le Hutt, Chewie et C-3PO doivent faire face au chasseur de primes Dengar (vu dans SW V l'Empire contre-attaque). De leurs côtés, Han, Leia et Sana échappent au impériaux et partent pour leur venir en aide. Encore un volet bien divertissant et rondement mené par Jason Aaron. On peut dire que les traits de Stuart Immonen facilitent l'accroche du lecteur ! 4,'5/5 SW #12 Han, Leia et Sana sauvent in etremis Chewie et C-3PO du chasseur de primes revanchard Dengar avant de foncer vers l'arène de Grakkus le Hutt pour libérer Luke qui doit servir d'apéro à une créature sanguinaire. C'est sans compter sur les impériaux qui arrivent en nombre par le biais d'une aide infiltrée chez le gangster Hutt. De l'action et du pur divertissement comme on aime. Le côté tout le monde utilise des sabrelasers est un peu "What the Fuck?" mais après tout on a désormais déjà vu Han dans Empire Strikes Back et Finn dans The Force Awakens utilisés celui de Anakin puis Luke, donc pourquoi pas ! Stuart Imonnen toujours au top sur la licence, dommage qu'il parte vers d'autres horizons à la fin de cet arc ! 4,5/5 Vous l'aurez compris, un tome 2 explosif et divertissant pour tout fan de l'univers Star Wars et permettant à ceux qui viennent de découvrir cet univers vaste récemment d'explorer la saga initiée par George Lucas par l'oeil frais de Jason Aaron sur la saga avec l'appui d'artistes hors pairs dans le monde des comics, Bianchi et Immonen
Nouvel arc pour les All-New X-Men qui voit le retour des personnages introduits lors du crossover Battle Of The Atom. Bendis nous donne les éléments de réponse et la résolution que l'on aurait dû avoir lors du crossover, c'est donc déjà en soi une réussite. Il instaure aussi une bonne dynamique au sein de l'équipe avec l'arrivée d'un nouveau mutant. Immonen est toujours au top. La série reste très divertissante et de qualité.
Depuis son retour des prisons spatiales Shi'ar, la jeune Jean Grey est différente, ses pouvoirs ont changé. Mais elle a peu de temps pour explorer ses nouvelles capacités, car les X-Men doivent faire face à la Confrérie des Mauvais Mutants venus du futur ! (Contient les épisodes US All-New X-Men (2013) 25-30, publiés précédemment dans les revues X-MEN (V4) 18-22)
Nouvel arc pour les All-New X-Men qui voit le retour des personnages introduits lors du crossover Battle Of The Atom. Bendis nous donne les éléments de réponse et la résolution que l'on aurait dû avoir lors du crossover, c'est donc déjà en soi une réussite. Il instaure aussi une bonne dynamique au sein de l'équipe avec l'arrivée d'un nouveau mutant. Immonen est toujours au top. La série reste très divertissante et de qualité.
Suite des séries Avengers et New Avengers de Marvel NOW! en librairie avec les débuts de la superbe saga "Time Runs Out", orchestrée par le scénariste Jonathan Hickman, qui mènera directement à l'event Secret Wars. Les deux séries convergent, tous les personnages et leurs interactions sont traités avec brio et les enjeux sont assez dingues. Hickman n'en finit plus de nous régaler.
Ca y est, on entre dans la dernière partie du run d'Hickman sur les Avengers ! Un premier tome qui pose les bases pour cette saga servant de prologue à Secret Wars. Hickman s'affranchit de la continuité actuelle avec un bond de 8 mois dans le futur et on sent que le scénariste se lâche ! Il gère très bien les interactions entre les différents personnages, nous offre des révélations et les dessinateurs qui se succèdent font bien leur boulot. Le seul point négatif est d'attendre la suite dans deux mois, mais c'est tellement bon qu'on pardonne facilement.
Hickman entame ici la dernière ligne droite de son histoire avant Secret Wars, et il le fait avec brio. Le rythme s'accélère, tout les éléments mis en place commencent à converger les uns vers les autres, et les héros commencent à devoir faire des choix. L'ellipse de 8 mois permet par ailleurs de revenir directement dans le vif du sujet, nous épargnant les réactions directes suites aux conséquences des épisodes précédent. On n'a qu'une hâte à la sortie, lire la suite !
Les 4 tomes Time Runs Out peuvent ils être lus sans avoir lu les tomes Avengers et New Avengers svp ?
Les Avengers et le S.H.I.E.L.D., menés par Steve Rogers, affrontent les Illuminati (l'équipe de la série New Avengers) dans un duel fratricide. Alors que la fracture entre les deux groupes semble irrémédiable, c'est la Cabale de Thanos qui lutte pour empêcher l'apocalypse. (Contient les épisodes US New Avengers (2013) 24-25 et Avengers (2013) 35-37, publiés précédemment dans les revues AVENGERS (V4) 22-24)
Suite des séries Avengers et New Avengers de Marvel NOW! en librairie avec les débuts de la superbe saga "Time Runs Out", orchestrée par le scénariste Jonathan Hickman, qui mènera directement à l'event Secret Wars. Les deux séries convergent, tous les personnages et leurs interactions sont traités avec brio et les enjeux sont assez dingues. Hickman n'en finit plus de nous régaler.
Ca y est, on entre dans la dernière partie du run d'Hickman sur les Avengers ! Un premier tome qui pose les bases pour cette saga servant de prologue à Secret Wars. Hickman s'affranchit de la continuité actuelle avec un bond de 8 mois dans le futur et on sent que le scénariste se lâche ! Il gère très bien les interactions entre les différents personnages, nous offre des révélations et les dessinateurs qui se succèdent font bien leur boulot. Le seul point négatif est d'attendre la suite dans deux mois, mais c'est tellement bon qu'on pardonne facilement.
Hickman entame ici la dernière ligne droite de son histoire avant Secret Wars, et il le fait avec brio. Le rythme s'accélère, tout les éléments mis en place commencent à converger les uns vers les autres, et les héros commencent à devoir faire des choix. L'ellipse de 8 mois permet par ailleurs de revenir directement dans le vif du sujet, nous épargnant les réactions directes suites aux conséquences des épisodes précédent. On n'a qu'une hâte à la sortie, lire la suite !
Les 4 tomes Time Runs Out peuvent ils être lus sans avoir lu les tomes Avengers et New Avengers svp ?
J'ai une question concernant ce tome .... je comprend pas son intérêt ... le run est pas en cours de réédition en panini marvel icons ? Merci d'avance pour votre réponse.
Etrangement, la série Captain America ne s'est jamais aussi bien vendue sous le règne de Brubaker que lorsque Steve Rogers était mort. Il faut dire que le titre était vraiment bon à cette période. Ca s'est d'ailleurs un peu gâté au retour de Rogers dans la mauvaise saga Renaissance. Cet album n'est pas un chant du cygne car il y eut tout de même de choses sympathiques après mais ce sont les derniers épisodes d'un Brubaker au sommet. En prime, on y trouve le dernier épisode dessiné par le grand Gene Colan avant son décès. Ce numéro primé était resté inédit, ce qui était incompréhensible. L'injustice est réparée. Sauf pour ceux qui voudraient acheter l'album rien que pour cet épisode...
Je vais reformuler ma question : vous pensez que le contenu de cet album sera réédité avec ce qui est actuellement en réédition en panini marvel icons ?
A mon avis, il y a une double édition. Une en Deluxe pour ceux qui ont déjà acheté les premiers tomes dans ce format et une en Icons, vu la sortie de Civil War au cinéma. J'espère que la suite sera aussi publiée dans ce format Icons dont je viens d'acheter le premier tome.
Je suis un peu dans la même situation, d'où ma question :D
Un tome assez particulier puisqu'il contient le grand et magnifique numéro anniversaire de Captain America. Autour de lui, et Steve Rogers out, Brubaker s'intéresse aux personnages de Sharon Carter et Bucky et le fait toujours superbement bien. Ce n'est pas le tome le plus passionnant ni le plus important de ce run, mais c'est immanquable pour les fans du personnage.
Bucky Barnes est devenu le nouveau Captain America après la disparition de Steve Rogers. Tout le monde croit le héros mort, mais le dernier combat de Bucky, Sharon et le Faucon face à Crâne Rouge, leur a redonné une lueur d'espoir...Cet album propose la saga prologue à Captain America : Renaissance et contient aussi un épisode exceptionnel dessiné par Gene Colan et primé aux États-Unis. (Contient les épisodes US Captain America (2005) 49-50, 600-601, publiés précédemment dans les revues MARVEL ICONS 59-63, et 1 inédit)
J'ai une question concernant ce tome .... je comprend pas son intérêt ... le run est pas en cours de réédition en panini marvel icons ? Merci d'avance pour votre réponse.
Etrangement, la série Captain America ne s'est jamais aussi bien vendue sous le règne de Brubaker que lorsque Steve Rogers était mort. Il faut dire que le titre était vraiment bon à cette période. Ca s'est d'ailleurs un peu gâté au retour de Rogers dans la mauvaise saga Renaissance. Cet album n'est pas un chant du cygne car il y eut tout de même de choses sympathiques après mais ce sont les derniers épisodes d'un Brubaker au sommet. En prime, on y trouve le dernier épisode dessiné par le grand Gene Colan avant son décès. Ce numéro primé était resté inédit, ce qui était incompréhensible. L'injustice est réparée. Sauf pour ceux qui voudraient acheter l'album rien que pour cet épisode...
Je vais reformuler ma question : vous pensez que le contenu de cet album sera réédité avec ce qui est actuellement en réédition en panini marvel icons ?
A mon avis, il y a une double édition. Une en Deluxe pour ceux qui ont déjà acheté les premiers tomes dans ce format et une en Icons, vu la sortie de Civil War au cinéma. J'espère que la suite sera aussi publiée dans ce format Icons dont je viens d'acheter le premier tome.
Je suis un peu dans la même situation, d'où ma question :D
Un tome assez particulier puisqu'il contient le grand et magnifique numéro anniversaire de Captain America. Autour de lui, et Steve Rogers out, Brubaker s'intéresse aux personnages de Sharon Carter et Bucky et le fait toujours superbement bien. Ce n'est pas le tome le plus passionnant ni le plus important de ce run, mais c'est immanquable pour les fans du personnage.
3 grandes histoires de ce duo mythique qui revient sur les débuts de ces 3 héros Marvel ainsi que leur relation avec l'amour de leur vie. C'est beau, bien écrit, envoutant et c'est une très bonne idée de la part de Panini de rééditer ces 3 histoires... mais dommage de ne pas avoir fait un coffret incluant Captain America : White.
Deux auteurs à leur sommet. L'alchimie entre Loeb et Sale fonctionne merveilleusement et permet à ces deux conteurs de nous faire revivre toute la magie d'une époque révolue. Touchant, ces trois récits jettent un regard nostalgique et adulte sur les débuts de trois piliers de l'univers Marvel. Faites-vous plaisir.
Si vous ne possédez pas encore l’un de ces récits, c’est le moment de vous procurer ce petit omnibus qui réunit les trois séries (Grey, Blue, et Yellow). On y retrouve de l’émotion, de la sincérité, des récits qui présentent des héros humains. Les dessins de Tim Sale sont toujours de toute beauté, si vous aimez le style bien entendu.
Énorme! J'ai failli passer à coté de ce petit bijou, je pensais à une réécriture des origines de ces 3 héros alors que c'est bien plus subtil. Loeb à développé des histoires qui n'apparaissaient qu'en filigrane dans les récits d'origine et ceci avec talent. De plus la patte graphique de sale est sublime et leurs travail conjoint dégage une certaine poésie. A ne surtout pas rater.
Bonjour à tous
Faut-il avoir des prérequis particuliers pour commencer ce comics ?
Absolument pas. Tu peux attaquer direct.
Ok merci ;)
Trois récits très intéressants à lire et accessibles à tous avec de magnifiques dessins et une très belle narration, en particulier pour le récit sur Spider-Man.
Daredevil : Jaune se concentre sur les aventures de Daredevil, lorsqu'il portait encore son costume jaune. L’intrigue de Spider-Man : Bleu se déroule au début du premier cycle de Spider-Man, quand le cœur de Peter Parker battait pour Gwen Stacy. Hulk : Gris s'inspire des premiers pas du personnage, lorsqu'il était encore gris et que seul Rick Jones connaissait la double identité de Bruce Banner. (Contient les épisodes US Daredevil: Yellow 1-6, Spider-Man: Blue 1-6 et Hulk:Gray 1-6, publiés précédemment dans les albums 100% MARVEL: Daredevil JAUNE, SPIDER-MAN BLEU et HULK GRIS ainsi que dans le MARVEL ABSOLUTE : LES HEROS MARVEL)
3 grandes histoires de ce duo mythique qui revient sur les débuts de ces 3 héros Marvel ainsi que leur relation avec l'amour de leur vie. C'est beau, bien écrit, envoutant et c'est une très bonne idée de la part de Panini de rééditer ces 3 histoires... mais dommage de ne pas avoir fait un coffret incluant Captain America : White.
Deux auteurs à leur sommet. L'alchimie entre Loeb et Sale fonctionne merveilleusement et permet à ces deux conteurs de nous faire revivre toute la magie d'une époque révolue. Touchant, ces trois récits jettent un regard nostalgique et adulte sur les débuts de trois piliers de l'univers Marvel. Faites-vous plaisir.
Si vous ne possédez pas encore l’un de ces récits, c’est le moment de vous procurer ce petit omnibus qui réunit les trois séries (Grey, Blue, et Yellow). On y retrouve de l’émotion, de la sincérité, des récits qui présentent des héros humains. Les dessins de Tim Sale sont toujours de toute beauté, si vous aimez le style bien entendu.
Énorme! J'ai failli passer à coté de ce petit bijou, je pensais à une réécriture des origines de ces 3 héros alors que c'est bien plus subtil. Loeb à développé des histoires qui n'apparaissaient qu'en filigrane dans les récits d'origine et ceci avec talent. De plus la patte graphique de sale est sublime et leurs travail conjoint dégage une certaine poésie. A ne surtout pas rater.
Bonjour à tous
Faut-il avoir des prérequis particuliers pour commencer ce comics ?
Absolument pas. Tu peux attaquer direct.
Ok merci ;)
Trois récits très intéressants à lire et accessibles à tous avec de magnifiques dessins et une très belle narration, en particulier pour le récit sur Spider-Man.
Entre un Tim Sale pas toujours en forme et un Jeph Loeb peu inspiré, ce Captain America : White est une déception par rapport aux autres Marvel Colors. Il y a pourtant quelques bonnes idées et Captain America a un passé que ce soit en tant que soldat ou Avenger pour faire une aussi bonne histoire qu'un Spider-Man : Blue ou Daredevil : Yellow. Dommage.
Ce récit de Jeph Loeb manque d'inspiration comparée aux autres titres de la collection (Spider-Man:Blue, Hulk: Grey, et Daredevil: Yellow). Les idées sont présentes, mais Leob n'a pas réussi à y mettre cette petite étincelle. Par contre, Tim Sale, lui, il l'a toujours cette étincelles. Ses dessins sont magnfiiques, mais malheureusement le scénario ne suit pas. La relation Steve/Bucky manque de dimension et sonne presque fausse, comme surjouée.
Le Captain America a été créé par Joe Simon et Jack Kirby en décembre 1940, soit 1 an avant l'entrée en guerre des Etarts-Unis contre le Japon et l'Allemagne nazie. Le porte-bannière étoilé est alors devenu l'incarnation et l'emblème du patriotisme américain, défenseur de la Liberté contre les tyrannies. Au fur et à mesure du temps et de son histoire, Steve Rogers, le Cap' est passé outre ce symbole, allant même parfois à l'inverse se retourner contre les institutions de son popre pays, toujours pour défendre son sens de l'honneur et de la Liberté ( son mécontentement lors de la l'Affaire du Watergate dans les 70's, la legislation sur les super-héros dans l'event Civil War 2006/2007...). Dans ce recueil, le duo inséparable Jeph Loeb et Tim Sale (Batman - Long Halloween, Dark Victory, Superman All Seasons...) retourne à sa saga colorée entamé il y a quelques années avec Daredevil Jaune, Hulk Gris et Spider-Man Bleu. Le 1er volet de Captain America - White sort en 2008 avec son volet #0 puis plus rien par la suite. Il faudra attendre 2015, pour que Jeph Loeb et Tim Sale puissent continuer et terminer cette histoire toujours basée sur la nostalgie d'un super-héros sur son passé perdu. Je n'ai jamais lu Hulk Gris, mais dans Daredevil Jaune et Spider-Man Bleu, les héros en question sont mélancoliques et nostalgiques de leurs amours perdus (Karen Page & Gwen Stacy). Dans ce Cap' Blanc, Steve Rogers, revenu parmi les vivants après sa décongélation, se remémore les souvenirs de son sidekick, ami et "petit frère" James Buchanan "Bucky" Barnes durant leurs missions en Europe durant la 2nde Guerre Mondiale, et notamment celle de décembre 1941, au début de l'entrée dans le conflit des USA, où le duo se retrouve à Paris avec le Sergent Nick Fury et ses Howlings Commandos. Leur but, empêcher Red Skull/Crâne Rouge de détruire Paris. Entre action, émotion et humour, Jeph Loeb rend hommage par son histoire aux créateurs du super-héros étoilé de Timely Comics puis de Marvel en ce centrant sur ses liens d'amitié fraternelle avec son side-kick "Bucky". En lisant cette histoire, tout lecteur sait ce qu'il adviendra au jeune frère d'arme de Rogers à la fin de conflit. C'est d'autant plus poignant que le Cap' comme tous ses autres compagnons d'armes et ses nouveaux alliés (les Avengers) ignorent que Bucky a survécu pour servir d'arme vivante endoctrinée à l'Union Soviétique en devenant le Winter Soldier/Soldat de l'Hiver. Sur 7 années de travail, Jeph Loeb livre une histoire assez simple mais qui nous fait passer un bon moment de lecture aux côtés de Cap, Bucky, Fury, Dum Dum et les autres "grognards". L'esprit nostalgique et mélancolique teinté d'humour fonctionne fonctionne très bien. Côté dessin, Tim Sale, fidèle à lui-même, signe des planches typiques à ses traits habituels, que ce soit pour DC Comics ou Marvel, rendant d'autant plus présent l'hommage aux comics d'antan et à Jack "The King" Kirby". En résumé, ce Captain America White/Blanc est un récit nostalgique magnifié par un visuel splendide. Une très bonne lecture mêlant émotion, humour et mélancolie. Jeph Loeb et Tim Sale réussissent une nouvelle fois à émouvoir le lecteur par le biais de leur travail respectif
Steve Rogers est devenu Captain America pour combattre les nazis en Europe. On le retrouve à cette époque, accompagné de Bucky Barnes et Nick Fury. Ils font face à Crâne Rouge et à son plan diabolique pour détruire Paris. (Contient les épisodes US Captain America:White 0-5, inédits)
Entre un Tim Sale pas toujours en forme et un Jeph Loeb peu inspiré, ce Captain America : White est une déception par rapport aux autres Marvel Colors. Il y a pourtant quelques bonnes idées et Captain America a un passé que ce soit en tant que soldat ou Avenger pour faire une aussi bonne histoire qu'un Spider-Man : Blue ou Daredevil : Yellow. Dommage.
Ce récit de Jeph Loeb manque d'inspiration comparée aux autres titres de la collection (Spider-Man:Blue, Hulk: Grey, et Daredevil: Yellow). Les idées sont présentes, mais Leob n'a pas réussi à y mettre cette petite étincelle. Par contre, Tim Sale, lui, il l'a toujours cette étincelles. Ses dessins sont magnfiiques, mais malheureusement le scénario ne suit pas. La relation Steve/Bucky manque de dimension et sonne presque fausse, comme surjouée.
Le Captain America a été créé par Joe Simon et Jack Kirby en décembre 1940, soit 1 an avant l'entrée en guerre des Etarts-Unis contre le Japon et l'Allemagne nazie. Le porte-bannière étoilé est alors devenu l'incarnation et l'emblème du patriotisme américain, défenseur de la Liberté contre les tyrannies. Au fur et à mesure du temps et de son histoire, Steve Rogers, le Cap' est passé outre ce symbole, allant même parfois à l'inverse se retourner contre les institutions de son popre pays, toujours pour défendre son sens de l'honneur et de la Liberté ( son mécontentement lors de la l'Affaire du Watergate dans les 70's, la legislation sur les super-héros dans l'event Civil War 2006/2007...). Dans ce recueil, le duo inséparable Jeph Loeb et Tim Sale (Batman - Long Halloween, Dark Victory, Superman All Seasons...) retourne à sa saga colorée entamé il y a quelques années avec Daredevil Jaune, Hulk Gris et Spider-Man Bleu. Le 1er volet de Captain America - White sort en 2008 avec son volet #0 puis plus rien par la suite. Il faudra attendre 2015, pour que Jeph Loeb et Tim Sale puissent continuer et terminer cette histoire toujours basée sur la nostalgie d'un super-héros sur son passé perdu. Je n'ai jamais lu Hulk Gris, mais dans Daredevil Jaune et Spider-Man Bleu, les héros en question sont mélancoliques et nostalgiques de leurs amours perdus (Karen Page & Gwen Stacy). Dans ce Cap' Blanc, Steve Rogers, revenu parmi les vivants après sa décongélation, se remémore les souvenirs de son sidekick, ami et "petit frère" James Buchanan "Bucky" Barnes durant leurs missions en Europe durant la 2nde Guerre Mondiale, et notamment celle de décembre 1941, au début de l'entrée dans le conflit des USA, où le duo se retrouve à Paris avec le Sergent Nick Fury et ses Howlings Commandos. Leur but, empêcher Red Skull/Crâne Rouge de détruire Paris. Entre action, émotion et humour, Jeph Loeb rend hommage par son histoire aux créateurs du super-héros étoilé de Timely Comics puis de Marvel en ce centrant sur ses liens d'amitié fraternelle avec son side-kick "Bucky". En lisant cette histoire, tout lecteur sait ce qu'il adviendra au jeune frère d'arme de Rogers à la fin de conflit. C'est d'autant plus poignant que le Cap' comme tous ses autres compagnons d'armes et ses nouveaux alliés (les Avengers) ignorent que Bucky a survécu pour servir d'arme vivante endoctrinée à l'Union Soviétique en devenant le Winter Soldier/Soldat de l'Hiver. Sur 7 années de travail, Jeph Loeb livre une histoire assez simple mais qui nous fait passer un bon moment de lecture aux côtés de Cap, Bucky, Fury, Dum Dum et les autres "grognards". L'esprit nostalgique et mélancolique teinté d'humour fonctionne fonctionne très bien. Côté dessin, Tim Sale, fidèle à lui-même, signe des planches typiques à ses traits habituels, que ce soit pour DC Comics ou Marvel, rendant d'autant plus présent l'hommage aux comics d'antan et à Jack "The King" Kirby". En résumé, ce Captain America White/Blanc est un récit nostalgique magnifié par un visuel splendide. Une très bonne lecture mêlant émotion, humour et mélancolie. Jeph Loeb et Tim Sale réussissent une nouvelle fois à émouvoir le lecteur par le biais de leur travail respectif
Auteurs : Stan Lee, Jack Kirby
Retrouvez les premières aventures de Captain America en solo, après sa réapparition dans la série Avengers 4. Au programme : les affrontements qui ont construit la légende, la première apparition de Crâne Rouge et également la menace du Super-Adaptoïde.
(Contient les épisodes US Tales of Suspense 59(II)-84(II))
![[Sorties Comics] Vendredi 19 Avril](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_sorties-comics.jpg)
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![[Sorties Comics] Mercredi 04 Mai](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/img_une_20364_sorties-comics-vendredi-05-fevrier.jpg)
![[Dossier] 10 ans de New 52 : Les oubliés de la VF](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_35477_dossier-10-ans-de-new-52-les-oublies-de-la-vf_1636630341.jpg)
Avis (1)
gwegs
il y a 8 ans
Mon coup de coeur de ce début de mois ! Un trip féministe et ultra non-conforme dans un univers carcéral à la Orange is the new black qui nous surprend dès son 1er numéro ! A lire de toute urgence.