Delcourt

1 / 1 (2024)

Panini Comics

1 / 1 (2024)

Panini Comics

1 / 1 (2024)

Urban Comics

1 / 1 (2024)

Urban Comics

1 / 1 (2024)

Urban Comics

1 / 1 (2024)

Urban Comics

1 / 1 (2024)

Urban Comics

1 / 1 (2024)

Urban Comics

1 / 1 (2024)

Premier épisode des quatre de la mini-série où Bruce Wayne va reprendre du service en tant que Batman !


  • Kyrens
    Kyrens

    il y a 14 ans

    Attention ce qui suit est une critique générale sur l'oeuvre intégrale. Franck Miller nous offre une histoire originale et plutôt efficace après son grand travail sur Batman : Year One. Le personnage de Batman est plutôt différent de celui auquel on a l’habitude de le voir. Un scénario plutôt bon, et entraineur, le défaut du soft reposte plutôt sur les dessins, qui aussi surprenants soient-ils, peuvent paraître simplistes, grossiers et loin de la réalité. C’est ce qui peut rendre la lecture difficile. Le succès du comics réside dans le fait que c’est du renouveau pour Batman à l’époque, ce récit noir et sombre. A l’époque le Batman dominant était quand même beaucoup plus grand public. Ici, Batman est certes vieux, mais justement c’est ce qui fait sa force ! Batman n’étant plus tout jeune est donc plus tacticiens et ses gestes étant plus lents il doit éviter le combat. On peut dire que cette fois Batman est vraiment un « bad-ass ». Certaines de ses répliques sont plutôt sympas, et certaines cultes. « Tu n’as pas compris. Ce n’est pas de la boue, c’est une table d’opération et je suis le chirurgien… ». Ici le personnage de James Gordon est le même, seulement il est maintenant au courant de l’identité de Batman et le voit fréquemment. Il y a un nouveau Robin, Carrie Kelley, une fille, encore une fois une idée très originale. A préciser que c’est aussi un des rares comics ou l’on peut voir Batman mettre une dérouiller à Superman et c’est plutôt plaisant. Le Joker de Miller est en revanche décevant, en tout cas pour ma part. Il est bien différent, plus mature et moins loufoque, il se rapproche plus d’un Heat Ledger que d’un Jack Nicholson pour faire simple.