Suite au bon accueil du retour d’un magazine Star Wars en France, on ne peut pas cacher qu’on avait hâte de savoir ce qu’allait nous offrir le second numéro du Star Wars Insider. Le résultat est très prometteur !

On remarque tout de suite qu’une partie des points faibles du premier numéro ont été corrigés, notamment la disparition de la longue "preview" d’un comics. On peut quand même noter l’obsolescence de certains articles, mais ce n’est pas la faute de Panini mais le désir de l’éditeur américain de voir apparaître une grosse partie de leurs publications originales. Mais c’est quand même agréable de trouver des interviews (celle de Mark Hamill en particulier) ou des articles intemporels, toujours très sympas à lire et qu’on aura sûrement envie de retrouver lors d’un feuilletage dans le futur. Sans oublier que les fans de Star Wars Rebels y trouveront également leur compte au sein des pages.

De plus, pour avoir feuilleter la version américaine, on peut préciser que nous avons enfin un magazine avec de la lecture et non pas composé à 95% d’images !

Et même si certaines informations sont dépassées, c’est toujours un plaisir de les retrouver résumées et cela peut même nous rappeler quelques détails que nous avons pu oublier. Sans compter de bien belles photos, quelques fois inédites ou qui ont pu passer inaperçu en ligne.

En tout cas les fans de littérature et de guides seront comblés : entre deux nouvelles tirés du nouveau Canon officiel à thème impérial (une mettant en scène Vador et la seconde un escadron de chasseurs TIE) mais aussi un extrait du guide Les Costumes et enfin d’une interview de Shelly Shapiro, il y a de quoi faire ! Une belle façon de montrer que la saga est bien plus que les films.

Pour conclure, comment ne pas mentionner les articles exclusivement français, ce qui rend ce magazine encore plus particulier. On notera le retour de Patrice Girod, invité régulier, pour une rencontre avec Robert Watts, mais aussi un article sympathique sur la plus grande convention de Star Wars en France, celle de Cusset.

Au final, nous avons là un très bon numéro, déjà un cran au-dessus du premier qui était pourtant très réussi. Saluons tout de même le boulot incroyable fourni par Aurélien Vives. La licence est entre de bonnes mains !