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Hier, en venant vous balader sur MDCU, vous êtes tombés sur la liste des comics qui sortiront en mars. Et vous avez eu peur, car vu plein de comics qui avaient l'air bien. Du coup, vous vous demandiez comment faire des choix. Et voilà qu'arrive la sélection MDCU. Le principe est simple : les staffeurs donnent leur avis sur toutes les sorties qu'ils ont déjà lues, que ce soit en VO ou dans une précédente édition VF. Mais vous allez contasté que les avis sont plutôt positifs ce mois-ci. Surtout que l'absence d'un album ne signifie pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu. Pour faire simple, devenez riche, et achetez tout.
Pour commémorer la disparition de Superman il y a dix ans, un journaliste interview Lois Elliott, ex-Lois Lane et compagne du super-héros. Elle retrace une à une les aventures de Superman, jusqu'à son ultime apparition.
Contenu : Whatever Happened To The Man Of Tomorrow (Superman #423 + Action Comics #583) + Superman Annual #11 + DC Comics Presents #85
il y a 8 ans
Juste avant Crisis qui marquera la fin de l'univers DC tel que les fans le connaissaient depuis près de 50 ans, on confia au jeune mais déjà brillant Alan Moore la lourde charge de raconter la dernière histoire de Superman. En deux épisodes seulement, il réussit le tour de force de capturer toute la magie de l'univers naïf et bigarré du premier super-héros. L'hommage est à la hauteur et saura émouvoir les fans. Il est aujourd'hui unanimement considéré comme une des meilleures histoires de Superman. Cependant, un novice de l'univers de Superman risque de passer à côté d'une partie du récit et le dessin très old school de Curt Swan, dessinateur emblématique de l'homme d'acier, risque de moins bien passer auprès des jeunes générations. Le recueil contient une autre histoire de Moore qui a marqué les esprits au point d'être adapté en dessin animé. Le Superman Annual 11 est une histoire plus accessible qui nous montre une facette très touchante du héros. Sans être écrire récit imaginaire, Moore nous montre la vie que Kal-El aurait pu avoir sur Krypton et nous prouve que Supes a beau être invlunérable, il est loin d'être insensible. Deux récits marquants à posséder d'urgence.
il y a 8 ans
Un grand classique, dans lequel Alan Moore rend hommage à l'homme d'acier et à son très bel et riche univers, dans un contexte qui ne lui impose aucune limite et lui permet de se lâcher pour offrir une superbe fin au personnage, dans un récit mémorable. C'est à avoir dans sa collection.
il y a 8 ans
Fin des deux arcs en cours avant le premier crossover entre les titres Star Wars et Darth Vader. Sur la série principale, Jason Aaron continue de briller en restituant la magie des films. Ses ajouts s'avèrent pertinents avec un Maître des jeux qui s'impose en un rien de temps comme un personnage charismatique. Certes, tout n'est pas parfait (l"intrigue sur la femme de Solo déçoit) mais ce condensé d'action se dévore avec délectation. Enfin, il serait criminel de passer sous silence le travail de Stuart Immonen aussi fidèle au matériel d'origine qu'efficace. Le titre consacré à Dark Vador est généralement plus faible que la série principale mais ici, Gillen remonte fortement le niveau avec un récit haletant où l'étau se resserre autour du seigneur Sith, pris dans ses propres machinations. Enfin, comme d'habitude, Panini offre un rédactionnel de qualité sur les équipes artistiques et éditoriales, même si on se serait davantage attendu à des articles sur l'univers Star Wars. En bref, c'est un magazine de haute tenue que nous propose Panini. Profitez-en.
Chewbacca s'emballe et l'affrontement sur Nar Shaddaa trouve une conclusion explosive ! Découvrez aussi la vérité sur Sana Solo ! Par Jason Aaron et Stuart Immonen. Et retrouvez les manipulations de Dark Vador et Aphra par Kieron Gillen et Salvador Larroca. (Contient les épisodes US Star Wars (2014)11-12, Darth Vader 11-12)
il y a 8 ans
Fin des deux arcs en cours avant le premier crossover entre les titres Star Wars et Darth Vader. Sur la série principale, Jason Aaron continue de briller en restituant la magie des films. Ses ajouts s'avèrent pertinents avec un Maître des jeux qui s'impose en un rien de temps comme un personnage charismatique. Certes, tout n'est pas parfait (l"intrigue sur la femme de Solo déçoit) mais ce condensé d'action se dévore avec délectation. Enfin, il serait criminel de passer sous silence le travail de Stuart Immonen aussi fidèle au matériel d'origine qu'efficace. Le titre consacré à Dark Vador est généralement plus faible que la série principale mais ici, Gillen remonte fortement le niveau avec un récit haletant où l'étau se resserre autour du seigneur Sith, pris dans ses propres machinations. Enfin, comme d'habitude, Panini offre un rédactionnel de qualité sur les équipes artistiques et éditoriales, même si on se serait davantage attendu à des articles sur l'univers Star Wars. En bref, c'est un magazine de haute tenue que nous propose Panini. Profitez-en.
il y a 8 ans
La conclusion de la saga Superior Spider-Man confirme tout le bien que l'on pensait de ce run unique dans l'histoire du Tisseur où Octavius prend les rennes. Slott a pris des risques énormes et les gains sont à la hauteur puisque nous avons désormais affaire à un classique. C'est toujours un peu frustrant, après tant de changement, de se dire qu'on va retourner au statu quo après ce volume. Heureusement, ce ne sera pas complètement le cas. Vous pouvez donc profiter sans arrière-pensée de cette conclusion. Enjoy !!
Auteurs : Dan Slott, Christos Gage, Giuseppe Camuncoli
Le soi-disant Spider-Man supérieur a échoué. Le Bouffon Vert a pris le contrôle de la pègre de New York, mais peut-être pas pour très longtemps, car Otto Octavius s’est fait un devoir de l’abattre. Prêts pour la plus grande bataille du Docteur octopus ? (Contient les épisodes US Superior Spider-Man 27-31 et Annual 2, publiés précédemment dans les revues SPIDER-MAN (V4) 16-18)
il y a 8 ans
La conclusion de la saga Superior Spider-Man confirme tout le bien que l'on pensait de ce run unique dans l'histoire du Tisseur où Octavius prend les rennes. Slott a pris des risques énormes et les gains sont à la hauteur puisque nous avons désormais affaire à un classique. C'est toujours un peu frustrant, après tant de changement, de se dire qu'on va retourner au statu quo après ce volume. Heureusement, ce ne sera pas complètement le cas. Vous pouvez donc profiter sans arrière-pensée de cette conclusion. Enjoy !!
il y a 8 ans
Azzarello réussit son pari avec ce récit se positionnant, une fois n'est pas coutume, du côté de Luthor. L'esprit lumineux du plus retors des vilains est présenté ici sous un angle relativement neuf sans trahir l'essence du personnage, au contraire. Et si cela ne suffit pas à vous convaincre, sachez que c'est Bermejo qui oeuvre aux dessins.
Et si Lex Luthor avait raison ? Et si cette créature appelée Superman, descendue du ciel pour nous protéger, pauvres humains que nous sommes, n'avait d'autre intention que de nous asservir ? Luthor sera alors celui vers qui les Hommes pourront se tourner sans crainte. Il est le dernier rempart contre l'invasion qui se prépare bel et bien. Contenu : ABSOLUTE LUTHOR/JOKER HC
il y a 8 ans
Azzarello réussit son pari avec ce récit se positionnant, une fois n'est pas coutume, du côté de Luthor. L'esprit lumineux du plus retors des vilains est présenté ici sous un angle relativement neuf sans trahir l'essence du personnage, au contraire. Et si cela ne suffit pas à vous convaincre, sachez que c'est Bermejo qui oeuvre aux dessins.
il y a 8 ans
Un bijou de sensibilité. Cette oeuvre a fait date à sa sortie des deux côtés de l'Atlantique. Un graphic novel aux antipodes de ce que les éditeurs de comics nous proposent habituellement. Une fable humaniste en noir et blanc loin du fracas des combats super-héroïques,.
Nouvelle édition du chef-d’œuvre autobiographique de Craig Thompson.
Quand la découverte de l'amour - et la passion du dessin - évitent à un homme en devenir l'écueil du fondamentalisme religieux.
La naissance d'un auteur phare de sa génération.
il y a 8 ans
Un bijou de sensibilité. Cette oeuvre a fait date à sa sortie des deux côtés de l'Atlantique. Un graphic novel aux antipodes de ce que les éditeurs de comics nous proposent habituellement. Une fable humaniste en noir et blanc loin du fracas des combats super-héroïques,.
il y a 8 ans
Cette anthologie mérite TOUTE votre attention. Rarement on aura vu autant de super-stars réunies en un seul projet. Comme le précise le résumé, le principe est simple : des histoires de Batman en 8 pages et en noir et blanc par les plus grands artistes. Evidemment, il est difficile de révolutionner quoi que ce soit en 8 pages hors continuité. Mais ces contraintes obligent les artistes à condenser leur talent. Le résultat est certes inégal : pépites et historiettes anecdotiques se mélangent mais le tout forme un condensé d'une richesse impressionnante. Pour cette 3e édition, Urban ajoute une sélection d'histoires du volume 2 totalement inédites en français. La suite du tome 2 sera proposé en français en juin. Alors, si vous voulez voir Batman croqué par le papa d'Akira ou par Neil Gaiman et Simon Bisley, c'est ici que ça se passe.
Batman est une icône qui exerce depuis sa création une fascination perpétuelle auprès des auteurs. Fruit du projet de l'éditeur Mark CHIARELLO, en hommage à son mentor Archie GOODWIN qui avait su attirer sur la revue Creepy les plus grands tels Alex TOTH, Frank FRAZETTA, Al WILLIAMSON, Steve DITKO ou encore Bernie WHRIGHTSON, cette anthologie eut également pour ambition de réunir les plus grands de l'industrie des comics autour du personnage de Batman, avec un format imposé – 7 à 8 pages – et une contrainte technique : le noir et blanc. Débutée en 1996, l'expérience se renouvela en 2002, 2008 et 2014, nourrissant le mythe du Chevalier Noir de quelques-unes de ses plus belles planches, et l'imaginaire des lecteurs des interprétations les plus personnelles d'auteurs légendaires.
Contenu : Batman: Black & White, Vol. 1 + selection Vol.2
il y a 8 ans
Cette anthologie mérite TOUTE votre attention. Rarement on aura vu autant de super-stars réunies en un seul projet. Comme le précise le résumé, le principe est simple : des histoires de Batman en 8 pages et en noir et blanc par les plus grands artistes. Evidemment, il est difficile de révolutionner quoi que ce soit en 8 pages hors continuité. Mais ces contraintes obligent les artistes à condenser leur talent. Le résultat est certes inégal : pépites et historiettes anecdotiques se mélangent mais le tout forme un condensé d'une richesse impressionnante. Pour cette 3e édition, Urban ajoute une sélection d'histoires du volume 2 totalement inédites en français. La suite du tome 2 sera proposé en français en juin. Alors, si vous voulez voir Batman croqué par le papa d'Akira ou par Neil Gaiman et Simon Bisley, c'est ici que ça se passe.
il y a 8 ans
Même si ce 3e et dernier volet n'est pas le meilleur de la trilogie de Starlin, même si comme moi vous ne supportez pas Ron Lim, ça reste un grand classique et une lecture des plus enthousiasmante. A l'époque, on savait faire une bonne saga avec de très nombreux personnages sans s'éparpiller sur 50 séries dérivées. Du bon vieux cosmique qui ne déçoit pas.
Auteurs : Jim Starlin, Ron Lim
Après Le Gant de l’Infini et La Guerre de l’Infini, découvrez la fin de la trilogie de Jim Starlin et Ron Lim. La Déesse a éradiqué le crime sur la Terre et a apporté la paix dans l’univers. Captain America et Spider-Man sont à ses côtés. Face à eux, s’érigent des individus peu recommandables tels que Thanos et Mephisto. Nos héros ont-ils choisi le bon camp ? (Contient les épisodes US The Infinity Crusade 1-6, publiés précédemment dans CROISADE COSMIQUE 1-3 et dans le BEST OF : LA CROISADE DE L'INFINI)
il y a 8 ans
Même si ce 3e et dernier volet n'est pas le meilleur de la trilogie de Starlin, même si comme moi vous ne supportez pas Ron Lim, ça reste un grand classique et une lecture des plus enthousiasmante. A l'époque, on savait faire une bonne saga avec de très nombreux personnages sans s'éparpiller sur 50 séries dérivées. Du bon vieux cosmique qui ne déçoit pas.
il y a 8 ans
Frank Miller est de retour sur son Dark Knight pour un troisième volet que l'on n'attendait pas forcément et Urban Comics saute forcément sur l'évènement en essayant d'être au plus proche de la sortie US (3 numéros VO seulement sont déjà sortis). Le problème c'est que l'on se retrouve avec 2 numéros pour 14 euros... c'est un peu se moquer de nous ! Concernant le titre en lui-même, c'est un retour plutôt réussi pour ces deux premiers numéros, où l'on retrouve cette ambiance et cette narration si particulières, dans un récit qui sait toujours être très efficace dans sa mise en scène et offrir des scènes fortes et impactantes. Miller et Azzarello n'oublient personne en route, on retrouve pas seulement le Dark Knight mais bien tout l'univers et les personnages développés lors des précédents volumes, donnant une vraie sensation de suite. Il manque pour autant peut-être un peu la profondeur et l'engagement dont nous avait habitué ce titre. Andy Kubert, accompagné par Klaus Janson, s'en sort avec les honneurs au dessin, retranscrivant bien l'ambiance de cet univers mais avec un trait plus propre et moderne, amenant l’œuvre à notre époque.
La suite du légendaire Batman The Dark Knight Returns sera scénarisée par Frank MILLER et dessinée par Andy KUBERT (encrage de Klaus JANSON). Le récit principal sera complété par plusieurs histoires courtes, réalisées par une prestigieuse sélection d’auteurs invités et développant l’univers du « Dark Knight ». Contenu : Dark Knight The Master Race #1 + #2
il y a 8 ans
Frank Miller est de retour sur son Dark Knight pour un troisième volet que l'on n'attendait pas forcément et Urban Comics saute forcément sur l'évènement en essayant d'être au plus proche de la sortie US (3 numéros VO seulement sont déjà sortis). Le problème c'est que l'on se retrouve avec 2 numéros pour 14 euros... c'est un peu se moquer de nous ! Concernant le titre en lui-même, c'est un retour plutôt réussi pour ces deux premiers numéros, où l'on retrouve cette ambiance et cette narration si particulières, dans un récit qui sait toujours être très efficace dans sa mise en scène et offrir des scènes fortes et impactantes. Miller et Azzarello n'oublient personne en route, on retrouve pas seulement le Dark Knight mais bien tout l'univers et les personnages développés lors des précédents volumes, donnant une vraie sensation de suite. Il manque pour autant peut-être un peu la profondeur et l'engagement dont nous avait habitué ce titre. Andy Kubert, accompagné par Klaus Janson, s'en sort avec les honneurs au dessin, retranscrivant bien l'ambiance de cet univers mais avec un trait plus propre et moderne, amenant l’œuvre à notre époque.
il y a 8 ans
Après un premier volume cinq étoiles, le deuxième lui succède avec un casting artistique aussi prestigieux. Le Loeb des grands jours s'associe cette fois à Pacheco, Churchill et de nouveau McGuiness et le plaisir est au rendez-vous. Cependant, autant les deux premiers arcs du tome précédent ont placé le titre au coeur de l'univers DC (chute du Président Luthor, arrivée d'une nouvelle Supergilr), autant la suite s'avère plus anecdotique en termes de conséquences. A lire pour le plaisir, et c'est déjà beaucoup.
Un beau jour, le monde se réveille sous le joug de ses plus grands héros : Superman et Batman ! L’humanité n’a plus qu’un choix : obéir ou périr… Comment en est-on arrivé là ? Et reste-t-il un seul adversaire capable de s’opposer à ce dangereux tandem ? Quand le plus fabuleux des duos devient les pires tyrans imaginables, le seul espoir se trouve désormais entre les mains de la princesse amazone, Wonder Woman ...
Contient Absolute Superman/Batman 2 (#14-26)
il y a 8 ans
Après un premier volume cinq étoiles, le deuxième lui succède avec un casting artistique aussi prestigieux. Le Loeb des grands jours s'associe cette fois à Pacheco, Churchill et de nouveau McGuiness et le plaisir est au rendez-vous. Cependant, autant les deux premiers arcs du tome précédent ont placé le titre au coeur de l'univers DC (chute du Président Luthor, arrivée d'une nouvelle Supergilr), autant la suite s'avère plus anecdotique en termes de conséquences. A lire pour le plaisir, et c'est déjà beaucoup.
il y a 8 ans
C'est la raison pour laquelle on pouvait être très excité de voir Hickman arriver sur les Avengers de l'univers classique : le scénariste avait déjà fait un galop d'essai dans l'univers Ultimate. Alors que cet univers peinait à se renouveler, Hickman relance le titre Ultimates de manière magistrale ! Et je pèse mes mots, l'intrigue a une ampleur mondiale, c'est très osé, ça chamboule beaucoup de choses, bref, c'est à se rouler par terre. Il a audace d'utiliser cet univers comme il se doit : sans se soucier des conséquences. Et puis, on a Esad Ribic aux dessins, donc c'est magnifique ! Trop beau pour être vrai ? Oui, il n'y a pas de vraie fin pour son run... et c'est absolument frustrant.
il y a 8 ans
Comme l'ont dit mes collègues, comme cela commençait bien. Rien que pour ça, ça mérite le détour. Par l'équipe qui nous régale avec Secret Wars avec d'ailleurs beaucoup de pistes semées par Hickman qu'on retrouvera dans son méga-crossover.
il y a 8 ans
Du sang neuf dans l'univers Ultimate avec l'arrivée de Jonathan Hickman sur le titre Ultimates, où il va semer des éléments que l'on retrouve encore actuellement dans Secret Wars. Tiens d'ailleurs c'est aussi Esad Ribic au dessin, comme quoi ! Une très bonne série où l'on notera notamment le travail remarquable sur le personnage de Reed Richards, ainsi que tous les concepts novateurs et passionnants dont l'auteur nous a habitué au fil des années. Ce n'est pas aussi abouti que ses autres travaux mais c'est tout de même de grande qualité.
il y a 8 ans
Avec l'arrivée de Jonathan Hickman, la série Ultimates a vu sa qualité remonter en flèche, superbement mis en scène par Esad Ribic. Si vous aimez le travail de l'auteur sur Avengers et Secret Wars, vous pouvez sans hésiter apprécier ce tome. Certains des personnages se retrouvent d'ailleurs dans le grand crossover du moment.
Auteurs : Jonathan Hickman, Esad Ribic
Iron Man, Thor et Hawkeye forment le cœur des Ultimates, les meilleurs agents du SHIELD, la dernière ligne de défense face à l’anéantissement. Quand les murs de la Cité s’ouvrent, les Ultimates se retrouvent pourtant impuissants face à un terrible adversaire. Et lorsqu’Asgard s’écroule, Thor fait une découverte surprenante à propos de cette nouvelle menace. (Contient les épisodes US Ultimate Comics : Ultimates 1-12, publiés précédemment dans les revues ULTIMATE UNIVERSE (V1) 1-6)
il y a 8 ans
C'est la raison pour laquelle on pouvait être très excité de voir Hickman arriver sur les Avengers de l'univers classique : le scénariste avait déjà fait un galop d'essai dans l'univers Ultimate. Alors que cet univers peinait à se renouveler, Hickman relance le titre Ultimates de manière magistrale ! Et je pèse mes mots, l'intrigue a une ampleur mondiale, c'est très osé, ça chamboule beaucoup de choses, bref, c'est à se rouler par terre. Il a audace d'utiliser cet univers comme il se doit : sans se soucier des conséquences. Et puis, on a Esad Ribic aux dessins, donc c'est magnifique ! Trop beau pour être vrai ? Oui, il n'y a pas de vraie fin pour son run... et c'est absolument frustrant.
il y a 8 ans
Comme l'ont dit mes collègues, comme cela commençait bien. Rien que pour ça, ça mérite le détour. Par l'équipe qui nous régale avec Secret Wars avec d'ailleurs beaucoup de pistes semées par Hickman qu'on retrouvera dans son méga-crossover.
il y a 8 ans
Du sang neuf dans l'univers Ultimate avec l'arrivée de Jonathan Hickman sur le titre Ultimates, où il va semer des éléments que l'on retrouve encore actuellement dans Secret Wars. Tiens d'ailleurs c'est aussi Esad Ribic au dessin, comme quoi ! Une très bonne série où l'on notera notamment le travail remarquable sur le personnage de Reed Richards, ainsi que tous les concepts novateurs et passionnants dont l'auteur nous a habitué au fil des années. Ce n'est pas aussi abouti que ses autres travaux mais c'est tout de même de grande qualité.
il y a 8 ans
Avec l'arrivée de Jonathan Hickman, la série Ultimates a vu sa qualité remonter en flèche, superbement mis en scène par Esad Ribic. Si vous aimez le travail de l'auteur sur Avengers et Secret Wars, vous pouvez sans hésiter apprécier ce tome. Certains des personnages se retrouvent d'ailleurs dans le grand crossover du moment.
il y a 8 ans
Ceci est bien un renouveau pour le personnage de Jessica Drew, après les événements du Spider-Verse. Drew décide de quitter le SHIELD et les Avengers pour se concentrer sur elle-même et pour donner un coup de main à son ami Ben Urich. Il est surtout rafraîchissant de revoir Urich dans une série Marvel. L’évolution de Jessica Drew est bonne, et il n’est pas forcément nécessaire d’avoir lu les 4 numéros précédents aux 5 présents dans ce kiosque. À découvrir pour les fans, et non fans !
il y a 8 ans
Une deuxième partie bien meilleure. La série avait commencé en plein dans le cross Spider-verse et ne servait pas à grand chose. Mais depuis la fin de l'évènement, on a droit à une refonte du costume de Jessica ainsi que de sa place dans le Marvel U. Elle reprend sa carrière de détective privé avec l'aide de Ben Urich pour changer un peu d'air. Petite série sympa en marge des grands évènements.
Spider-Woman est de retour ! Après Secret Invasion, Infinity et Spider-Verse, Jessica souhaite enfin vivre une existence normale. Elle a donc quitté les Avengers et le S.H.I.E.L.D. pour aider Ben Urich à résoudre des mystères sous-médiatisés. Par Hopless, Rodriguez et Bustos. (Contient les épisodes US Spider-Woman (2015) 5-10)
il y a 8 ans
Ceci est bien un renouveau pour le personnage de Jessica Drew, après les événements du Spider-Verse. Drew décide de quitter le SHIELD et les Avengers pour se concentrer sur elle-même et pour donner un coup de main à son ami Ben Urich. Il est surtout rafraîchissant de revoir Urich dans une série Marvel. L’évolution de Jessica Drew est bonne, et il n’est pas forcément nécessaire d’avoir lu les 4 numéros précédents aux 5 présents dans ce kiosque. À découvrir pour les fans, et non fans !
il y a 8 ans
Une deuxième partie bien meilleure. La série avait commencé en plein dans le cross Spider-verse et ne servait pas à grand chose. Mais depuis la fin de l'évènement, on a droit à une refonte du costume de Jessica ainsi que de sa place dans le Marvel U. Elle reprend sa carrière de détective privé avec l'aide de Ben Urich pour changer un peu d'air. Petite série sympa en marge des grands évènements.
il y a 8 ans
Avec le recul, Marvel a parfaitement réussi le renouveau de son univers cosmique mais, soyons honnêtes, avec une succession de mini-séries (et même d'équipes artistiques), ce n'était pas gagné d'avance. Alors, en plus de la qualité intrinsèque de ces séries (c'est du très bon, et à ce prix-là, ce serait dommage de s'en priver), saluons le travail éditorial qui a permis à toutes ces histoires de former un tout cohérent.
Auteurs : Keith Giffen, Dan Abnett, Andy Lanning, Timothy Green, Sean Chen, Mike Perkins
Alors que les Krees sont encore sous le choc de la guerre contre Annihilus, leur planète mère Hala, est envahie. Star-Lord, le nouveau Quasar, Dragon-Lune, Nova et Gamora viennent leur porter secours. (Contient les épisodes US Annihilation Conquest Prologue 1, Annihilation Conquest : Quasar 1-4 et Annihilation Conquest : Star-Lord 1-4, publiés précédemment dans les revues MARVEL UNIVERSE (V1) 8 et 10 et l'album MARVEL DELUXE : ANNIHILATION CONQUEST 1)
il y a 8 ans
Avec le recul, Marvel a parfaitement réussi le renouveau de son univers cosmique mais, soyons honnêtes, avec une succession de mini-séries (et même d'équipes artistiques), ce n'était pas gagné d'avance. Alors, en plus de la qualité intrinsèque de ces séries (c'est du très bon, et à ce prix-là, ce serait dommage de s'en priver), saluons le travail éditorial qui a permis à toutes ces histoires de former un tout cohérent.
il y a 8 ans
Cette mini-série inédite en VF arrive enfin en librairie et devrait faire des heureux. L’histoire est solide et efficace, ne mêlant ni ninjas, ni Caïd, ni Elektra et autres. On retrouve Matt Murdock face à la part d’ombre des hommes, où le côté avocat est mis en avant par l’auteur David Hine. Les dessins de Michael Gaydos est bon est dans la ligné des « polars » que l’on peut découvrir dans son autre série Alias. À lire.
Auteurs : David Hine, Michael Gaydos
Dans la petite ville de Redemption Valley, le cadavre d’un jeune garçon est retrouvé mutilé. Est-ce un meurtre rituel ? Joel Flood est arrêté. Tout de noir vêtu, fan de métal et adorateur de Satan, il est le coupable idéal. Mais l’avocat et super-héros Matt Murdock croit en l’innocence du jeune homme et va tout mettre en œuvre pour le sauver d’une communauté assoiffée de vengeance. (Contient les épisodes US Daredevil : Redemption 1-5, inédits)
il y a 8 ans
Cette mini-série inédite en VF arrive enfin en librairie et devrait faire des heureux. L’histoire est solide et efficace, ne mêlant ni ninjas, ni Caïd, ni Elektra et autres. On retrouve Matt Murdock face à la part d’ombre des hommes, où le côté avocat est mis en avant par l’auteur David Hine. Les dessins de Michael Gaydos est bon est dans la ligné des « polars » que l’on peut découvrir dans son autre série Alias. À lire.
Auteurs : Chip Zdarsky, Joe Quinones
La Terre n’est pas l’environnement le plus approprié pour un canard, aussi Howard doit-il décupler d’efforts pour s’adapter. La première règle pour survivre chez les humains est de travailler, sauf que trouver un emploi quand on a des plumes et un bec n’est pas tâche aisée. Ceci dit, dans l’univers Marvel, un palmipède peut faire un très bon détective. Après tout, il y a bien un raton laveur super-héros ! (Contient les épisodes US Howard the Duck (2015) 1-5, inédits)
il y a 8 ans
Bendis revient sur Daredevil le temps d'une série limitée. Et même si c'est un récit un peu à part, c'est un plaisir de retrouver l'auteur sur le personnage. On retrouve l'ambiance qu'il avait su instiller dans la série régulière. Et il est accompagné de grands dessinateurs ayant travaillé sur Daredevil. Publiée à l'origine en deux 100% Marvel, Panini se décide enfin de publier cette série comme elle l'aurait du l'être dès le début : en un seul album.
Auteurs : Brian M. Bendis, David Mack, Klaus Janson, Alex Maleev, Bill Sienkiewicz
Quels secrets Daredevil emportera-t-il dans la tombe ? Le journaliste Ben Urich mène l’enquête et va être confronté aux plus grands ennemis de l’Homme sans peur. Sans l’aide de son ami, réussira-t’-il à leur échapper ? Un récit servi par des scénaristes et des dessinateurs, parmi les plus prestigieux ayant œuvré sur Daredevil, (Contient les épisodes US Daredevil : End of Days 1-8, publiés précédemment dans les albums 100% DAREDEVIL : END OF DAYS 1-2)
il y a 8 ans
Bendis revient sur Daredevil le temps d'une série limitée. Et même si c'est un récit un peu à part, c'est un plaisir de retrouver l'auteur sur le personnage. On retrouve l'ambiance qu'il avait su instiller dans la série régulière. Et il est accompagné de grands dessinateurs ayant travaillé sur Daredevil. Publiée à l'origine en deux 100% Marvel, Panini se décide enfin de publier cette série comme elle l'aurait du l'être dès le début : en un seul album.
il y a 8 ans
Cette série est dans la lignée des Batman Aventures publiés chez Urban Comics également. Les histoires proposées par McCloud peuvent être lues par toute la famille, en passant par le chien (si ce dernier sait lire). Et en plus le prix est plus qu'accessible, puisqu'il est de 10 €, avec 10 histoires au sommaire, ça nous fait du 1€ l'histoire. Que du bon !
Une menace sans précédent pèse sur Metropolis : conçu par le génie maléfique Lex Luthor, un robot créé à l'image de Superman dévaste la ville. Le Kryptonien devra relever le double défi de garder son identité secrète tout en essayant de regagner la confiance de la population... Une aventure de l'homme d'acier signée par le maître incontesté, Scott McCloud.
Contenu : Superman Adventures Vol. 1 (1-10)
il y a 8 ans
Cette série est dans la lignée des Batman Aventures publiés chez Urban Comics également. Les histoires proposées par McCloud peuvent être lues par toute la famille, en passant par le chien (si ce dernier sait lire). Et en plus le prix est plus qu'accessible, puisqu'il est de 10 €, avec 10 histoires au sommaire, ça nous fait du 1€ l'histoire. Que du bon !
il y a 8 ans
Le deuxième volume de la série de Stjepan Sejic mettant en scène deux jeunes femmes amoureuses l’une de l’autre et pratiquant le sadomasochisme revient chez Panini. Si vous avez aimé le premier tome sachez que vous allez tout autant adorer ce tome-ci. Ally et Lisa sont toujours aussi sympathiques et attachantes. Le développement des personnages et de leurs relations continue de façon naturelle teinté de sensibilité. Attention, cet ouvrage est comme le premier destiné à un public averti. Pour les autres, régalez-vous !
Auteur : Stjepan Sejic
Ally et Lisa se complètent à merveille : l’une est dominatrice, l’autre est soumise. Sur le plan sexuel leur relation est parfaite,mais tel le sable dans l’engrenage, l’amour vient s’immiscer dans cette liaison charnelle. (Contient l'épisode US Sunstone OGN 2, inédit)
il y a 8 ans
Le deuxième volume de la série de Stjepan Sejic mettant en scène deux jeunes femmes amoureuses l’une de l’autre et pratiquant le sadomasochisme revient chez Panini. Si vous avez aimé le premier tome sachez que vous allez tout autant adorer ce tome-ci. Ally et Lisa sont toujours aussi sympathiques et attachantes. Le développement des personnages et de leurs relations continue de façon naturelle teinté de sensibilité. Attention, cet ouvrage est comme le premier destiné à un public averti. Pour les autres, régalez-vous !
il y a 8 ans
Un début de 25ème tome qui voit le groupe de Rick et toutes les communautés de nouveau confrontés à des lourdes pertes, on a ainsi des numéros de deuil qui ont font peut-être un peu trop et virent de manière excessive dans le mélodrame. Heureusement, la fin du tome et le 150ème numéro anniversaire remontent le niveau en questionnant de nouveau l'ordre des choses, montrant que malgré tout Rick est bien le personnage le mieux travaillé et le plus intéressant de cette histoire et en nous rappelant pourquoi on aime The Walking Dead.
Olivia. Josh. Carson. Tammy. Luke. Erin. Ken. Amber. Louie. Oscar. Rosita. Ezekiel. Ce sont les noms de ceux qui ont été massacrés par les Chuchoteurs. Leurs têtes ont été disposées, plantées sur des piques… Afin de délimiter leur territoire, de maintenir les autres communautés à distance, et de lancer un menaçant et terrifiant avertissement à Rick. La réaction risque cependant de ne pas se faire attendre…
il y a 8 ans
Un début de 25ème tome qui voit le groupe de Rick et toutes les communautés de nouveau confrontés à des lourdes pertes, on a ainsi des numéros de deuil qui ont font peut-être un peu trop et virent de manière excessive dans le mélodrame. Heureusement, la fin du tome et le 150ème numéro anniversaire remontent le niveau en questionnant de nouveau l'ordre des choses, montrant que malgré tout Rick est bien le personnage le mieux travaillé et le plus intéressant de cette histoire et en nous rappelant pourquoi on aime The Walking Dead.
il y a 8 ans
Nouveau départ pour les kiosques Urban. Ici le gros point est le premier chapitre de Darkseid War qui est vraiment une histoire épique. Green Arrow reprend des couleurs après le massacre qu'il a subit par l'équipe créative précédente, c'est bien plus intéressant. Flash s'engage dans un arc bien trop long, mais le début est sympathique. Wonder Woman par Meredith Finch est toujours moyen.
NOUVEAU MAGAZINE ! La « Guerre de Darkseid » débute ! par Geoff JOHNS et Jason FABOK !
L'Anti-Monitor affronte le seigneur d'Apokolips dans un récit plapitant où la Ligue de Justice se découvre de nouveaux alliés et adversaires ! Le Professeur Zoom fait une entrée fracassante dans la vie de Flash, par Robert VENDITTI, Van JENSEN et Brett BOOTH ! Une nouvelle équipe artistique embarque Green Arrow dans des aventures plus sombres alors qu'Oliver revient à Seattle, par Ben PERCY et Patrick ZIRCHER ! Et Wonder Woman arbore un nouveau look, alors que son rôle de Déesse de la Guerre suscite la convoitise, par Meredith et David FINCH !
(contient les épisodes US JUSTICE LEAGUE #41, FLASH #41, GREEN ARROW #41 et WONDER WOMAN #41, ainsi que toutes les SNEAK PEEK des séries)
il y a 8 ans
Nouveau départ pour les kiosques Urban. Ici le gros point est le premier chapitre de Darkseid War qui est vraiment une histoire épique. Green Arrow reprend des couleurs après le massacre qu'il a subit par l'équipe créative précédente, c'est bien plus intéressant. Flash s'engage dans un arc bien trop long, mais le début est sympathique. Wonder Woman par Meredith Finch est toujours moyen.
il y a 8 ans
On a ici les deux pires épisodes de Secret Wars, les choses n'avancent presque pas et c'est inutilement bavard. C'est pas ce qui est attendu pour un gros event. Mieux vaut lire quelques kiosque à côté ou il y a des histoires intéressantes. Le pire étant que l'épisode 5 est presque uniquement fait de fond blanc.
il y a 8 ans
La qualité de ce Secret Wars, de cette histoire concoctée aux petits oignons par Jonathan Hickman, ne réside dans les combats et scènes d'action qui partent dans tous les sens, comme il y en aura dans les prochains numéros, mais plutôt dans la mise en place de ce plateau d'échecs et l'approfondissement des personnes principaux et de leurs "nouveaux rôles". En ce sens, on est une nouvelle fois face à deux très bons numéros, qui prennent à la fois le temps d'apporter des réponses importantes, de faire avancer toutes les pièces de l'histoire, de travailler les personnages et de nous réserver encore de belles surprises et des moments épiques. Que demander de plus mes amis ? Peut-être une partie graphique un peu plus travaillée par moments ? Aller, même ça on l'oublie vite et on se laisse aspirer dans ce Secret Wars.
Les héros sont éparpillés tandis que le règne du Dieu du Battleworld semble montrer des signes de faiblesse. La traque aux rescapés du Multivers a commencé ! Avec deux chapitres de la magnifique saga signée Jonathan Hickman et Esad Ribic.
(Contient les épisodes US Secret Wars 5-6)
il y a 8 ans
On a ici les deux pires épisodes de Secret Wars, les choses n'avancent presque pas et c'est inutilement bavard. C'est pas ce qui est attendu pour un gros event. Mieux vaut lire quelques kiosque à côté ou il y a des histoires intéressantes. Le pire étant que l'épisode 5 est presque uniquement fait de fond blanc.
il y a 8 ans
La qualité de ce Secret Wars, de cette histoire concoctée aux petits oignons par Jonathan Hickman, ne réside dans les combats et scènes d'action qui partent dans tous les sens, comme il y en aura dans les prochains numéros, mais plutôt dans la mise en place de ce plateau d'échecs et l'approfondissement des personnes principaux et de leurs "nouveaux rôles". En ce sens, on est une nouvelle fois face à deux très bons numéros, qui prennent à la fois le temps d'apporter des réponses importantes, de faire avancer toutes les pièces de l'histoire, de travailler les personnages et de nous réserver encore de belles surprises et des moments épiques. Que demander de plus mes amis ? Peut-être une partie graphique un peu plus travaillée par moments ? Aller, même ça on l'oublie vite et on se laisse aspirer dans ce Secret Wars.
il y a 8 ans
Un arc pas extraordinaire mais plus intéressant que le précédent. Si l'histoire est lancée par Original Sin, on tombe rapidement dans une intrigue de voyage dans le temps, chaque numéro ajoutant un zéro au décalage dans le temps (d'abord 100, 1000,....) . Ca montre des futurs possibles et surtout le nombre de membres de l'équipe diminue au fur et à mesure de l'avancée de l'intrigue. Le gros point fort est la présence de Leinil Francis Yu aux dessins.
il y a 8 ans
Un arc assez particulier proposé par Jonathan Hickman en plein milieu de son run, qui comme à son habitude nous offre quelque chose d'assez complexe, ayant certains aspects très conceptuels, mais toujours très recherché et passionnant, et qui sait finalement être très gratifiant pour le lecteur. Leinil Yu toujours au top.
Auteurs : Jonathan Hickman, Leinil Yu
Tandis que les Avengers font face aux Avengers, la gemme du temps réapparaît et emporte les plus grands héros de la Terre à travers les époques. Entre passé et futur, ils doivent multiplier leurs efforts pour tenter de sauver ce qu’il reste de leur équipe. (Contient les épisodes US Avengers (2013) 29-34, publiés précédemment dans les revues AVENGERS (V4) 18-21)
il y a 8 ans
Un arc pas extraordinaire mais plus intéressant que le précédent. Si l'histoire est lancée par Original Sin, on tombe rapidement dans une intrigue de voyage dans le temps, chaque numéro ajoutant un zéro au décalage dans le temps (d'abord 100, 1000,....) . Ca montre des futurs possibles et surtout le nombre de membres de l'équipe diminue au fur et à mesure de l'avancée de l'intrigue. Le gros point fort est la présence de Leinil Francis Yu aux dessins.
il y a 8 ans
Un arc assez particulier proposé par Jonathan Hickman en plein milieu de son run, qui comme à son habitude nous offre quelque chose d'assez complexe, ayant certains aspects très conceptuels, mais toujours très recherché et passionnant, et qui sait finalement être très gratifiant pour le lecteur. Leinil Yu toujours au top.
il y a 8 ans
Oui, nous sommes à des années-lumière du Daredevil post-Miller que tout le monde adore. Oui, ces numéros ont 50 ans. Et alors ? Il s'agit tout simplement de la plus grande période de DD avant l'ère moderne. Gene Colan marque profondément la série de son empreinte. Quelle classe ! Un grand classique.
Auteurs : Stan Lee, Gene Colan
Daredevil combat l’Homme aux Échasses aux côtés de Spider-Man. Il rencontre également Thor et Ka-Zar et affronte le Gladiateur et Mr. Hyde. Des épisodes considérés comme des classiques de l’Homme sans peur. (Contient les épisodes US Daredevil 24-35 et Annual 1, publiés précédemment dans les revues STRANGE 15-33 et 2 inédits)
il y a 8 ans
Oui, nous sommes à des années-lumière du Daredevil post-Miller que tout le monde adore. Oui, ces numéros ont 50 ans. Et alors ? Il s'agit tout simplement de la plus grande période de DD avant l'ère moderne. Gene Colan marque profondément la série de son empreinte. Quelle classe ! Un grand classique.
il y a 8 ans
Redécouvrez pourquoi Daredevil est à ce point adoré des fans. Et quelle joie de retrouver les plus grandes équipes qui ont oeuvré sur notre justicier aveugle préféré. Même l'excellent parcours d'Ann Nocenti et Romita Jr est représenté. Un bémol tout de même : ça risque de vous inciter à acheter beaucoup d'autres histoires de DD. Je vous aurai prévenu.
Faites plus ample connaissance avec Matt Murdock et Daredevil au travers d’épisodes qui ont marqué la carrière de l’Homme sans peur, de ses débuts en 1964 à nos jours. Un ouvrage de référence pour les fans du justicier aveugle. (Contient les épisodes US Daredevil (1964) 1, 7, 47, 81, 146, 168, 181, 257, 380, Daredevil (1998) 65, 88 et Daredvil (2011) 7, publiés précédemment dans DAREDEVIL L'INTEGRALE 1, STRANGE 46, 79, 138, MARVEL ICONS : DAREDEVIL PAR FRANK MILLER 1, DAREDEVIL (Semic) 3, MARVEL 38, 100% MARVEL : DAREDEVIL 10, 15 et MARVEL KNIGHTS (V2) 4)
il y a 8 ans
Redécouvrez pourquoi Daredevil est à ce point adoré des fans. Et quelle joie de retrouver les plus grandes équipes qui ont oeuvré sur notre justicier aveugle préféré. Même l'excellent parcours d'Ann Nocenti et Romita Jr est représenté. Un bémol tout de même : ça risque de vous inciter à acheter beaucoup d'autres histoires de DD. Je vous aurai prévenu.
il y a 8 ans
Ma critique ne se base que sur 2 séries du magazine. Infinity Gauntlet continue sur sa lancée en proposant une bonne histoire avec les gemmes de l'infinis, on aurait peur d'un sentiment de redite mais les auteurs utilisent intelligemment ce retour dans le temps. Pour Guardians of Knowhere, Bendis ne propose pas de réel fil rouge, ce qui est dommage étant donné l'endroit où l'histoire se passe et seul les dessins de Deodato sauve le tout. 3/5
Yotat, l'ennemi des Gardiens, paraît indestructible, tout comme le monstre qui a surgi dans la Ville et pulvérisé Starhawk ! Angela poursuit sa mission dans l'Angleterre de l'an 1602. Et la famille qui a intégré le Nova Corps ne sait pas encore qu'elle va devoir affronter Thanos ! (Contient les épisodes US Guardians of Knowhere 3, Korvac Saga 3, Infinity Gauntlet 3, Star-Lord and Kitty Pryde 1)
il y a 8 ans
Ma critique ne se base que sur 2 séries du magazine. Infinity Gauntlet continue sur sa lancée en proposant une bonne histoire avec les gemmes de l'infinis, on aurait peur d'un sentiment de redite mais les auteurs utilisent intelligemment ce retour dans le temps. Pour Guardians of Knowhere, Bendis ne propose pas de réel fil rouge, ce qui est dommage étant donné l'endroit où l'histoire se passe et seul les dessins de Deodato sauve le tout. 3/5
il y a 8 ans
La note n'est pas forcément représentative puisque je n'ai pas lu Batgirl et Grayson. En tout cas, ce numéro démarre avec le 1er numéro Post-Endgame pour Batman et quels changements ! Vous serez dépaysé avec cet épisode. Pour Robin, c'est la continuité direct avec l'ancienne série dessinée par Gleason, Batman et Robin. Il est ici auteur et dessinateur et se régale avec le personnage de Damian, qui entame une nouvelle quête pour sa rédemption. Plus de détails sur les fiches VO. En tout cas, ce magazine est un point d'entrée dans l'univers de la chauve-souris honnête.
NOUVEAU MAGAZINE ! Un nouveau Batman entre en scène !
Scott SNYDER et Greg CAPULLO ouvrent une nouvelle ère pour Gotham avec l'arrivée d'un Chevalier Noir totalement différent ! Les hommes de Bullock s'acclimatent à ce nouveau venu, par Francis MANAPUL, Brian BUCCELLATO et Fernando BLANCO ! Dans une toute nouvelle série, Damian Wayne parcourt le monde à la recherche de ses racines, par Patrick GLEASON ! Une nouvelle ennemie électrique pour Batgirl, par Cameron STEWART, Brenden FLETCHER et Babs TARR ! Et la Matrone prend les rênes de Spyral, l'organisation où enquête Dick Grayson, par Tim SEELEY, Tom KING et Mikel JANIN !
(contient les épisodes US BATMAN #41, ROBIN: SON OF BATMAN #1, DETECTIVE COMICS #41, BATGIRL #41, GRAYSON #9, ainsi que toutes les SNEAK PEEK des séries)
il y a 8 ans
La note n'est pas forcément représentative puisque je n'ai pas lu Batgirl et Grayson. En tout cas, ce numéro démarre avec le 1er numéro Post-Endgame pour Batman et quels changements ! Vous serez dépaysé avec cet épisode. Pour Robin, c'est la continuité direct avec l'ancienne série dessinée par Gleason, Batman et Robin. Il est ici auteur et dessinateur et se régale avec le personnage de Damian, qui entame une nouvelle quête pour sa rédemption. Plus de détails sur les fiches VO. En tout cas, ce magazine est un point d'entrée dans l'univers de la chauve-souris honnête.
il y a 8 ans
Si vous avez aimé The Dark Knight Returns, vous risquez d'être déçu par cette suite. On pouvait se douter que le caractère révolutionnaire du premier opus ne pourrait pas être reproduit mais on aurait au moins aimer retrouver une partie de sa magie. Hélas, le scénario n'est pas à la hauteur de l'événement. Mais le pire est à venir. Le style de Miller a fortement changé entre les deux volets, devenant beaucoup plus caricatural. Dans l'absolu, c'est plutôt bon signe qu'un artiste évolue. Mais là, ce n'est clairement pas le meilleur travail du sulfureux new-yorkais et il y a une réelle rupture graphique, sans compter que l'absence de Klaus Janson à l'encrage se fait cruellement sentir. Et pour parachever le tout, la si talentueuse Lynn Varley, coloriste et compagne à l'époque de Miller, s'essaie à des expérimentations hasardeuses qui heurtent cruellement la sensibilité rétinienne. Une suite ratée dans les grandes largeurs.
Trois ans après sa dernière horde sauvage, Bruce Wayne se fait passer pour mort afin de planifier sa contre-attaque. Face à un gouvernement corrompu, favorisant l'apathie et prônant l'obéissance aveugle, Batman rassemble les membres disparus de la Ligue de Justice. Ensemble, ils mènent une vendetta contre les dirigeants de ce régime et celui qui les protège... Superman !
il y a 8 ans
Si vous avez aimé The Dark Knight Returns, vous risquez d'être déçu par cette suite. On pouvait se douter que le caractère révolutionnaire du premier opus ne pourrait pas être reproduit mais on aurait au moins aimer retrouver une partie de sa magie. Hélas, le scénario n'est pas à la hauteur de l'événement. Mais le pire est à venir. Le style de Miller a fortement changé entre les deux volets, devenant beaucoup plus caricatural. Dans l'absolu, c'est plutôt bon signe qu'un artiste évolue. Mais là, ce n'est clairement pas le meilleur travail du sulfureux new-yorkais et il y a une réelle rupture graphique, sans compter que l'absence de Klaus Janson à l'encrage se fait cruellement sentir. Et pour parachever le tout, la si talentueuse Lynn Varley, coloriste et compagne à l'époque de Miller, s'essaie à des expérimentations hasardeuses qui heurtent cruellement la sensibilité rétinienne. Une suite ratée dans les grandes largeurs.
il y a 8 ans
Oh c'est un gros mois je vais Sunstone, évidemment car j'ai adoré le premier tome et je vais prendre toute la série, mais aussi Les derniers jours de superman, batman B&W et Daredevil End Of Days. Puis je vais voir ceux que valent Howard the duck, Luthors et Annihilation Conquest.
10 ans ! Ça fait vieux
L'Avis de la rédaction (2)
AfA Staff MDCU
il y a 8 ans
Juste avant Crisis qui marquera la fin de l'univers DC tel que les fans le connaissaient depuis près de 50 ans, on confia au jeune mais déjà brillant Alan Moore la lourde charge de raconter la dernière histoire de Superman. En deux épisodes seulement, il réussit le tour de force de capturer toute la magie de l'univers naïf et bigarré du premier super-héros. L'hommage est à la hauteur et saura émouvoir les fans. Il est aujourd'hui unanimement considéré comme une des meilleures histoires de Superman. Cependant, un novice de l'univers de Superman risque de passer à côté d'une partie du récit et le dessin très old school de Curt Swan, dessinateur emblématique de l'homme d'acier, risque de moins bien passer auprès des jeunes générations. Le recueil contient une autre histoire de Moore qui a marqué les esprits au point d'être adapté en dessin animé. Le Superman Annual 11 est une histoire plus accessible qui nous montre une facette très touchante du héros. Sans être écrire récit imaginaire, Moore nous montre la vie que Kal-El aurait pu avoir sur Krypton et nous prouve que Supes a beau être invlunérable, il est loin d'être insensible. Deux récits marquants à posséder d'urgence.
Julien Staff MDCU
il y a 8 ans
Un grand classique, dans lequel Alan Moore rend hommage à l'homme d'acier et à son très bel et riche univers, dans un contexte qui ne lui impose aucune limite et lui permet de se lâcher pour offrir une superbe fin au personnage, dans un récit mémorable. C'est à avoir dans sa collection.