Ce dernier tome consacré à l'œuvre de Don Rosa continue sur la même lancée que les précédents volumes avec toujours une édition de qualité et des récits agréables à lire. C'est peut-être là où on fait face à une légère problématique. Le style de Don Rosa étant arrivé à son paroxysme dans les précédents tomes, avec des planches où l'auteur s'amuse à incruster des détails ici et là, on n'arrive plus à être époustouflé par son travail. Le problème vient peut-être du fait d'avoir proposé un travail de haute qualité tout au long de sa carrière canardesque. On reste tout de même attaché à ses canards qui vivent mille aventures et qui finiront forcément par nous manquer une fois l'intégrale refermée.
L'histoire s'instale doucement, j'ai du mal à m'attacher aux personnages. Je pense que ce n'est pas vraiment mon univers (trop vieille?) c'est le personnage énigmatique de Caroline qui m'a fait continuer, à voir.
L'intrigue paraissait intéressante mais les personnages et l'univers ne sont vraiment pas ce que j'aime lire en général (trop girly?). Les personnages "sans cervelle" qui ne pense qu'à la notoriété sur le net sont vraiment trop cliché pour moi. Dommage, c'est le personnage enigmatique de Caroline qui m'a fait lire le tome 2 et le final du tome 1 était plutôt intriguant.
+ le rajout de Virgile?, je ne comprend pas.
Une baisse de niveau avec ce tome 7.... Depuis que benitez n'est plus seul aux commandes, on a l'impression d'avoir une suite de one shot autour de Lady Mechanika. Cette fois notre héroine se retrouve face à des êtres surnaturelles... C'est sympa mais pas inoubliable. Ce qui me chagrine c'est que l'histoire principale n'avance plus du tout!!! On a croisé des personnages géniaux dans les tomes précédents mais ils ne reviennent pas??? Ou est Cain?? Sa soeur ??? L'autre lady mechanika???? Le dessin est en effet beacup moins fin qu'avant. Esperons que Benitez va se reprendre sur la suite car on avait une très bonne base, mais là le remplissage fait que ça devient moyen....
Comment saboter une super histoire ? C'est très simple : demandez à Grant Morrison d'en écrire la suite.
Klaus était un très bon titre dont j'étais content de retrouver le héros et, arrivé-là, on a un album qui réunit deux récits que l'on prend au pied levé et qui n'ont pas du tout la narration agréable du premier tome.
Je n'ai pratiquement rien compris aux histoires et pense que l'auteur aurait du nous raconter, dans l'ordre, les aventures de notre père noël plutôt que de les mentionner dans des récits sans queue ni tête et de nous sortir de nulle part tous ces personnages.
Ce tome 2 a totalement saboté la bonne impression que m'avait fait le tome 1 et c'était le seul titre de Grant Morrison que j'avais aimé ! Je mets donc officiellement cet auteur sur ma liste noire.
The Batman
il y a 1 an
Ce dernier tome consacré à l'œuvre de Don Rosa continue sur la même lancée que les précédents volumes avec toujours une édition de qualité et des récits agréables à lire. C'est peut-être là où on fait face à une légère problématique. Le style de Don Rosa étant arrivé à son paroxysme dans les précédents tomes, avec des planches où l'auteur s'amuse à incruster des détails ici et là, on n'arrive plus à être époustouflé par son travail. Le problème vient peut-être du fait d'avoir proposé un travail de haute qualité tout au long de sa carrière canardesque. On reste tout de même attaché à ses canards qui vivent mille aventures et qui finiront forcément par nous manquer une fois l'intégrale refermée.