John Dusk est un super héros qui a beaucoup vécu dans sa carrière de Justicier. Epuisé par la lourdeur du système qui pèse sur ses épaules, il ressent une lassitude grandissante dans sa vie, vis-à-vis du train-train qui s'est installé, et subit de plus en plus mal le manque de reconnaissance de ses concitoyens. Un jour, fatigué et accablé par le poids de sa tache, il laisse mourir un criminel… et se rend compte qu'il aime ça. Il décide alors de franchir la ligne rouge et d'appliquer SA vision de la loi. Jusqu'où va l'amener cette soif de justice expéditive et cette surenchère dans la violence?

  • alecs
    alecs

    il y a 12 ans

    Dessins et histoire très sympa, personnage intéressants, le fait de passer la ligne change, bref vivement le T2

  • A Young Boy
    A Young Boy

    il y a 10 ans

    On rentre très vite dans cette histoire très bien réussie grâce notamment au dessin de Roberto Viacava qui est entre le style cartoon et adulte, ce comics change un peu de tous les autres Batman, Captain America en nous offrant un héros attachant et nouveau avec un pouvoir assez cool, on peut le dire. Je n'en dis pas plus, allez juste l'acheter, c'est très bon!

[b]Scénariste : Christos Gage Dessinateur : Roberto Viacava Editeur : Glénat BD Prix : 14.95 euros Pages : 192 format : 173 MM x 265 MM Façonnage : cartonné. Paru le : 30 mai 2012.[/b] [center][/center] [titre]Synopsis : [/titre] [i]Imaginez un superhéros aux pouvoirs extraordinaires qui se comporterait comme Dexter… John Dusk est un super héros qui a beaucoup vécu dans sa carrière de Justicier. Epuisé par la lourdeur du système qui pèse sur ses épaules, il ressent une lassitude grandissante dans sa vie, vis-à-vis du train-train qui s’est installé, et subit de plus en plus mal le manque de reconnaissance de ses concitoyens. Un jour, fatigué et accablé par le poids de sa tâche, il laisse mourir un criminel… et se rend compte qu’il aime ça. Il décide alors de franchir la ligne rouge et d’appliquer SA vision de la loi. Jusqu’où va l’amener cette soif de justice expéditive et cette surenchère dans la violence ?[/i] [titre]La Review de Scar :[/titre] « Yeah vas-y Batman ! Que… Mais qu’est-ce que tu fous ?! Mais non ! MAIS NANN ! L’amène pas à Arkham ! Bordel mais défonce-le pour une fois ! ». Ouais, ouais, je sais c’est que vous allez dire. Vous allez dire « pfff, t’es pas un vrai fan de Batman toi, ça se voit. Batman ne tue pas les méchants ». A ceci je répondrai : « Pas de mauvaise foi les gars après tout, la génération précédente a fait claquer le second Robin par vote. Vous avez dit oui à un sidekick mais vous allez dire non à un Super-vilain ?! ». Voilà le genre de réflexion que se pose John Dusk. Bon le principe du Super-Héros qui perd pied et décide de franchir LA limite à ne pas franchir n’est pas nouveau. Absolution tire-t-il son épingle du jeu ? Eh bien plutôt oui. Sans parler de scénario super poussé, les réflexions de ce cher John sont bien mises en avant. On sait à la fin de ce premier volume pourquoi il a décidé d’éliminer les vilains et pourquoi il ne s’arrêtera pas. Le titre défini d’ailleurs plutôt bien l’état d’esprit du Super-Héros qui est convaincu de faire le bien sur Terre mais qui se pose tout de même des questions (« absolution », le pardon, peut-on pardonner à quelqu’un d’avoir fait du mal aux autres si c’est pour la bonne cause en fin de compte ?). L’élément déclencheur, celui qui le fait passer « du côté obscur de la force » n’est pas forcément révélateur ni même énormément mis en avant mais les différentes réflexions et hallucinations du héros gomment rapidement ce petit détail. Parallèlement à cette réflexion qui progresse tout le long du volume, on peut noter également pas mal d’éléments sympathiques. J’ai par exemple en tête la femme du héros qui souhaite plus que tout rendre le monde meilleur et qui aimerais se débarrasser de tous les Super-vilains mais qui, à côté de ça, garde bien en tête qu’il ne s’agit là que d’une façon de penser, qu’elle reste de la police et que dans son travail, on arrête les méchants, on ne les tue pas. Des mots qui s’entrechoqueront dans la tête du héros et qui l’aideront à basculer vers les futures tueries qu’il accomplira parce qu’il n’a pas su faire la part des choses. L’héroïne qui perd son mari est également très intéressante, tout comme le fait qu’une partie de la société soutienne John, bref, pas mal de bonnes petites choses et de retournements de situation dans ce premier volume. On notera aussi des efforts concernant les vilains présents que cela soit au niveau du design, du nom ou même de leurs idéaux. Ces éléments sont des défauts que je trouve souvent récurrents dans ce genre d’histoire courte mais cette fois, je ne me suis pas « ennuyé » en découvrant les adversaires de notre belle troupe de super-héros. Pour ce qui est des dessins, ce sont plutôt de bons dessins qui m’ont surtout impressionné lorsque le personnage principal réfléchit, se pose des questions, lorsqu’il est blasé et prêt à perdre pied. Personnellement, je regrette uniquement un manque de caractère, un petit de manque « de force » lorsque la haine prend le dessus notamment lorsque la petite amie de John découvre le tout mais dans l’ensemble, Roberto Viacava effectue là un très bon travail. Alors, alors, on le conseille ou pas Absolution ? Oui on le conseille. C’est un bon comics qui met déjà pas mal d’éléments en avant dans ce premier volume. Et lorsque l’on sait que la saga se composera uniquement de deux volumes, on peut se dire que pour un peu moins de 30 euros les deux volumes, on peut avoir une bonne petite histoire et passer un bon moment. Une qualité à confirmer dans le second volume mais personnellement, je reste confiant. [conclusion=4,5][/conclusion] [onaime]- Les personnages - Les dessins - Les retournements de situation - Le fait que cela se lise très vite[/onaime][onaimepas]- Euh... rien ?[/onaimepas]